Reuters rapporte une bonne nouvelle pour les entreprises françaises qui oeuvrent dans l'industrie compétitive des jeux vidéo. Ainsi, le parlement a approuvé une mesure qui offrira un crédit de taxe aux producteurs de jeux vidéo ayant une « dimension culturelle ». 20% des frais de production seront assurés jusqu'à concurrence de 3 millions d'euros par année.
Cette décision intervient au moment où près de 15 millions de personnes jouent à des jeux vidéos en France, sans compter que les entreprises françaises ont un peu de mal à concurrencer les géants américains. Certaines entreprises, dont Ubi Soft, expatrient d’ailleurs une part importante de leurs productions au Québec où les studios jouissant d'un financement de l'état.
Cette décision intervient au moment où près de 15 millions de personnes jouent à des jeux vidéos en France, sans compter que les entreprises françaises ont un peu de mal à concurrencer les géants américains. Certaines entreprises, dont Ubi Soft, expatrient d’ailleurs une part importante de leurs productions au Québec où les studios jouissant d'un financement de l'état.
Enfin, cette annonce reconnaît également l'aspect artistique de la création de jeux vidéo. Le plus étonnant, c'est que parallèlement, on entend encore régulièrement des politiciens se prononcer contre les jeux vidéo violents, qui constituent pourtant une large part des productions mondiales.
La commission européenne a commencé un examen formel de la mesure votée au parlement, qui devrait se terminer dans quelques semaines.