Après plusieurs jours passés en compagnie de ce casque Steelseries, il est temps de dresser le bilan du 9H. Nous l'avons testé bien évidemment en jeu — son terrain de prédilection — mais aussi sur de la musique et sur des vidéos, et même sur smartphone.
L'ensemble est très solide, bien fini, bien ajusté et les matériaux choisis font premium. Il n'y a pas de craquements ou de grincements désagréables quand on bouge les différentes parties, ce qui montre un ajustement parfait. Il est clair qu'il est fait pour durer et supporter de longues heures de jeux. Sur la balance, le poids du 9H est de 280 g, ce qui le place dans la moyenne basse des casques testés à la rédaction. Le choix de bobines de 40 mm contribue à garder la maitrise du poids. Ce n'est donc pas parce qu'il est parait imposant qu'il est lourd. Une fois sur la tête, le casque se révèle être très confortable : il n'exerce pas de pression outre mesure sur les oreilles. On n'a donc pas les oreilles en feu au bout d'une heure, et c'est appréciable, car c'est une des raisons d'être de ce genre de produit.
Côté audio, le rendu audio est vraiment très bon, que ce soit au niveau des basses que des aigües, en jeu ou en usage musical, même si officiellement le casque est plutôt optimisé pour les bruits de pas et les coups de feux que pour de la guitare électrique et du piano. On a utilisé notamment les FPS Battlefield 4 pour le multi et Metro 2033 pour le solo et on en prend pleins les oreilles. Cris, tirs, explosions, tout sonne juste. La spatialisation en 7.1 semble donner une légère amélioration sur le positionnement des ennemis dans l’environnement proche.
La carte son SoundCard V2 proposée est quant à elle loin de faire gadget, vu qu'elle embarque en fait toute l'intelligence du casque : égaliseur, système de presets, Dolby, retour micro dans le casque, elle s'occupe de tout ça. Le chapitre précédent nous a aussi indiqué qu'au niveau du volume sonore, on avait largement de la marge... Sa conception non restreinte au 9H est aussi un argument pertinent. Le fait est qu'on peut réellement brancher un 2e micro-casque en parallèle du 9H en utilisant la sortie jack. La qualité du rendu audio sur cette sortie est variable, suivant ce qu'on branche : un casque stéréo classique comme le Corsair 1300 n'offre ainsi pas un son irréprochable dans ces conditions, le son est un plus sec et lisse qu'avec une carte son classique. On peut essayer de brancher un kit d'enceinte, comme le kit 2.1 Rockus 3D de SoundScience et ses 150 W, mais on voit bien que la sortie est calibrée pour un casque car elle manque de puissance ici. Le son est bon, mais il faut monter beaucoup le volume du kit d'enceintes, et malheureusement on se retrouve avec un léger souffle que les puristes ne supporteront dans doute pas. Il faudra donc faire des essais, et faire des compromis.
Coté télécommande, son très faible poids fait qu'elle ne tire pas du tout sur le câble, et c'est une bonne chose. Le bouton de volume est facile à manipuler, ce qui est un peu moins vrai avec le bouton de mute micro, qui est un peu trop lisse à notre gout. On n'arrive pas toujours à le manipuler correctement du premier coup. Le reste du câblage est vraiment d'excellente facture, bien pensé. L'aspect modulaire est un réel plus, et le marketing n'a pas eu le dernier mot concernant le métal des jacks, rajoutant ainsi de la crédibilité quant à la qualité audio du 9H.
Au niveau du micro, les tests de logiciels de communication ont tous été à l'honneur du casque. La voix est très claire, sans bruit de fond, notamment grâce à une réduction du bruit très efficace une fois l'option activée. La prestation offerte par le 9H à ce niveau est donc tout à fait convaincante, et le micro est vraiment très facile à positionner, ainsi qu'à rentrer et sortir de son logement. En revanche, ce qui peut perturber un peu au début, c'est le fait qu'il ne vient pas se placer devant la bouche, mais reste le long de la joue. Pour sortir ou rentrer le micro de son logement, il ne faut que quelques secondes, mais c'est toujours plus lent que de remonter une tige, et il faut en plus les deux mains, mais le gain d'encombrement compense à notre sens largement.
Notons également la suite logicielle Engine V3, qui nous a vraiment emballés sur toute la ligne. Claire, intuitive et soignée, c'est un modèle du genre, malgré la petite faute de localisation bien visible (« Ma équipement »), mais c'est très rapidement oublié. Tous les nouveaux produits de la marque vont l'utiliser, et il se peut que certains plus anciens finissent par y avoir droit.
Pour finir, l'essai sur smartphone s'est déroulé sans anicroche. Il a suffi de brancher le casque avec l'adaptateur idoine pour qu'il soit reconnu automatiquement. Bien sûr, on n'a plus dans ce mode tous les réglages liés à la carte son, mais cela fonctionne parfaitement dans ces conditions.
