Continuons à présent par un passage en revue des différents éléments que composent ce pack.
Entre les deux éléments, une charnière permet de replier le périphérique, pour en faciliter le rangement. Comme très souvent, on remarque que le Turret a été conçu pour une utilisation de la souris via la main droite et du clavier via la main gauche, la disposition des différents éléments étant figée.
La partie inférieure, qui reposera sur les cuisses de l'utilisateur, est recouverte d'une matière antidérapante assez douce. Pour le reste, il s'agit de plastique classique et non brillant. L'accessoire ne présente pas de défaut apparent et semble plutôt qualitatif.
Sur la partie gauche, on remarque un interrupteur pour passer d'un mode de transmission Bluetooth à un mode RF 2,4 GHz propre au dongle USB fourni. Pas très loin, une petite LED signale l'état du mode de transmission. Nous détaillerons l'utilisation un peu plus loin, mais on remarque d'emblée que le Raiju joue la carte de la compatibilité la plus large possible. Si vous avez un ordinateur ou une tablette Bluetooth, il suffira d'appairer le Raiju. Si vous n'avez pas de Bluetooth, la petite clé USB RF palliera cette absence et prendra en charge la connexion sans fil. C'est un très bon point.
Concluons le passage en revue du clavier en évoquant la présence d'une batterie inamovible de type Li-Po, supposée offrir une autonomie très longue durée. Dans le cadre de notre test, nous n'avons pas pris en défaut les affirmations du fabricant. Disons qu'en faisant quelques recharges régulières, il y a peu de chances de se retrouver « à sec » en plein milieu d'une partie. Ce qui aurait été un peu problématique, puisque tous les éléments du Turret se rechargent par contact avec une base dédiée. Pas possible donc de jouer en rechargeant.
La sérigraphie employée est lisible et sobre, mais avec une disposition QWERTY imposée à tous – nous y reviendrons un peu plus loin.
On remarque l'absence de la touche de modification « Alt Gr » dont l'emplacement habituel est occupé par deux touches « Back » et « Home ». Alors c'est pratique quand le clavier est connecté à un smartphone ou une box Android, un peu moins quand on est sous Windows. Pour un PC sous Windows et pour accéder aux symboles graphiques comme l'arobase, il faut remplacer la combinaison Alt Gr + Touche par Alt + Ctrl + Touche.
En dehors de ce point particulier, la surface des touches et leur disposition sont assez standards pour du QWERTY. On n'a pas l'impression de pratiquer sur un clavier miniaturisé.
On constate également que les touches sont de type chiclet. Un choix relativement logique pour un accessoire dont on a essayé de réduire l'encombrement et qui se rapproche assez logiquement des organes de saisie employés sur les ordinateurs portables de la même marque, comme le Blade ou le Stealth. De fait, on note que les touches ont une course faible et l'absence de clics d'activation. Sur le plan tactile, l'expérience est agréable. La force d'activation n'est pas excessive.
Rappelons également que le Turret dispose d'une technologie anti-ghosting permettant de reconnaître jusqu'à dix touches appuyées simultanément.
En revanche, il y a d'autres points pour lesquels le Turret ne fera pas consensus. Pour ma part, je regrette l'absence de rétroéclairage. Certes, il s'agit d'un périphérique sans fil, donc je peux comprendre que l'on souhaite préserver l'autonomie. Toutefois, c'est aussi un produit que l'on va utiliser dans son salon, dans un environnement relativement sombre. A mon sens, il aurait été plus judicieux de tailler dans l'autonomie du clavier et de préserver une fonction qui me semble essentielle.
Et enfin, il faut revenir au problème de la sérigraphie QWERTY unique, imposée de fait aux consommateurs français et belges. Pour les utilisateurs de la zone AZERTY qui jettent quand même un œil à leurs touches, il y a un vrai problème. Même si Windows peut switcher à votre guise entre une disposition QWERTY et AZERTY, sans trop s'inquiéter de la sérigraphie imprimée sur le clavier, pour l'utilisateur c'est parfois moins évident. Ainsi, celui-ci est susceptible de rechercher ses touches et de se tromper. Bref, un vrai inconfort.
Si les chiffres vous inquiètent, c'est normal. Je conviens que la souris est de petite taille et que la matière qui recouvre le tapis est « adapté », toutefois c'est assez compliqué de manipuler une souris sur une surface aussi réduite. Passe encore pour de la navigation « clic-clic » sur Internet. Mais pour du shooter, ce n'est pas très confortable.
Le clavier
Le clavier est probablement l'élément le plus singulier de cet ensemble. Il se compose de deux parties, à gauche les touches, à droite le tapis de souris. La partie clavier occupe environ 297 mm, la partie tapis 210 mm, soit une longueur totale d'environ 509 mm lorsque le périphérique est déployé.Entre les deux éléments, une charnière permet de replier le périphérique, pour en faciliter le rangement. Comme très souvent, on remarque que le Turret a été conçu pour une utilisation de la souris via la main droite et du clavier via la main gauche, la disposition des différents éléments étant figée.
