Si on parle un peu technique, l’Arc 100 est architecturé autour d'un contrôleur de chez Indilinx. Indilinx était en fait une filiale d'OCZ Technology, spécialisée dans la conception de contrôleur, notamment la gamme Barefoot. Elle a donc fait faillite en même temps qu'OCZ, et a également rachetée par Toshiba au même moment, lui permettant ainsi de continuer son activité. Les Barefoot sont ainsi présents chez de nombreux constructeurs, y compris, et c'est logique, dans ceux de OCZ.
Dans l'Arc 100 est utilisé le Barefoot 3, dans sa version M10. C'est une déclinaison du Barefoot 3 un peu moins puissante que la M00, réservée à des SSD plus haut de gamme chez OCZ comme le Vector 150 par exemple. Elle a cependant l'avantage d'être moins énergivore. Dans tous les cas, Le Barefoot M3 est organisé autour d'un processeur générique ARM Cortex et d'un coprocesseur spécialisé Aragoni, qui sait gérer les puces de mémoire flash sur 8 canaux parallèles. Pour augmenter les performances, le Barefoot peut s'interfacer avec un cache de RAM. Dans le cas de l’Arc 100, il y a pas moins de 512 Mo de DDR3. Le Trim, la correction ECC et le chiffrement AES 256 bits sont bien évidemment de la partie.
Après avoir observé ce SSD sous toutes les coutures, il temps de l'installer au sein de notre configuration de test, et de l'éprouver par la suite.
Dans l'Arc 100 est utilisé le Barefoot 3, dans sa version M10. C'est une déclinaison du Barefoot 3 un peu moins puissante que la M00, réservée à des SSD plus haut de gamme chez OCZ comme le Vector 150 par exemple. Elle a cependant l'avantage d'être moins énergivore. Dans tous les cas, Le Barefoot M3 est organisé autour d'un processeur générique ARM Cortex et d'un coprocesseur spécialisé Aragoni, qui sait gérer les puces de mémoire flash sur 8 canaux parallèles. Pour augmenter les performances, le Barefoot peut s'interfacer avec un cache de RAM. Dans le cas de l’Arc 100, il y a pas moins de 512 Mo de DDR3. Le Trim, la correction ECC et le chiffrement AES 256 bits sont bien évidemment de la partie.
Après avoir observé ce SSD sous toutes les coutures, il temps de l'installer au sein de notre configuration de test, et de l'éprouver par la suite.
Non seulement la ligne rédactionnelle est incontestable, mais en plus le sérieux de ce test ne fait pas de doutes tant ça a l'air complet, et bien présenté. Y compris pour ce tout petit plus (très important) qui concerne le SAV.
Je dispose sur ma machine du M550 de Crucial (Windows) mais aussi d'un Samsung 830 (Linux Mint). Il semble clair que si je dois changer de SSD, je retiens ce modèle de chez OCZ.
Les graphiques ont eux-aussi bien changés depuis mon passage en Rédac...