L'ensemble est très solide, bien fini, bien ajusté et les matériaux choisis font premium. Il n'y a pas de craquements ou de grincements désagréables quand on bouge les différentes parties, ce qui montre un ajustement parfait. Il est clair qu'il est fait pour durer et supporter de longues heures de jeux. Sur la balance, le poids du 9H est de 280 g, ce qui le place dans la moyenne basse des casques testés à la rédaction. Le choix de bobines de 40 mm contribue à garder la maitrise du poids. Ce n'est donc pas parce qu'il est parait imposant qu'il est lourd. Une fois sur la tête, le casque se révèle être très confortable : il n'exerce pas de pression outre mesure sur les oreilles. On n'a donc pas les oreilles en feu au bout d'une heure, et c'est appréciable, car c'est une des raisons d'être de ce genre de produit.
Côté audio, le rendu audio est vraiment très bon, que ce soit au niveau des basses que des aigües, en jeu ou en usage musical, même si officiellement le casque est plutôt optimisé pour les bruits de pas et les coups de feux que pour de la guitare électrique et du piano. On a utilisé notamment les FPS Battlefield 4 pour le multi et Metro 2033 pour le solo et on en prend pleins les oreilles. Cris, tirs, explosions, tout sonne juste. La spatialisation en 7.1 semble donner une légère amélioration sur le positionnement des ennemis dans l’environnement proche.
La carte son SoundCard V2 proposée est quant à elle loin de faire gadget, vu qu'elle embarque en fait toute l'intelligence du casque : égaliseur, système de presets, Dolby, retour micro dans le casque, elle s'occupe de tout ça. Le chapitre précédent nous a aussi indiqué qu'au niveau du volume sonore, on avait largement de la marge... Sa conception non restreinte au 9H est aussi un argument pertinent. Le fait est qu'on peut réellement brancher un 2e micro-casque en parallèle du 9H en utilisant la sortie jack. La qualité du rendu audio sur cette sortie est variable, suivant ce qu'on branche : un casque stéréo classique comme le Corsair 1300 n'offre ainsi pas un son irréprochable dans ces conditions, le son est un plus sec et lisse qu'avec une carte son classique. On peut essayer de brancher un kit d'enceinte, comme le kit 2.1 Rockus 3D de SoundScience et ses 150 W, mais on voit bien que la sortie est calibrée pour un casque car elle manque de puissance ici. Le son est bon, mais il faut monter beaucoup le volume du kit d'enceintes, et malheureusement on se retrouve avec un léger souffle que les puristes ne supporteront dans doute pas. Il faudra donc faire des essais, et faire des compromis.
Coté télécommande, son très faible poids fait qu'elle ne tire pas du tout sur le câble, et c'est une bonne chose. Le bouton de volume est facile à manipuler, ce qui est un peu moins vrai avec le bouton de mute micro, qui est un peu trop lisse à notre gout. On n'arrive pas toujours à le manipuler correctement du premier coup. Le reste du câblage est vraiment d'excellente facture, bien pensé. L'aspect modulaire est un réel plus, et le marketing n'a pas eu le dernier mot concernant le métal des jacks, rajoutant ainsi de la crédibilité quant à la qualité audio du 9H.
Au niveau du micro, les tests de logiciels de communication ont tous été à l'honneur du casque. La voix est très claire, sans bruit de fond, notamment grâce à une réduction du bruit très efficace une fois l'option activée. La prestation offerte par le 9H à ce niveau est donc tout à fait convaincante, et le micro est vraiment très facile à positionner, ainsi qu'à rentrer et sortir de son logement. En revanche, ce qui peut perturber un peu au début, c'est le fait qu'il ne vient pas se placer devant la bouche, mais reste le long de la joue. Pour sortir ou rentrer le micro de son logement, il ne faut que quelques secondes, mais c'est toujours plus lent que de remonter une tige, et il faut en plus les deux mains, mais le gain d'encombrement compense à notre sens largement.
Notons également la suite logicielle Engine V3, qui nous a vraiment emballés sur toute la ligne. Claire, intuitive et soignée, c'est un modèle du genre, malgré la petite faute de localisation bien visible (« Ma équipement »), mais c'est très rapidement oublié. Tous les nouveaux produits de la marque vont l'utiliser, et il se peut que certains plus anciens finissent par y avoir droit.
Pour finir, l'essai sur smartphone s'est déroulé sans anicroche. Il a suffi de brancher le casque avec l'adaptateur idoine pour qu'il soit reconnu automatiquement. Bien sûr, on n'a plus dans ce mode tous les réglages liés à la carte son, mais cela fonctionne parfaitement dans ces conditions.
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