Il n'existe pas d'outils spécifiques pour tester le confort et le ressenti offert par un clavier. Le bilan sera donc basé sur des critères de ressenti.
Dans un premier temps et celle qui tombe de sens : la frappe. Les touches sont très douces au toucher avec un revêtement qui adhère bien. Le passage d'un clavier disposant de touches pleines prend cependant quelques instants d'adaptation, afin de replacer ses doigts correctement. L'absence de repose-poignet se fait d'ailleurs ressentir avec ce châssis surélevé : on a du mal à correctement placer ses avant-bras pour ne pas souffrir d'un appui trop prolongé. L'utilisation des pieds à leur hauteur maximale permet de soulager sans résoudre totalement le problème. Heureusement, nous y avons ajouté un repose-poignet Mountain Plateau S.
Les touches sont très agréables à utiliser, surtout en jeu, car ce clavier est spécialement conçu pour les amateurs de FPS avec ses switchs « Titan II ». Le temps de réponse est immédiat, et on apprécie grandement les switchs rouges du fabricant, avec un retour audio relativement faible pour du mécanique, qui est de 42,3 dBa. Cette mesure est faite avec le sonomètre positionné au niveau de nos oreilles, soit à environ 60 cm du clavier. À titre de comparaison, le clavier « Black Widows » de Razer, équipé de switches Yellow monte à 51,2 dBa. Le clic y est même agréable à l'oreille, donnant envie de taper davantage.
Si vous jouez dans un espace très sombre, le rétroéclairage sera un atout pour vous. Il n'est pas agressif, et cela même avec la puissance réglée à 100 %. Plusieurs effets permettent de s'approprier l'éclairage comme il nous convient. Pour les fans de macro ou de raccourcis en tout genre, la touche « Fn » sera votre meilleur allié et vous offrira de nombreuses possibilités, surtout avec les Smart Keys qui poussent la productivité encore plus loin.
Bluethooth, le clavier peut aussi se brancher en filaire, mais à quoi bon si l'on peut s'en passer ? Nous avons limité le câble à la recharge et la batterie tient bien dans le temps, même avec des effets lumineux complexes, disons une recharge par semaine avec une utilisation intense de notre côté en moyenne, ce qui permet de gommer l'effet l'inconvénient du sans-fil : la recharge incessante. De plus, la connectivité est excellente, jamais de déconnexion ou d'input lag, même dans des parties endiablées ne se sont fait ressentir.
Il est temps de passer au verdict !
Dans un premier temps et celle qui tombe de sens : la frappe. Les touches sont très douces au toucher avec un revêtement qui adhère bien. Le passage d'un clavier disposant de touches pleines prend cependant quelques instants d'adaptation, afin de replacer ses doigts correctement. L'absence de repose-poignet se fait d'ailleurs ressentir avec ce châssis surélevé : on a du mal à correctement placer ses avant-bras pour ne pas souffrir d'un appui trop prolongé. L'utilisation des pieds à leur hauteur maximale permet de soulager sans résoudre totalement le problème. Heureusement, nous y avons ajouté un repose-poignet Mountain Plateau S.
Les touches sont très agréables à utiliser, surtout en jeu, car ce clavier est spécialement conçu pour les amateurs de FPS avec ses switchs « Titan II ». Le temps de réponse est immédiat, et on apprécie grandement les switchs rouges du fabricant, avec un retour audio relativement faible pour du mécanique, qui est de 42,3 dBa. Cette mesure est faite avec le sonomètre positionné au niveau de nos oreilles, soit à environ 60 cm du clavier. À titre de comparaison, le clavier « Black Widows » de Razer, équipé de switches Yellow monte à 51,2 dBa. Le clic y est même agréable à l'oreille, donnant envie de taper davantage.
Si vous jouez dans un espace très sombre, le rétroéclairage sera un atout pour vous. Il n'est pas agressif, et cela même avec la puissance réglée à 100 %. Plusieurs effets permettent de s'approprier l'éclairage comme il nous convient. Pour les fans de macro ou de raccourcis en tout genre, la touche « Fn » sera votre meilleur allié et vous offrira de nombreuses possibilités, surtout avec les Smart Keys qui poussent la productivité encore plus loin.
Bluethooth, le clavier peut aussi se brancher en filaire, mais à quoi bon si l'on peut s'en passer ? Nous avons limité le câble à la recharge et la batterie tient bien dans le temps, même avec des effets lumineux complexes, disons une recharge par semaine avec une utilisation intense de notre côté en moyenne, ce qui permet de gommer l'effet l'inconvénient du sans-fil : la recharge incessante. De plus, la connectivité est excellente, jamais de déconnexion ou d'input lag, même dans des parties endiablées ne se sont fait ressentir.
Il est temps de passer au verdict !