IOmeter n'était pas jusqu'à présent dans nos tests, et c'était sans doute un manque que nous pallions pour la première fois dans cet article. Cet outil, dont le développement à commencé par intel au début des années 2000 a pour but de mesurer notamment les IOPS, les Input/Output Per Second d'un disque dur ou d'un SSD. Habituellement, les constructeurs annoncent des valeurs importantes, entre 60 et 100 K IOPS. Parfois ils précisent « jusqu'à ». Ils omettent de dire que ces valeurs ne sont valables que si toutes les cellules du SSD n'ont pas été écrites une fois. Autrement dit, ce chiffre ne fait que décroitre avec l'utilisation d'un SSD.
Pour prendre en compte ce phénomène, l'organisme SNIA conseille de faire des mesures d'IOPS une fois que le SSD a été écrit complètement. Cela peut être accompli avec IOMeter en le faisant tourner 12H d'affilée, en utilisant de l'écriture aléatoire de 4 Ko de données incompressibles. Une fois le disque complètement écrit, on se retrouve alors avec des performances moins bonnes qu'au déballage du disque, après être passé par une phase de transition, mais ce sont celles que l'on aura une fois le disque réellement utilisé au quotidien. C'est donc une sorte de test de vieillissement accéléré.
Dans notre cas, nous allons donc utiliser IOmeter dans le but de vérifier si les chiffres avancés par le constructeur pour le « régime permanent » – une fois que le disque a été écrit – sont réels. En effet, OCZ annonce une performance de 80 KIOPS au début, qui finit par se stabiliser à 18 KIOPS. Le delta parait important, pourtant il faut bien voir que ce chiffre est en sorte une valeur brute. D'ailleurs, il se mesure sur un SSD dépourvu de toute partition, car les systèmes d'exploitation ont des mécanismes qui permettent de compenser ce genre de phénomène.
Étudions maintenant les résultats obtenus.
Pour prendre en compte ce phénomène, l'organisme SNIA conseille de faire des mesures d'IOPS une fois que le SSD a été écrit complètement. Cela peut être accompli avec IOMeter en le faisant tourner 12H d'affilée, en utilisant de l'écriture aléatoire de 4 Ko de données incompressibles. Une fois le disque complètement écrit, on se retrouve alors avec des performances moins bonnes qu'au déballage du disque, après être passé par une phase de transition, mais ce sont celles que l'on aura une fois le disque réellement utilisé au quotidien. C'est donc une sorte de test de vieillissement accéléré.
Dans notre cas, nous allons donc utiliser IOmeter dans le but de vérifier si les chiffres avancés par le constructeur pour le « régime permanent » – une fois que le disque a été écrit – sont réels. En effet, OCZ annonce une performance de 80 KIOPS au début, qui finit par se stabiliser à 18 KIOPS. Le delta parait important, pourtant il faut bien voir que ce chiffre est en sorte une valeur brute. D'ailleurs, il se mesure sur un SSD dépourvu de toute partition, car les systèmes d'exploitation ont des mécanismes qui permettent de compenser ce genre de phénomène.
Étudions maintenant les résultats obtenus.
Non seulement la ligne rédactionnelle est incontestable, mais en plus le sérieux de ce test ne fait pas de doutes tant ça a l'air complet, et bien présenté. Y compris pour ce tout petit plus (très important) qui concerne le SAV.
Je dispose sur ma machine du M550 de Crucial (Windows) mais aussi d'un Samsung 830 (Linux Mint). Il semble clair que si je dois changer de SSD, je retiens ce modèle de chez OCZ.
Les graphiques ont eux-aussi bien changés depuis mon passage en Rédac...