La durée de vie du jeu aura été un vaste sujet de discussion avec mes partenaires. Certains avaient acquis le jeu en espérant y trouver tout le charme et le contenu d'un MMO. On peut dire que leur enthousiasme a été vite douché puisque le jeu ne dispose au final que d'un nombre très limité de missions et de quêtes secondaires. Sur ma liste de contacts, beaucoup se sont déjà tournés vers d'autres jeux, ne revenant vers Destiny que pour relancer un raid occasionnellement.
Avec le recul, je me dis que j'ai déjà passé près de trois cents heures sur ce jeu, ce qui n'est déjà pas si mal pour un FPS coopératif.
A mon sens, Destiny se destine avant tout aux joueurs qui recherchent une progression lente et une difficulté ... assez inhabituelle quand on considère la plupart des grosses productions actuelles. En fait, si je devais comparer Destiny à une autre production, je me tournerai vers les jeux type « Monster Hunter ». Le genre est peut-être différent, mais l'approche est assez similaire, avec une évolution lente des personnages et une difficulté atypique.
D'une certaine façon, Destiny n'est pas un mauvais bougre mais certains ont peut-être senti un trop grand écart entre les promesses du marketing et le contenu réel. D'où une sentiment de frustration compréhensible, accentué par une politique d'extensions payantes — que l'on aurait souhaité intégré d'office au contenu de base.
On ne peut qu'espérer que les extensions relanceront l'intérêt du jeu, en repoussant la limite de niveaux et en proposant de nouvelles quêtes. C'est en tout cas ce que laisse penser la récente annonce pour le premier DLC. Celui-ci devrait surtout contenter les fans, mais pour les autres, je doute que ces extensions bouleversent la donne.
Avec le recul, je me dis que j'ai déjà passé près de trois cents heures sur ce jeu, ce qui n'est déjà pas si mal pour un FPS coopératif.
A mon sens, Destiny se destine avant tout aux joueurs qui recherchent une progression lente et une difficulté ... assez inhabituelle quand on considère la plupart des grosses productions actuelles. En fait, si je devais comparer Destiny à une autre production, je me tournerai vers les jeux type « Monster Hunter ». Le genre est peut-être différent, mais l'approche est assez similaire, avec une évolution lente des personnages et une difficulté atypique.
D'une certaine façon, Destiny n'est pas un mauvais bougre mais certains ont peut-être senti un trop grand écart entre les promesses du marketing et le contenu réel. D'où une sentiment de frustration compréhensible, accentué par une politique d'extensions payantes — que l'on aurait souhaité intégré d'office au contenu de base.
On ne peut qu'espérer que les extensions relanceront l'intérêt du jeu, en repoussant la limite de niveaux et en proposant de nouvelles quêtes. C'est en tout cas ce que laisse penser la récente annonce pour le premier DLC. Celui-ci devrait surtout contenter les fans, mais pour les autres, je doute que ces extensions bouleversent la donne.