On découvre enfin la bête, bien protégée dans un emballage en velours. L'alim est globalement noire — couleur préférée des gamers. On voit que la référence du bloc est écrite en argenté, qui était la couleur de la boite et qui fait bien évidemment écho à la certification Titanium de ce bloc. Sur le dessus, on découvre le « petit » ventilateur de 135 mm, protégé derrière une grille assez design qui fait en fait l'intégralité du couvercle. Cela prouve qu'on peut faire autre chose qu'une bête grille circulaire comme on voit souvent, et c'est d'ailleurs la marque de fabrique de la gamme Prime chez Seasonic.
De l'autre côté, on a l'étiquette des puissances. Il y est indiqué que cette Prime TX peut délivrer 108,3 A sur le 12 V, soit 1300 W, ce qui correspond exactement à l'intégralité de la puissance annoncée.
A l’arrière, on a l'interrupteur On/off habituel, en plus imposant qu'à l’accoutumée, cela dit. C'est sans doute lié à la puissance entrante. Il y a aussi un autre bouton spécifique, qui permet de mettre en route ou non la ventilation semi-passive. On a déjà vu ce genre de switch sur d'autres modèles Seasonic, c'est un classique. Détail très important, le mode semi-passif n'est pas activé par défaut ! Il faut donc penser à appuyer dessus pour profiter de la fonctionnalité.
Juste à côté, on a la prise 230 V. Elle n'utilise pas un connecteur habituel, au format C13 (parfois appelé « prise bouilloire »), mais un connecteur C19. La différence est dans l'intensité admissible : 10 A pour le C13, mais 16 A pour le C19. Ce changement s'explique notamment par la norme ATX 3.0, qui demande à une alimentation de pouvoir, pendant un bref pic, de délivrer le double de sa puissance annoncée. Et, dans ce cas, les 1300 W de la TX 1300 deviennent 2600 W, ce qui est supérieur aux 2300 W (10 A x 230 V) du C13.
A l'avant, on voit les 18 connecteurs pour les câbles. Une sérigraphie les sépare en 5 groupes et les identifie clairement. Les connecteurs sont de tailles différentes, avec un nombre de broches différent. Il sera donc impossible de faire des confusions. Cela peut paraitre normal, mais il existe des alimentations où la différence n'est que toute relative, et où il ne faut pas forcer beaucoup pour faire des inversions qui peuvent provoquer des dommages ! Bien évidemment, ici ce n'est pas le cas.
Regardons maintenant la ventilation. Habituellement, soit les alims ont un ventilateur qui tourne tout le temps, ce qui est l'immense majorité des cas ; soit les alimentations n'ont pas du tout de ventilateurs, et qu'on appelle donc « fanless ». La Prime TX est, comme d'autres modèles haut de gamme de la marque, à mi-chemin entre les 2 — d'où sa dénomination hybride : sous 40 % de charge, le ventilateur ne tourne pas du tout. Puis au-delà, progressivement, il se met à tourner, comme sur une alim classique.
Dans notre cas, 40 % de 1300 W donnent 520 W. On peut donc tirer ces 520 W tout en étant certain que le ventilo ne se déclenche pas, ce qui est permet, sur une configuration récente, d'avoir un bloc ATX générant 0 dB de nuisance sonore, peut importe la charge CPU, et pour une charge graphique modérée sur une grosse CG. Ensuite, entre 40 et 50 % de charge, la ventilation se fait suivant ce qu'on appelle une hystérésis.
Pour éviter que le ventilo passe son temps à s’arrêter et démarrer suivant les fluctuations de charge quand la consommation est dans cette zone, la Prime TX prend en compte notamment sa température interne pour savoir s’il y a un réel besoin de fraicheur. Si le flux d'air du boitier est suffisant, on peut gagner jusqu'à 10 % de charge, soit 130 W supplémentaires, et être fanless jusqu'à pratiquement 600. Au-delà des 50 % de charge, la rotation du ventilateur est cependant inévitable.
Passons maintenant à l'installation.
De l'autre côté, on a l'étiquette des puissances. Il y est indiqué que cette Prime TX peut délivrer 108,3 A sur le 12 V, soit 1300 W, ce qui correspond exactement à l'intégralité de la puissance annoncée.
A l’arrière, on a l'interrupteur On/off habituel, en plus imposant qu'à l’accoutumée, cela dit. C'est sans doute lié à la puissance entrante. Il y a aussi un autre bouton spécifique, qui permet de mettre en route ou non la ventilation semi-passive. On a déjà vu ce genre de switch sur d'autres modèles Seasonic, c'est un classique. Détail très important, le mode semi-passif n'est pas activé par défaut ! Il faut donc penser à appuyer dessus pour profiter de la fonctionnalité.
Juste à côté, on a la prise 230 V. Elle n'utilise pas un connecteur habituel, au format C13 (parfois appelé « prise bouilloire »), mais un connecteur C19. La différence est dans l'intensité admissible : 10 A pour le C13, mais 16 A pour le C19. Ce changement s'explique notamment par la norme ATX 3.0, qui demande à une alimentation de pouvoir, pendant un bref pic, de délivrer le double de sa puissance annoncée. Et, dans ce cas, les 1300 W de la TX 1300 deviennent 2600 W, ce qui est supérieur aux 2300 W (10 A x 230 V) du C13.
A l'avant, on voit les 18 connecteurs pour les câbles. Une sérigraphie les sépare en 5 groupes et les identifie clairement. Les connecteurs sont de tailles différentes, avec un nombre de broches différent. Il sera donc impossible de faire des confusions. Cela peut paraitre normal, mais il existe des alimentations où la différence n'est que toute relative, et où il ne faut pas forcer beaucoup pour faire des inversions qui peuvent provoquer des dommages ! Bien évidemment, ici ce n'est pas le cas.
Regardons maintenant la ventilation. Habituellement, soit les alims ont un ventilateur qui tourne tout le temps, ce qui est l'immense majorité des cas ; soit les alimentations n'ont pas du tout de ventilateurs, et qu'on appelle donc « fanless ». La Prime TX est, comme d'autres modèles haut de gamme de la marque, à mi-chemin entre les 2 — d'où sa dénomination hybride : sous 40 % de charge, le ventilateur ne tourne pas du tout. Puis au-delà, progressivement, il se met à tourner, comme sur une alim classique.
Dans notre cas, 40 % de 1300 W donnent 520 W. On peut donc tirer ces 520 W tout en étant certain que le ventilo ne se déclenche pas, ce qui est permet, sur une configuration récente, d'avoir un bloc ATX générant 0 dB de nuisance sonore, peut importe la charge CPU, et pour une charge graphique modérée sur une grosse CG. Ensuite, entre 40 et 50 % de charge, la ventilation se fait suivant ce qu'on appelle une hystérésis.
Pour éviter que le ventilo passe son temps à s’arrêter et démarrer suivant les fluctuations de charge quand la consommation est dans cette zone, la Prime TX prend en compte notamment sa température interne pour savoir s’il y a un réel besoin de fraicheur. Si le flux d'air du boitier est suffisant, on peut gagner jusqu'à 10 % de charge, soit 130 W supplémentaires, et être fanless jusqu'à pratiquement 600. Au-delà des 50 % de charge, la rotation du ventilateur est cependant inévitable.
Passons maintenant à l'installation.