La partie inférieure, qui reposera sur les cuisses de l'utilisateur, est recouverte d'une matière antidérapante assez douce. Pour le reste, il s'agit de plastique classique et non brillant. L'accessoire ne présente pas de défaut apparent et semble plutôt qualitatif.
Sur la partie gauche, on remarque un interrupteur pour passer d'un mode de transmission Bluetooth à un mode RF 2,4 GHz propre au dongle USB fourni. Pas très loin, une petite LED signale l'état du mode de transmission. Nous détaillerons l'utilisation un peu plus loin, mais on remarque d'emblée que le Raiju joue la carte de la compatibilité la plus large possible. Si vous avez un ordinateur ou une tablette Bluetooth, il suffira d'appairer le Raiju. Si vous n'avez pas de Bluetooth, la petite clé USB RF palliera cette absence et prendra en charge la connexion sans fil. C'est un très bon point.
Concluons le passage en revue du clavier en évoquant la présence d'une batterie inamovible de type Li-Po, supposée offrir une autonomie très longue durée. Dans le cadre de notre test, nous n'avons pas pris en défaut les affirmations du fabricant. Disons qu'en faisant quelques recharges régulières, il y a peu de chances de se retrouver « à sec » en plein milieu d'une partie. Ce qui aurait été un peu problématique, puisque tous les éléments du Turret se rechargent par contact avec une base dédiée. Pas possible donc de jouer en rechargeant.
Les touches
Concernant la partie clavier proprement dite, celle-ci est dépourvue de touches macro et de pavé numérique. On appelle ce genre de clavier un Ten Key Less ( « TKL » ) – et c'est très courant pour les claviers nomades où on sacrifie des fonctions redondantes ou peu utiles pour gagner en compacité. Cette disposition est idéalement pensée pour du gaming, la main gauche reposant naturellement sur les touches utiles, sans écartement excessif des bras – d'où une fatigue moindre. A contrario, pour saisir du texte, la main droite doit être ramenée vers l'intérieur, mais ce n'est pas l'utilisation à laquelle est destiné le Turret.La sérigraphie employée est lisible et sobre, mais avec une disposition QWERTY imposée à tous – nous y reviendrons un peu plus loin.
On remarque l'absence de la touche de modification « Alt Gr » dont l'emplacement habituel est occupé par deux touches « Back » et « Home ». Alors c'est pratique quand le clavier est connecté à un smartphone ou une box Android, un peu moins quand on est sous Windows. Pour un PC sous Windows et pour accéder aux symboles graphiques comme l'arobase, il faut remplacer la combinaison Alt Gr + Touche par Alt + Ctrl + Touche.
En dehors de ce point particulier, la surface des touches et leur disposition sont assez standards pour du QWERTY. On n'a pas l'impression de pratiquer sur un clavier miniaturisé.
On constate également que les touches sont de type chiclet. Un choix relativement logique pour un accessoire dont on a essayé de réduire l'encombrement et qui se rapproche assez logiquement des organes de saisie employés sur les ordinateurs portables de la même marque, comme le Blade ou le Stealth. De fait, on note que les touches ont une course faible et l'absence de clics d'activation. Sur le plan tactile, l'expérience est agréable. La force d'activation n'est pas excessive.
Rappelons également que le Turret dispose d'une technologie anti-ghosting permettant de reconnaître jusqu'à dix touches appuyées simultanément.
En revanche, il y a d'autres points pour lesquels le Turret ne fera pas consensus. Pour ma part, je regrette l'absence de rétroéclairage. Certes, il s'agit d'un périphérique sans fil, donc je peux comprendre que l'on souhaite préserver l'autonomie. Toutefois, c'est aussi un produit que l'on va utiliser dans son salon, dans un environnement relativement sombre. A mon sens, il aurait été plus judicieux de tailler dans l'autonomie du clavier et de préserver une fonction qui me semble essentielle.
Et enfin, il faut revenir au problème de la sérigraphie QWERTY unique, imposée de fait aux consommateurs français et belges. Pour les utilisateurs de la zone AZERTY qui jettent quand même un œil à leurs touches, il y a un vrai problème. Même si Windows peut switcher à votre guise entre une disposition QWERTY et AZERTY, sans trop s'inquiéter de la sérigraphie imprimée sur le clavier, pour l'utilisateur c'est parfois moins évident. Ainsi, celui-ci est susceptible de rechercher ses touches et de se tromper. Bref, un vrai inconfort.
La surface de glisse
La surface de glisse occupe environ 19 x 11,5 cm. A titre de comparaison, l'imposant Sova propose une surface de 27 x 22 cm pour la souris – ce qui n'était déjà pas énorme, mais tout de même exploitable.Si les chiffres vous inquiètent, c'est normal. Je conviens que la souris est de petite taille et que la matière qui recouvre le tapis est « adapté », toutefois c'est assez compliqué de manipuler une souris sur une surface aussi réduite. Passe encore pour de la navigation « clic-clic » sur Internet. Mais pour du shooter, ce n'est pas très confortable.