Swarm est le nom de l'interface de gestion unifiée des périphériques de la marque, à l'instar des pilotes unifiés des marques concurrentes, comme Synapse chez Razer ou LGS chez Logitech. Lancé récemment, de nombreux produits ont maintenant rejoint la liste, ce qui rend Swarm indispensable si vous possédez plusieurs périphériques de la marque, mais surtout si vous voulez pleinement en profiter.
Comme souvent avec les pilotes unifiés, on retrouve une fonction de mise à jour automatique, qui gère également les mises à jour de firmware, mais aussi le téléchargement d'un module dédié à un nouveau périphérique quand celui-ci est connecté au PC.
Le constructeur fournit un bref changelog ce qui permet d'avoir une petite idée des corrections apportées par la version. On notera que si Swarm est disponible en multilingue – ce qui n'était pas le cas de bien des pilotes Roccat par le passé – la traduction française est si perfectible que beaucoup préféreront rester dans la langue de Shakespeare. La faute à des erreurs dans la traduction ainsi qu'à la présence d'options non traduites, proposées à défaut en anglais – ce qui fait plutôt désordre, il faut bien l'avouer.
En plus de Swarm, notre Isku+ Force FX est aussi équipé de Roccat Talk. Elle permet d'incorporer d'autres appareils de la marque afin de profiter de nouvelles fonctionnalités en jeu, comme la multiplication de raccourcis sur la souris grâce à Easy Shift.
Intéressons-nous maintenant aux possibilités de réglages offertes. On retrouve dans un premier temps les 4 onglets suivants :
Une collection de réglages prédéfinis vous est aussi fournie, pour divers jeux ou votre navigateur préféré par exemple.
Et la partie la plus intéressante pour notre modèle :
Sur la gauche, Roccat propose quelques profils prédéfinis selon les jeux, afin de faciliter la tâche aux joueurs. Petit plus : il est possible de cocher la case « Led force indication » afin d'observer, dans le coin de votre Isku Force FX (là où sont signalés les changements de profils), la pression que vous exercez sur l'une des six touches à retour de force.
On trouve juste à côté un gestionnaire de macros, qui est assez clair. L'interface est découpée en 2. Du côté gauche, on trouve une liste conséquente de jeux, et pour chaque, la liste de toutes les actions présentes dans le jeu. À partir de là, il est facile de les affecter aux touches de macro du clavier. Mais il y a bien évidemment un éditeur complet, situé sur la partie droite, avec la possibilité d'enregistrer des séquences de touches, et de la retoucher après coup. On peut par exemple fixer le délai entre appuis de touche à 2 ms, difficile de faire plus rapide !
Le reste des fonctionnalités de Swarm concerne principalement l'ajout d'autres périphériques unifiés de la marque (Roccat Talk et Talk FX) ou la configuration de modules extérieurs comme un smartphone, une tablette, etc. Pour notre test, nous avons utilisé la version 1.92, qui apporte le firmware Isku+ Force FX 1.28. Dommage que nous n'ayons pas pu profiter de Talk FX, n'ayant pas de produits Roccat compatibles à notre disposition au moment du test.
Comme souvent avec les pilotes unifiés, on retrouve une fonction de mise à jour automatique, qui gère également les mises à jour de firmware, mais aussi le téléchargement d'un module dédié à un nouveau périphérique quand celui-ci est connecté au PC.
Le constructeur fournit un bref changelog ce qui permet d'avoir une petite idée des corrections apportées par la version. On notera que si Swarm est disponible en multilingue – ce qui n'était pas le cas de bien des pilotes Roccat par le passé – la traduction française est si perfectible que beaucoup préféreront rester dans la langue de Shakespeare. La faute à des erreurs dans la traduction ainsi qu'à la présence d'options non traduites, proposées à défaut en anglais – ce qui fait plutôt désordre, il faut bien l'avouer.
En plus de Swarm, notre Isku+ Force FX est aussi équipé de Roccat Talk. Elle permet d'incorporer d'autres appareils de la marque afin de profiter de nouvelles fonctionnalités en jeu, comme la multiplication de raccourcis sur la souris grâce à Easy Shift.
