Nous avons donc reçu la déclinaison Silver et dotée d'un emplacement pour un lecteur optique au format slim. Le FC8 Alpha existe aussi sans cet emplacement, et en noir, pour un total de 4 combinaisons différentes. Pour le test, le boitier est accompagné d'une alimentation spécifique, de type Nano Series, qui s'achète à part. En effet, les boitiers ultra compacts ne permettent pas de placer l'alimentation à l’intérieur, elle va donc se mettre, comme on le verra, en grande partie à l’extérieur.
Les emballages pour les 2 produits font dans le minimaliste, jugez plutôt en photo :
Le boitier a une photo – la même sur les 2 faces – mais l'alimentation n'en a même pas. Il n'y a ni fiche technique ni liste de fonctionnalités, il faudra aller sur le site, ou dans la colonne de droite de cet article, pour tout découvrir.
Quand on ouvre l'emballage, on découvre, outre le boitier en lui-même, tout un ensemble de pièces métalliques. Elles vont en fait servir à assembler le système de refroidissement. En effet, il n'y a pas de ventilateur dans le boitier, mais la construction du Streacom fait qu'il n'y en a pas non plus sur le CPU. Le boitier, en aluminium, sert en fait de radiateur géant, couplé à des caloducs pour extraire la chaleur du processeur.
Le reste des accessoires est plus classique, avec de la quincaillerie et une notice.
Regardons maintenant le boitier, au format desktop. En façade on voit 2 ports USB 3, le bouton Power, la fente pour un lecteur optique slot-in, ainsi qu'une zone pour un capteur infrarouge, qui n'est pas livré en standard. Le côté droit comporte des ouïes de ventilation, tandis que l'arrière pourra accueillir le shield I/O de la carte mère ITX. L'ensemble parait très bien fini, et très solide.
L'alimentation, quant à elle est un peu surprenante. Elle est en fait en 2 parties. D'un côté, on a un bloc d'alimentation, similaire à ce qu'on trouve sur un PC portable. De l'autre, on une petite carte électronique, qui a la taille du connecteur ATX de la carte mère, et qui vient s'enficher dedans. La partie à l’intérieur du FC8 de cette Nano 160 porte bien son nom, elle est vraiment minuscule ! Si on regarde la fiche constructeur, on voit que pour autant, on est face à une vraie alimentation. Son rendement de 87% la place dans la gamme des 80+ Bronze, et pas loin du 80+ Silver. Les variations de tension sont annoncées comme étant inférieures à 180 mV, là aussi c'est très bien.
Elle est capable de délivrer 150 W en continu, d’après ce qu'on voit sur les informations techniques présentes sur l'étiquette du bloc, et non 160 comme on pourrait le croire – il s'agit de la puissance pic, atteignable pendant une très brève période . En pratique, on le verra, on a pas besoin d'autant, étant donné qu'il n'y a pas de place pour une carte graphique externe.
Passons maintenant au montage.
Les emballages pour les 2 produits font dans le minimaliste, jugez plutôt en photo :
Le boitier a une photo – la même sur les 2 faces – mais l'alimentation n'en a même pas. Il n'y a ni fiche technique ni liste de fonctionnalités, il faudra aller sur le site, ou dans la colonne de droite de cet article, pour tout découvrir.
Quand on ouvre l'emballage, on découvre, outre le boitier en lui-même, tout un ensemble de pièces métalliques. Elles vont en fait servir à assembler le système de refroidissement. En effet, il n'y a pas de ventilateur dans le boitier, mais la construction du Streacom fait qu'il n'y en a pas non plus sur le CPU. Le boitier, en aluminium, sert en fait de radiateur géant, couplé à des caloducs pour extraire la chaleur du processeur.
Le reste des accessoires est plus classique, avec de la quincaillerie et une notice.
Regardons maintenant le boitier, au format desktop. En façade on voit 2 ports USB 3, le bouton Power, la fente pour un lecteur optique slot-in, ainsi qu'une zone pour un capteur infrarouge, qui n'est pas livré en standard. Le côté droit comporte des ouïes de ventilation, tandis que l'arrière pourra accueillir le shield I/O de la carte mère ITX. L'ensemble parait très bien fini, et très solide.
L'alimentation, quant à elle est un peu surprenante. Elle est en fait en 2 parties. D'un côté, on a un bloc d'alimentation, similaire à ce qu'on trouve sur un PC portable. De l'autre, on une petite carte électronique, qui a la taille du connecteur ATX de la carte mère, et qui vient s'enficher dedans. La partie à l’intérieur du FC8 de cette Nano 160 porte bien son nom, elle est vraiment minuscule ! Si on regarde la fiche constructeur, on voit que pour autant, on est face à une vraie alimentation. Son rendement de 87% la place dans la gamme des 80+ Bronze, et pas loin du 80+ Silver. Les variations de tension sont annoncées comme étant inférieures à 180 mV, là aussi c'est très bien.
Elle est capable de délivrer 150 W en continu, d’après ce qu'on voit sur les informations techniques présentes sur l'étiquette du bloc, et non 160 comme on pourrait le croire – il s'agit de la puissance pic, atteignable pendant une très brève période . En pratique, on le verra, on a pas besoin d'autant, étant donné qu'il n'y a pas de place pour une carte graphique externe.
Passons maintenant au montage.