On découvre enfin la bête, bien protégée dans un emballage en velours. L'alim est globalement noire — couleur préférée des gamers. On voit que la référence du bloc est écrite en argenté, qui était la couleur de la boite et qui fait bien évidemment écho à la certification Titanium de ce bloc. Sur le dessus, on découvre le « petit » ventilateur de 135 mm, protégé derrière une grille assez design qui fait en fait l'intégralité du couvercle. Cela prouve qu'on peut faire autre chose qu'une bête grille circulaire comme on voit souvent. De l'autre côté, on a l'étiquette des puissances. Il y est indiqué que la Prime Ultra peut délivrer 744 W sur le 12 V, soit quasiment l'intégralité de la puissance.
A l’arrière, on a l'interrupteur On/off habituel, mais il y a aussi un autre spécifique, qui permet de mettre en route ou non la ventilation semi-passive. On avait déjà vu ce genre de switch sur d'autres modèles Seasonic, mais le bouton n'était pas comme ici, accessible de l’extérieur. A notre sens, c'est mieux sur la Prime Ultra. Détail très important, il n'est pas activé par défaut ! Il faut donc penser à appuyer dessus pour profiter de la fonctionnalité.
A l'avant, on voit les 13 connecteurs pour les câbles. Une sérigraphie les sépare en 3 groupes : il y a en fait 2 connecteurs dédiés à la carte mère (ATX et EPS), 5 pour les périphériques, et les 6 restants pour le PCI-Express. Les connecteurs sont de tailles différentes, avec un nombre de broches différent. Il sera donc impossible de faire des confusions. Cela peut paraitre normal, mais il existe des alimentations où la différence n'est que toute relative, et où il ne faut pas forcer beaucoup pour faire des inversions qui peuvent provoquer des dommages ! Bien évidemment, ici ce n'est pas le cas.
Regardons maintenant la ventilation. Habituellement, soit les alims ont un ventilateur qui tourne tout le temps, ce qui est l'immense majorité des cas ; soit les alimentations n'ont pas du tout de ventilateurs, et qu'on appelle donc « fanless ». La Prime Ultra est, comme d'autres modèles haut de gamme, à mi-chemin entre les 2 — d'où sa dénomination hybride : sous 40 % de charge, le ventilateur ne tourne pas du tout. Puis au-delà, progressivement, il se met à tourner, comme sur une alim classique. Dans notre cas, 40 % de 750 W donnent 300 W. On peut donc tirer 300 W tout en étant certain que le ventilo ne se déclenche pas, ce qui est permet, sur une configuration récente, d'avoir un bloc ATX générant 0 dB de nuisance sonore, peut importe la charge CPU, et pour une charge graphique modérée sur une grosse CG. Ensuite, entre 40 et 50 % de charge, la ventilation se fait suivant ce qu'on appelle une hysterisis. Pour éviter que le ventilo passe son temps à s’arrêter et démarrer suivant les fluctuations de charge quand la consommation est dans cette zone, la Prime Ultra prend en compte sa température interne pour savoir si il y a un réel besoin de fraicheur. Si le flux d'air du boitier est suffisant, on gagne 10 % de charge, soit 75 W supplémentaires, pour être fanless. Au-delà des 50 % de charge, la rotation du ventilateur est inévitable.
Passons maintenant à l'installation.
A l’arrière, on a l'interrupteur On/off habituel, mais il y a aussi un autre spécifique, qui permet de mettre en route ou non la ventilation semi-passive. On avait déjà vu ce genre de switch sur d'autres modèles Seasonic, mais le bouton n'était pas comme ici, accessible de l’extérieur. A notre sens, c'est mieux sur la Prime Ultra. Détail très important, il n'est pas activé par défaut ! Il faut donc penser à appuyer dessus pour profiter de la fonctionnalité.
A l'avant, on voit les 13 connecteurs pour les câbles. Une sérigraphie les sépare en 3 groupes : il y a en fait 2 connecteurs dédiés à la carte mère (ATX et EPS), 5 pour les périphériques, et les 6 restants pour le PCI-Express. Les connecteurs sont de tailles différentes, avec un nombre de broches différent. Il sera donc impossible de faire des confusions. Cela peut paraitre normal, mais il existe des alimentations où la différence n'est que toute relative, et où il ne faut pas forcer beaucoup pour faire des inversions qui peuvent provoquer des dommages ! Bien évidemment, ici ce n'est pas le cas.
Regardons maintenant la ventilation. Habituellement, soit les alims ont un ventilateur qui tourne tout le temps, ce qui est l'immense majorité des cas ; soit les alimentations n'ont pas du tout de ventilateurs, et qu'on appelle donc « fanless ». La Prime Ultra est, comme d'autres modèles haut de gamme, à mi-chemin entre les 2 — d'où sa dénomination hybride : sous 40 % de charge, le ventilateur ne tourne pas du tout. Puis au-delà, progressivement, il se met à tourner, comme sur une alim classique. Dans notre cas, 40 % de 750 W donnent 300 W. On peut donc tirer 300 W tout en étant certain que le ventilo ne se déclenche pas, ce qui est permet, sur une configuration récente, d'avoir un bloc ATX générant 0 dB de nuisance sonore, peut importe la charge CPU, et pour une charge graphique modérée sur une grosse CG. Ensuite, entre 40 et 50 % de charge, la ventilation se fait suivant ce qu'on appelle une hysterisis. Pour éviter que le ventilo passe son temps à s’arrêter et démarrer suivant les fluctuations de charge quand la consommation est dans cette zone, la Prime Ultra prend en compte sa température interne pour savoir si il y a un réel besoin de fraicheur. Si le flux d'air du boitier est suffisant, on gagne 10 % de charge, soit 75 W supplémentaires, pour être fanless. Au-delà des 50 % de charge, la rotation du ventilateur est inévitable.
Passons maintenant à l'installation.
c'est bien joli tout cela mais la longueur des cables n'est pas importante?
je ne me souviens pas avoir lu leur longueur! W_w
les photos font douter de la taille de l'atx 24 pins!
et du cpu 2x4pins!
surtout pour l'alimentation de la carte mère atx 24 pins et le cpu 2x4 pins ou 8 pins ?
de plus pour une 750w le boitier peut-etre grand! mais meme en dessous de cette puissance!
vous etes un site de jeux-vidéo en plus W_w
de plus cette marque à les moyens non ?
au revoir