Passons en revue les différents élements qui composent cette manette.
Sur une dualshock, il faut savoir que la croix directionnelle est constituée d'un seul bloc, divisé à l'aide du châssis. Premier constat : quand vous appuyez sur une direction, le bord opposé se relève automatiquement. Deuxième constat : en appuyant sur deux directions, par exemple bas + droite, vous pouvez enregistrer assez facilement une diagonale. D'une manière générale, c'est un modèle qui a fait ses preuves et qui est le plus souvent retenu par les constructeurs de consoles.
Sur la Raiju, les 4 directions sont des touches totalement indépendantes. Certes, l'accès aux 4 directions principales s'en retrouve facilité, mais cela se fait au détriment des diagonales.
Les conséquences de ces choix ne sont pas neutres. La croix de la Raiju fait un bon boulot sur un FPS, lorsqu'elle est attribuée à la sélection d'armes, par exemple. En revanche, cette même croix s'avère nettement moins pratique sur les jeux de combat, en particulier sur ceux nécessitant d'activer des quarts de cercle – ce qui est logique, puisque les diagonales sont moins faciles à enclencher.
La vraie différence se trouve dans les entrailles du périphérique. En effet, comme sur ses claviers haut de gamme, Razer a intégré un système de touches mécaniques – à distinguer des touches à membrane que l'on retrouve en général sur les autres manettes. Comme pour les claviers, l'intérêt de touches mécaniques est un gain de réactivité.
Fort heureusement, la manette est livrée avec des protecteurs préinstallés qui présentent une excellente adhérence – il est donc vivement conseillé d'utiliser ces capuchons qui améliorent réellement la prise en main. Bonne nouvelle également : ces protections tiennent très bien en place et il est peu probable qu'ils tombent d'eux-mêmes.
La précision des sticks est bonne. Leur hauteur est également assez standard, ce qui ne devrait pas bousculer les habitudes. Il est vrai que certains joueurs préfèrent des sticks surélevés, en particulier sur celui qui sert à la visée à droite – mais ce n'est pas le cas ici.
La sensibilité des sticks me semble meilleure sur la manette Razer. J'émets toutefois une légère réserve, car j'ai eu deux exemplaires en main, et l'un présentait parfois une légère imperfection dans le retour en position neutre. Ainsi, lorsque le stick était relâché, on pouvait observer une très légère dérive de la caméra. Peut-être un défaut ponctuel sur un exemplaire – cela ne le fait pas du tout sur l'autre exemplaire que j'ai acheté en magasin.
La disposition symétrique est celle commune à toutes les dualshocks. Comme les goûts et les couleurs, je suppose que cela se discute, mais pour avoir pratiqué de nombreuses manettes, je constate qu'une disposition symétrique est plus naturelle et moins stressante pour le poignet.
En dehors de ces considérations personnelles, on remarquera que d'autres constructeurs ont proposé des systèmes permettant d'échanger librement les emplacements du D-pad et du stick gauche. On pense bien sûr à la vieille MLG Pro conçue à l'époque par MadCatz pour la Xbox 360.
Enfin, on note que Razer n'a pas retenu un système de réglage de la résistance, comme il l'avait proposé sur la vieille Onza Tournament, là aussi conçue pour la Xbox 360. Une option potentiellement intéressante selon le jeu pratiqué, un stick sensible pouvant être plus adapté pour un FPS alors qu'un stick plus rigide peut offrir un meilleur contrôle sur un jeu de course.
La croix directionnelle
Situé au même endroit que sur une dualshock, c'est-à-dire à gauche du pavé tactile, le D-pad de la Raiju ressemble beaucoup à celui de la manette officielle. Il y a tout de même une différence majeure, bien que non apparente : la croix est ici constituée par quatre boutons indépendants.Sur une dualshock, il faut savoir que la croix directionnelle est constituée d'un seul bloc, divisé à l'aide du châssis. Premier constat : quand vous appuyez sur une direction, le bord opposé se relève automatiquement. Deuxième constat : en appuyant sur deux directions, par exemple bas + droite, vous pouvez enregistrer assez facilement une diagonale. D'une manière générale, c'est un modèle qui a fait ses preuves et qui est le plus souvent retenu par les constructeurs de consoles.
Sur la Raiju, les 4 directions sont des touches totalement indépendantes. Certes, l'accès aux 4 directions principales s'en retrouve facilité, mais cela se fait au détriment des diagonales.
Les conséquences de ces choix ne sont pas neutres. La croix de la Raiju fait un bon boulot sur un FPS, lorsqu'elle est attribuée à la sélection d'armes, par exemple. En revanche, cette même croix s'avère nettement moins pratique sur les jeux de combat, en particulier sur ceux nécessitant d'activer des quarts de cercle – ce qui est logique, puisque les diagonales sont moins faciles à enclencher.
Les boutons d'action
Situées à droite du pavé tactile, les quatre touches classiques ont le même positionnement, la même taille et le même espacement que sur la manette de base.La vraie différence se trouve dans les entrailles du périphérique. En effet, comme sur ses claviers haut de gamme, Razer a intégré un système de touches mécaniques – à distinguer des touches à membrane que l'on retrouve en général sur les autres manettes. Comme pour les claviers, l'intérêt de touches mécaniques est un gain de réactivité.
Les sticks
Les sticks sont constitués de matériaux plus solides par rapport à ceux de la dualshock. Leur tige est métallique, et beaucoup moins sensible aux rayures et aux frottements. Leur tête est plus large, concave, mais plus lisse et par conséquent n'accroche pas très bien le pouce.Fort heureusement, la manette est livrée avec des protecteurs préinstallés qui présentent une excellente adhérence – il est donc vivement conseillé d'utiliser ces capuchons qui améliorent réellement la prise en main. Bonne nouvelle également : ces protections tiennent très bien en place et il est peu probable qu'ils tombent d'eux-mêmes.
La précision des sticks est bonne. Leur hauteur est également assez standard, ce qui ne devrait pas bousculer les habitudes. Il est vrai que certains joueurs préfèrent des sticks surélevés, en particulier sur celui qui sert à la visée à droite – mais ce n'est pas le cas ici.
La sensibilité des sticks me semble meilleure sur la manette Razer. J'émets toutefois une légère réserve, car j'ai eu deux exemplaires en main, et l'un présentait parfois une légère imperfection dans le retour en position neutre. Ainsi, lorsque le stick était relâché, on pouvait observer une très légère dérive de la caméra. Peut-être un défaut ponctuel sur un exemplaire – cela ne le fait pas du tout sur l'autre exemplaire que j'ai acheté en magasin.
La disposition symétrique est celle commune à toutes les dualshocks. Comme les goûts et les couleurs, je suppose que cela se discute, mais pour avoir pratiqué de nombreuses manettes, je constate qu'une disposition symétrique est plus naturelle et moins stressante pour le poignet.
En dehors de ces considérations personnelles, on remarquera que d'autres constructeurs ont proposé des systèmes permettant d'échanger librement les emplacements du D-pad et du stick gauche. On pense bien sûr à la vieille MLG Pro conçue à l'époque par MadCatz pour la Xbox 360.
Enfin, on note que Razer n'a pas retenu un système de réglage de la résistance, comme il l'avait proposé sur la vieille Onza Tournament, là aussi conçue pour la Xbox 360. Une option potentiellement intéressante selon le jeu pratiqué, un stick sensible pouvant être plus adapté pour un FPS alors qu'un stick plus rigide peut offrir un meilleur contrôle sur un jeu de course.