Le Strix Pro nous est livré dans un volumineux « packaging », tout de noir vêtu, avec des polices oranges et argentées. Il faut dire que c'est la grande mode cette année, et que la chouette se devait d'en mettre plein la vue. Mission réussie car, entre les couleurs flashy et le volume conséquent de la boite, il est difficile de passer à côté du Strix Pro.
Une grande fenêtre en plastique laisse apparaître toute la moitié droite du casque, confirmant d'emblée le côté assez massif de la bête.
Les principales caractéristiques sont rappelées sur la packaging, dans la langue de Shakespeare : compatibilité multi-plateformes (PC, Mac, PlayStation 4), technologie de réduction du bruit environnant, oreillettes rotatives (pour faciliter le transport), transducteurs de 60 mm.
On trouve également une explication en anglais de la dénomination « Strix ». Nous reportons ici la traduction française proposée sur le site internet d'Asus, car elle traduit les principes qui guident le fabricant pour cette nouvelle gamme de périphériques :
Comme pour la majorité des produits actuels, la documentation papier se limite à des informations extrêmement basiques et évidentes, déclinées ici en une trentaine de langues, sur un grand dépliant recto-verso. Néanmoins, comme le casque se connecte à des prises jacks et qu'il n'y a pas de processus d'installation particulier, un imposant compendium n'était probablement pas indispensable à une bonne utilisation de cet appareil.
La garantie constructeur est précisée pour une période de deux ans, mais ne semble pas couvrir les accessoires.
Une grande fenêtre en plastique laisse apparaître toute la moitié droite du casque, confirmant d'emblée le côté assez massif de la bête.
Les principales caractéristiques sont rappelées sur la packaging, dans la langue de Shakespeare : compatibilité multi-plateformes (PC, Mac, PlayStation 4), technologie de réduction du bruit environnant, oreillettes rotatives (pour faciliter le transport), transducteurs de 60 mm.
On trouve également une explication en anglais de la dénomination « Strix ». Nous reportons ici la traduction française proposée sur le site internet d'Asus, car elle traduit les principes qui guident le fabricant pour cette nouvelle gamme de périphériques :
« Dérivé d'un ancien terme romain signifiant hibou, le mot Strix est aujourd'hui utilisé dans le monde animal pour désigner plusieurs espèces de chouettes. Ce terme sous-entend donc une ouïe parfaite, une vision ultra-précise ainsi qu'une capacité à s'adapter à son environnement, tout ce dont les joueurs ont besoin pour réussir leur partie. ASUS le sait, les joueurs ont déjà le Strix dans le sang, ils n'ont plus qu'à en découvrir les performances. »Au déballage, pas de mauvaise surprise : tout est bien emballé et bien protégé. A l'intérieur du paquet, on trouve :
- le casque avec sa connectique 3,5 mm en 5 points ;
- un microphone détachable ;
- un boîtier de commande avec deux connecteurs 3,5 mm en 3 points (écouteurs et microphones séparés), ainsi qu'un connecteur USB pour l'alimentation ;
- deux adaptateurs 3,5 mm en 4 points, pour les standards OMTP et AHJ ;
- une documentation papier.
Comme pour la majorité des produits actuels, la documentation papier se limite à des informations extrêmement basiques et évidentes, déclinées ici en une trentaine de langues, sur un grand dépliant recto-verso. Néanmoins, comme le casque se connecte à des prises jacks et qu'il n'y a pas de processus d'installation particulier, un imposant compendium n'était probablement pas indispensable à une bonne utilisation de cet appareil.
La garantie constructeur est précisée pour une période de deux ans, mais ne semble pas couvrir les accessoires.