Ah là là, c'est dur dur la vie de journaliste de l'impossible (voire de l'extrême), on n'imagine pas. Surtout quand on nous propose de venir tester Call of Duty 2 sur XBox 360 et PC pendant une heure et que la déontologie nous pousse à accepter.
C'était aujourd'hui, c'était à Paris, ça a duré bien plus qu'une heure.
C'était aujourd'hui, c'était à Paris, ça a duré bien plus qu'une heure.
Avant toute chose, sachez que cet article est le premier d'une série de trois articles et que je n'y parlerai que peu du jeu, et ce pour trois raisons :
La présentation a donc eu lieu dans un grand hôtel des Champs Elysées. À l'arrivée, vers 10h : café, croissants et divers jus attendaient. 'manquait plus que les Ferrero Rochers et je me serais cru à une soirée de Madame l'ambassadeur. Dans la pièce d'à côté, 16 PC de test, en réseau, et une XBox 360 reliée à un über écran, c'est d'ailleurs cette version qu'on m'a proposé de tester en premier, pendant une petite quinzaine de minutes. Une mission de la campagne russe.
Graphiquement, cette version est plutôt jolie, proche de la version PC avec quelques discrets effets graphiques en plus. Bref : joli mais pas transcendant. La maniabilité est, à mon sens, ce qu'on peut obtenir de mieux avec un pad XBox 360, mais ça reste à des années lumière du confort et de la précision du combo clavier/souris. Pour compenser, les développeurs ont introduit un système de visée automatique, qui rend le jeu moins pénible, mais aussi bien plus facile.
Voilà pour les spécificités de cette version XBox 360 par rapport à la version PC, que j'ai pu tester pendant le reste de la journée. En dehors de ça, on retrouve l'ambiance sonore fabuleuse, le gameplay simple et cette fameuse seconde guerre mondiale. Call of Duty 2, c'est bel et bien la suite de Call of Duty (pas croyable), à deux grosses différences près.
Il n'y a pas d'indicateur de santé. Le jeu divise le corps du joueur en deux parties : Si on se prend un tir en pleine tête, on meurt directement, si on se fait tirer dessus sur une autre partie du corps, la santé se régénère peu à peu. D'après ce que j'ai ouï, il s'agit d'un système déjà exploité dans Halo. En mode facile, la hitbox de la tête du joueur est toute petite, afin que les ennemis peinent à la toucher. Cette taille augmente simplement avec la difficulté.
La seconde différence réside dans l'utilisation des grenades fumigènes, qui n'est plus un simple gadget pour faire joli mais un élément de gameplay intéressant, qui, mal utilisé, peut s'avérer très pénalisant (y'aquéqunquivoitquéquchose?), aussi bien en solo qu'en multi.
En dehors de ça, le jeu est très similaire au premier, on retrouve les trois campagnes (dont on débloque les missions de façon chronologique), la majorité des armes, les vilains nazis, les gentils russes/anglais/américains, etc. En somme, rien de bien original, même si le jeu est bien fait et qu'on rentre dedans sans difficulté.
Voilà, c'est fini pour le jeu (comment ça casse). Vous en saurez un peu plus dans le prochain article qui, on l'éspère, sera accompagné d'une fournée de screenshots. Vous y verrez : Du solo, du multi, du Netsabes, des petits fours et un PDG d'Infinity Ward!
So, stay tuned...
- J'y retourne demain
- Je n'aurai les screenshots que demain soir
- Certaines informations ne pourront être divulguées qu'un peu plus tard
La présentation a donc eu lieu dans un grand hôtel des Champs Elysées. À l'arrivée, vers 10h : café, croissants et divers jus attendaient. 'manquait plus que les Ferrero Rochers et je me serais cru à une soirée de Madame l'ambassadeur. Dans la pièce d'à côté, 16 PC de test, en réseau, et une XBox 360 reliée à un über écran, c'est d'ailleurs cette version qu'on m'a proposé de tester en premier, pendant une petite quinzaine de minutes. Une mission de la campagne russe.
Graphiquement, cette version est plutôt jolie, proche de la version PC avec quelques discrets effets graphiques en plus. Bref : joli mais pas transcendant. La maniabilité est, à mon sens, ce qu'on peut obtenir de mieux avec un pad XBox 360, mais ça reste à des années lumière du confort et de la précision du combo clavier/souris. Pour compenser, les développeurs ont introduit un système de visée automatique, qui rend le jeu moins pénible, mais aussi bien plus facile.
Voilà pour les spécificités de cette version XBox 360 par rapport à la version PC, que j'ai pu tester pendant le reste de la journée. En dehors de ça, on retrouve l'ambiance sonore fabuleuse, le gameplay simple et cette fameuse seconde guerre mondiale. Call of Duty 2, c'est bel et bien la suite de Call of Duty (pas croyable), à deux grosses différences près.
Il n'y a pas d'indicateur de santé. Le jeu divise le corps du joueur en deux parties : Si on se prend un tir en pleine tête, on meurt directement, si on se fait tirer dessus sur une autre partie du corps, la santé se régénère peu à peu. D'après ce que j'ai ouï, il s'agit d'un système déjà exploité dans Halo. En mode facile, la hitbox de la tête du joueur est toute petite, afin que les ennemis peinent à la toucher. Cette taille augmente simplement avec la difficulté.
La seconde différence réside dans l'utilisation des grenades fumigènes, qui n'est plus un simple gadget pour faire joli mais un élément de gameplay intéressant, qui, mal utilisé, peut s'avérer très pénalisant (y'aquéqunquivoitquéquchose?), aussi bien en solo qu'en multi.
En dehors de ça, le jeu est très similaire au premier, on retrouve les trois campagnes (dont on débloque les missions de façon chronologique), la majorité des armes, les vilains nazis, les gentils russes/anglais/américains, etc. En somme, rien de bien original, même si le jeu est bien fait et qu'on rentre dedans sans difficulté.
Voilà, c'est fini pour le jeu (comment ça casse). Vous en saurez un peu plus dans le prochain article qui, on l'éspère, sera accompagné d'une fournée de screenshots. Vous y verrez : Du solo, du multi, du Netsabes, des petits fours et un PDG d'Infinity Ward!
So, stay tuned...
Sinon, COD2 s'annonce à peu près comme toutes les suites de jeux sur la WW II. Joli, mais pareil que les précédents opus. C'est toujours délicat d'innover sur ce conflit.