En tout cas chez Ubi. Dans cette news, on vous informait du début d'une procédure judiciaire aux États-Unis contre Ubisoft, mis en cause pour l'utilisation du système de protection StarForce.
Suite à cette plainte, déposée par un particulier sous la forme d'une class action,Ubi vient de décider de faire machine arrière, et de plus utiliser cette protection/DRM accusée de provoquer instabilité et failles de sécurité sur les machines où des jeux protégés sont installés. En lieu et place, le plus commun et moins intrusif SecuROM, produit de Sony, viendra protéger les futurs titres du papa de Sam Fisher.
Suite à cette plainte, déposée par un particulier sous la forme d'une class action,Ubi vient de décider de faire machine arrière, et de plus utiliser cette protection/DRM accusée de provoquer instabilité et failles de sécurité sur les machines où des jeux protégés sont installés. En lieu et place, le plus commun et moins intrusif SecuROM, produit de Sony, viendra protéger les futurs titres du papa de Sam Fisher.
La société est la première à reculer sur le sujet de StarForce. Le fait quedes dizaines, voire des centaines de joueurs aient pu se joindre à la class action, comme le permet ce type d'action dans le système judiciaire US, a peut-être fait peur à Ubi. Cela donnera certainement du grain à moudre à tous les opposants de cette solution technique "trop" parfaite pour être honnête, et on peut esperer que d'autres éditeurs l'abandonneront à leur tour.
La protection qui vient du froid sera, peut-être, finalement contrainte d'y retourner.