Voici à quoi ressemble la G602 « en vrai ». C'est une souris au design clairement gaming, qui ne peut laisser indifférent.
On peut maintenant faire le tour du propriétaire et s'attarder sur les détails.
Sous la molette se trouve également un petit commutateur à 2 positions. Il permet de choisir entre les modes « Performance » et « Économie ». La différence la plus visible entre les 2 concerne la fréquence de polling, fixée à 125 Hz pour réduire la consommation. La zone entre la molette et ce bouton s'illumine en bleu ou en vert, pour indiquer le mode choisi, mais elle peut être éteinte.
Sur la tranche, un peu cachées quand elles sont éteintes, on découvre 3 LEDs bleues. Elles ont en fait un bon emplacement. En effet, comme elles sont placées en avant des boutons, les doigts ne recouvrent pas cette partie et on peut rapidement voir leur état. On peut donc savoir à tout moment le pallier de DPI dans lequel on est par exemple.
Concernant l'autonomie, on n'a pas d'estimation du temps restant affiché dans le logiciel pour cette souris, contrairement à ce qui était fait pour la MX Revolution. Il faut se contenter de 5 « barres ». Disons sans trop se tromper qu'on peut compter sur une grosse semaine sans rechargement, avec une utilisation de plusieurs heures par jour. Dans le logement de la pile, on trouve également à côté de la pile un emplacement pour ranger l'émetteur, ce qui pratique pour le transport. Couplé à l'utilisation de profils embarqués dans la mémoire interne, on obtient alors une souris nomade, qu'on peut emporter en LAN sans souci. Un bouton off, situé sous la souris en plein milieu, permet d'éteindre complètement ce sympathique mulot.
On peut maintenant faire le tour du propriétaire et s'attarder sur les détails.
Prise en main
La forme de la souris est relativement classique par rapport à ce que fait Logitech habituellement. La photo de la MX Revolution et la G700s en comparaison atteste d'un air de famille certain, même si côté design, il y a un monde. Longue d'un peu plus de 12 cm mais moins haute qu'habituellement, cette souris ne se manipule pas qu'avec la paume de la main, car les doigts se retrouvent un peu en l'air : on parle ainsi de prise en main de type « claw grip ». Le poids sur la balance est de 151 grammes pour cette souris : cela paraitra beaucoup ou normal, suivant les préférences. A noter qu'il n'y a pas de possibilité de lester la souris avec des petits poids supplémentaires comme cela est le cas sur d'autres modèles de Logitech, notamment la G500.Boutons et LEDS
Les boutons sont nombreux, on l'a vu dès la fiche technique, puisqu'il y en a 11. Les FPS demandent de plus en plus de touches de nos jours, donc c'est vraiment pratique. Les boutons spécifiques de la souris sont numérotés de G4 à G11, les 3 premiers étant les boutons traditionnels (gauche, droite, milieu). Sous le pouce, on ne retrouve pas moins de 6 boutons : G4 à G9, tandis que G10 et G11 sont les 2 boutons situés à gauche du bouton gauche. On peut bien évidemment les paramétrer dans le driver, sur lequel nous reviendrons un peu plus bas.Sous la molette se trouve également un petit commutateur à 2 positions. Il permet de choisir entre les modes « Performance » et « Économie ». La différence la plus visible entre les 2 concerne la fréquence de polling, fixée à 125 Hz pour réduire la consommation. La zone entre la molette et ce bouton s'illumine en bleu ou en vert, pour indiquer le mode choisi, mais elle peut être éteinte.
Sur la tranche, un peu cachées quand elles sont éteintes, on découvre 3 LEDs bleues. Elles ont en fait un bon emplacement. En effet, comme elles sont placées en avant des boutons, les doigts ne recouvrent pas cette partie et on peut rapidement voir leur état. On peut donc savoir à tout moment le pallier de DPI dans lequel on est par exemple.
Alimentation
La trappe dans laquelle les piles sont situées s'ouvre très facilement. On découvre alors que la « batterie » de la souris est en fait 2 piles AA classiques. Elles pourront donc être facilement remplacées quand elles seront à plat, par des rechargeables par exemple. Dans tous les cas, adieu les batteries soudées qui obligent à devoir changer de souris pour ça.Concernant l'autonomie, on n'a pas d'estimation du temps restant affiché dans le logiciel pour cette souris, contrairement à ce qui était fait pour la MX Revolution. Il faut se contenter de 5 « barres ». Disons sans trop se tromper qu'on peut compter sur une grosse semaine sans rechargement, avec une utilisation de plusieurs heures par jour. Dans le logement de la pile, on trouve également à côté de la pile un emplacement pour ranger l'émetteur, ce qui pratique pour le transport. Couplé à l'utilisation de profils embarqués dans la mémoire interne, on obtient alors une souris nomade, qu'on peut emporter en LAN sans souci. Un bouton off, situé sous la souris en plein milieu, permet d'éteindre complètement ce sympathique mulot.