Swarm est le nom de l'interface de gestion unifiée des périphériques (récents) de la marque, à l'instar des pilotes unifiés des marques concurrentes, comme Synapse chez Razer ou LGS chez Logitech. Il a en fait été introduit l'année dernière, lors du lancement de la souris modulaire Nyth, testée dans nos colonnes. Pour le moment, sont supportés les périphériques suivants : Claviers gaming :
Le constructeur fournit un bref changelog ce qui permet d'avoir une petite idée des corrections apportées par la version. On notera que si Swarm est disponible en multilingue – ce qui n'était pas le cas de bien des pilotes Roccat par le passé – la traduction française est si perfectible que beaucoup préférerons rester dans la langue de Shakespeare. La faute à des erreurs dans la traduction ainsi qu'à la présence d'options non traduites, proposées à défaut en anglais – ce qui fait plutôt désordre, il faut bien l'avouer.
Intéressons-nous maintenant aux possibilités de réglages offertes. On retrouve dans un premier temps les 3 onglets suivants :
Settings : ici sont regroupés les réglages divers du clavier, certains plus pertinents que d'autres. Ainsi, la possibilité de jouer un son à chaque appui de touche nous apparait comme complètement inutile, mais cela doit donc être complètement indispensable pour de rares personnes. Pouvoir régler le délai de répétition de touche parait déjà plus utile. On remarque une autre possibilité intéressante, qui est de pouvoir faire un reset des réglages. C'est suffisamment rare dans un driver pour être noté.
Key Assigment : cette partie de l'interface permet de gérer l'affectation des touches, notamment celles des macros et celles situées sous la barre d'espace. Le principe retenu est celui du glisser-déposer. Depuis un catalogue de fonctions prédéfinies (lancer une application, monter le volume, etc), on dépose celle qui nous intéresse dans l'un des 2 emplacements disponibles par touches. On le disait plus haut dans l'article, avoir 2 usages par touche est rendu possible par la touche Easy-Shift. Plus intéressant encore, il est possible de savoir quelles fonctions sont déjà mappées à une touche, puisque celles-ci portent un petit point bleu à côté de leur nom. Et quand on le survole avec la souris, la touche correspondante s'illumine sur la photo du clavier présente dans l'interface du clavier. Difficile de faire plus ergonomique de ce point-là.
Key Illumination: dans cet onglet sont rassemblées les options qui touchent au rétroéclairage et aux LEDs des tranches du clavier. Des effets classiques de respiration ou de clignotements sont bien évidemment présents.
Outre ces 3 onglets, il y a bien évidemment un gestionnaire de profils, présent en bas de l'interface. Comme à l'accoutumée chez Roccat depuis des années, c'est le chiffre de 5 profils disponibles simultanément qui est retenu par la marque. On peut passer d'un profil à l'autre par appui de touche, mais aussi suivant le type d'exécutable lancé.
On trouve juste à côté un gestionnaire de macros, qui est assez clair. L'interface est découpée en 2. Du côté gauche, on trouve une liste conséquente de jeux, et pour chaque, la liste de toutes les actions présentes dans le jeu. A partir de là, il est facile de les affecter aux touches de macro du clavier. Mais il y a bien évidemment un éditeur de macro, situé sur la partie droite, avec la possibilité d'enregistrer des séquences de touches, et de la retoucher après coup. On peut par exemple fixer le délai entre appuis de touche à 2 ms, difficile de faire plus rapide !
Swarm s'installe donc sur le PC, et est fourni sous la forme d'un setup d'installation qui pèse 92 Mo environ. Pour notre test, nous avons utilisé la version 1.90, qui apporte le firmware Sova 1.22. Dommage que nous n'ayons pas pu connecter l'application mobile Swarm, comme nous avions pu le faire avec le clavier Skeltr.
- Ryos MK FX
- Suora
- Skeltr
- Sova
- Nyth
- Kova 2016
- Kiro
Le constructeur fournit un bref changelog ce qui permet d'avoir une petite idée des corrections apportées par la version. On notera que si Swarm est disponible en multilingue – ce qui n'était pas le cas de bien des pilotes Roccat par le passé – la traduction française est si perfectible que beaucoup préférerons rester dans la langue de Shakespeare. La faute à des erreurs dans la traduction ainsi qu'à la présence d'options non traduites, proposées à défaut en anglais – ce qui fait plutôt désordre, il faut bien l'avouer.
Intéressons-nous maintenant aux possibilités de réglages offertes. On retrouve dans un premier temps les 3 onglets suivants :
Settings : ici sont regroupés les réglages divers du clavier, certains plus pertinents que d'autres. Ainsi, la possibilité de jouer un son à chaque appui de touche nous apparait comme complètement inutile, mais cela doit donc être complètement indispensable pour de rares personnes. Pouvoir régler le délai de répétition de touche parait déjà plus utile. On remarque une autre possibilité intéressante, qui est de pouvoir faire un reset des réglages. C'est suffisamment rare dans un driver pour être noté.
Key Assigment : cette partie de l'interface permet de gérer l'affectation des touches, notamment celles des macros et celles situées sous la barre d'espace. Le principe retenu est celui du glisser-déposer. Depuis un catalogue de fonctions prédéfinies (lancer une application, monter le volume, etc), on dépose celle qui nous intéresse dans l'un des 2 emplacements disponibles par touches. On le disait plus haut dans l'article, avoir 2 usages par touche est rendu possible par la touche Easy-Shift. Plus intéressant encore, il est possible de savoir quelles fonctions sont déjà mappées à une touche, puisque celles-ci portent un petit point bleu à côté de leur nom. Et quand on le survole avec la souris, la touche correspondante s'illumine sur la photo du clavier présente dans l'interface du clavier. Difficile de faire plus ergonomique de ce point-là.
Key Illumination: dans cet onglet sont rassemblées les options qui touchent au rétroéclairage et aux LEDs des tranches du clavier. Des effets classiques de respiration ou de clignotements sont bien évidemment présents.
Outre ces 3 onglets, il y a bien évidemment un gestionnaire de profils, présent en bas de l'interface. Comme à l'accoutumée chez Roccat depuis des années, c'est le chiffre de 5 profils disponibles simultanément qui est retenu par la marque. On peut passer d'un profil à l'autre par appui de touche, mais aussi suivant le type d'exécutable lancé.
On trouve juste à côté un gestionnaire de macros, qui est assez clair. L'interface est découpée en 2. Du côté gauche, on trouve une liste conséquente de jeux, et pour chaque, la liste de toutes les actions présentes dans le jeu. A partir de là, il est facile de les affecter aux touches de macro du clavier. Mais il y a bien évidemment un éditeur de macro, situé sur la partie droite, avec la possibilité d'enregistrer des séquences de touches, et de la retoucher après coup. On peut par exemple fixer le délai entre appuis de touche à 2 ms, difficile de faire plus rapide !
Swarm s'installe donc sur le PC, et est fourni sous la forme d'un setup d'installation qui pèse 92 Mo environ. Pour notre test, nous avons utilisé la version 1.90, qui apporte le firmware Sova 1.22. Dommage que nous n'ayons pas pu connecter l'application mobile Swarm, comme nous avions pu le faire avec le clavier Skeltr.