Intéressons-nous maintenant aux possibilités de réglages offertes. On retrouve dans un premier temps les 4 onglets suivants :
Onglet General features
Ici sont regroupés les réglages divers du clavier, certains plus pertinents que d'autres. Ainsi, la possibilité de jouer un son à chaque appui de touche nous apparaît comme complètement inutile, mais cela doit donc être complètement indispensable pour de rares personnes (ou pour amuser rapidement la galerie). Pouvoir régler le délai de répétition de touche parait déjà plus pertinent. On remarque une autre possibilité intéressante, à savoir le réglage au niveau de la réponse des leds, pratique pour mieux gérer ses effets lumineux.Onglet Key assigment
Cette partie de l'interface permet de gérer l'affectation des touches, notamment celles des macros et celles situées sous la barre d'espace. Le principe retenu est celui du glisser-déposer. Depuis un catalogue de fonctions prédéfinies (lancer une application, monter le volume, etc), on dépose celle qui nous intéresse dans l'un des 2 emplacements disponibles par touches. On le disait plus haut dans l'article, avoir 2 usages par touche est rendu possible par la touche Easy-Shift. Plus intéressant encore, il est possible de savoir quelles fonctions sont déjà mappées à une touche, puisque celles-ci portent un petit point bleu à côté de leur nom. Et quand on le survole avec la souris, la touche correspondante s'illumine sur la photo du clavier présente dans l'interface du clavier. Difficile de faire plus ergonomique de ce point-là.Une collection de réglages prédéfinis vous est aussi fournie, pour divers jeux ou votre navigateur préféré par exemple.
Onglet Key illumination
Dans cet onglet, sont rassemblées les options qui touchent au rétroéclairage et aux LEDs des tranches du clavier. Des effets classiques de respiration ou de clignotements sont bien évidemment présents, du fait que nous possédons le modèle « FX ». Chaque effet peut être configuré séparément en définissant sa couleur, sa rapidité et son taux de luminosité. Au total, 16,8 millions de couleurs sont disponibles, classique. Dommage que la fonction « Talk FX » permettant un éclairage différent lors des phases de jeux (le clavier devient rouge si votre vie est basse par exemple) soit réservé à d'autres modèles de la marque comme le Skeltr. Pourtant, notre clavier est bien une version avec rétroéclairage complet ...Et la partie la plus intéressante pour notre modèle :
Onglet Force FX settings
C'est ici que les réglages concernant le retour de force se font. L'onglet se présente avec les six touches concernées en gros plan, donnant l'envie de les configurer. Si vous cliquez sur l'une d'entre elles, une icône en forme de manette apparaîtra, permettant de définir la fonction de la touche par simple clic sur la manette. En bas, une jauge de force est présente pour voir la pression exercée sur la touche. Si vous trouvez cela trop mou ou trop rapide, il suffira de cliquer sur le menu « force » juste en haut et de paramétrer le tout manuellement.Sur la gauche, Roccat propose quelques profils prédéfinis selon les jeux, afin de faciliter la tâche aux joueurs. Petit plus : il est possible de cocher la case « Led force indication » afin d'observer, dans le coin de votre Isku Force FX (là où sont signalés les changements de profils), la pression que vous exercez sur l'une des six touches à retour de force.
Et le reste
Outre ces 4 onglets, il y a bien évidemment un gestionnaire de profils, présent en bas de l'interface. Comme à l'accoutumée chez Roccat depuis des années, c'est le chiffre de 5 profils disponibles simultanément qui est retenu par la marque. On peut passer d'un profil à l'autre par appui de touche, mais aussi suivant le type d'exécutable lancé.On trouve juste à côté un gestionnaire de macros, qui est assez clair. L'interface est découpée en 2. Du côté gauche, on trouve une liste conséquente de jeux, et pour chaque, la liste de toutes les actions présentes dans le jeu. À partir de là, il est facile de les affecter aux touches de macro du clavier. Mais il y a bien évidemment un éditeur complet, situé sur la partie droite, avec la possibilité d'enregistrer des séquences de touches, et de la retoucher après coup. On peut par exemple fixer le délai entre appuis de touche à 2 ms, difficile de faire plus rapide !
Le reste des fonctionnalités de Swarm concerne principalement l'ajout d'autres périphériques unifiés de la marque (Roccat Talk et Talk FX) ou la configuration de modules extérieurs comme un smartphone, une tablette, etc. Pour notre test, nous avons utilisé la version 1.92, qui apporte le firmware Isku+ Force FX 1.28. Dommage que nous n'ayons pas pu profiter de Talk FX, n'ayant pas de produits Roccat compatibles à notre disposition au moment du test.