L'installation de la G602 est simple. Il suffit de passer l'interrupteur situé sur le dessous à ON, et c'est tout côté souris. Il vous suffira ensuite d’insérer le récepteur dans le port USB 2.0 de votre ordinateur et d'installer le pilote LGS, qu'il aura fallu au préalable télécharger sur le site. Nous utilisons dans ce test la version 8.53.150, pesant 55 Mo.
Le panneau général de la G602 montre, outre la photo de la souris, la jauge d’énergie restant dans la souris située dans le coin haut gauche ainsi que le mode — Performance ou Économie — activé. On passe alors au 2e onglet, qui permet le paramétrage proprement dit de la souris, et les options disponibles sont nombreuses. Il est possible ici de régler notamment les paliers de sensibilités. Leur nombre est paramétrable, de 1 à 5, et les valeurs commencent à 200 DPI jusqu'à 2500 DPI, par pas de 50 incréments. Les valeurs prédéfinies par le constructeur sont : 500 / 1000 / 1500 / 2000 / 2500, tandis que votre serviteur préfère la valeur unique de 1000, ce qui est tout à fait possible comme paramétrage.
Bien évidemment, c'est aussi dans ce panneau qu'on programme les différents boutons de la G602. On remarque que les boutons G10 et G11 sont par défaut affectés à la gestion de la résolution du capteur — qu'on peut ainsi changer à la volée en utilisant les valeurs définies précédemment — tandis que le bouton G8 permet de voir le niveau de charge de la souris. Cette configuration parait assez logique : du coup les boutons situés à la gauche du click gauche seront bien pratiques pour gérer profils, paliers et autonomie, tandis que les 6 de la tranche pourront être aisément affectées aux actions des jeux, que ce soit des appuis de touches, des macros ou des actions bureautiques comme afficher le couper le son, car cette souris gaming est aussi bien à l'aise dans les FPS que sous Windows.
Intéressons-nous maintenant à la gestion des profils. Elle est un peu déroutante au début, car Logitech a mis en place un système à 2 niveaux. Soit les profils sont gérés uniquement au travers de la mémoire interne de la souris, soit ils sont gérés directement par le PC. Dans le premier cas, on a droit à un maximum de 5 profils, mais qui sont tout le temps disponibles, peu importe où la souris est branchée, dans l'autre cas, il faut que le LGS soit installé sur le PC. Bien évidemment on peut passer d'un mode à l'autre sans problème, via le gros bouton situé sur l'écran principal. Le mode « PC » offre en fait plus d'options. Ainsi, on a accès à certains paramètres Windows, et en cherchant un peu, on tombe même sur un module de script !
Pilote
Le pilote LGS, pour Logitech Gaming Software, est le pilote unifié des périphériques de jeux G de chez Logitech et il peut donc gérer plusieurs périphériques compatibles de la marque branchés sur un même PC. Il a remplacé SetPoint, qui était utilisé notamment pour la G700 première du nom. Le principe général de l'interface est le même que chez certains concurrents : on a une belle image du produit, et certaines zones sont cliquables et chacune ouvre alors une interface dédiée.Le panneau général de la G602 montre, outre la photo de la souris, la jauge d’énergie restant dans la souris située dans le coin haut gauche ainsi que le mode — Performance ou Économie — activé. On passe alors au 2e onglet, qui permet le paramétrage proprement dit de la souris, et les options disponibles sont nombreuses. Il est possible ici de régler notamment les paliers de sensibilités. Leur nombre est paramétrable, de 1 à 5, et les valeurs commencent à 200 DPI jusqu'à 2500 DPI, par pas de 50 incréments. Les valeurs prédéfinies par le constructeur sont : 500 / 1000 / 1500 / 2000 / 2500, tandis que votre serviteur préfère la valeur unique de 1000, ce qui est tout à fait possible comme paramétrage.
Bien évidemment, c'est aussi dans ce panneau qu'on programme les différents boutons de la G602. On remarque que les boutons G10 et G11 sont par défaut affectés à la gestion de la résolution du capteur — qu'on peut ainsi changer à la volée en utilisant les valeurs définies précédemment — tandis que le bouton G8 permet de voir le niveau de charge de la souris. Cette configuration parait assez logique : du coup les boutons situés à la gauche du click gauche seront bien pratiques pour gérer profils, paliers et autonomie, tandis que les 6 de la tranche pourront être aisément affectées aux actions des jeux, que ce soit des appuis de touches, des macros ou des actions bureautiques comme afficher le couper le son, car cette souris gaming est aussi bien à l'aise dans les FPS que sous Windows.
Intéressons-nous maintenant à la gestion des profils. Elle est un peu déroutante au début, car Logitech a mis en place un système à 2 niveaux. Soit les profils sont gérés uniquement au travers de la mémoire interne de la souris, soit ils sont gérés directement par le PC. Dans le premier cas, on a droit à un maximum de 5 profils, mais qui sont tout le temps disponibles, peu importe où la souris est branchée, dans l'autre cas, il faut que le LGS soit installé sur le PC. Bien évidemment on peut passer d'un mode à l'autre sans problème, via le gros bouton situé sur l'écran principal. Le mode « PC » offre en fait plus d'options. Ainsi, on a accès à certains paramètres Windows, et en cherchant un peu, on tombe même sur un module de script !