Visuellement, la manette ressemble beaucoup à la manette officielle Xbox pour ce qui est du placement des boutons, y compris le bouton Xbox. La première prise en main est agréable. On constate d'emblée que les matières choisies sont de qualité suffisante et que l'assemblage est correct. Il n'y a pas de craquement ou de bruit douteux lors des manipulations. Toutes les touches tombent naturellement sous les doigts.

Et on remarque que le constructeur a fait l'impasse sur les revêtements soft touch qui ont tendance à vraiment mal vieillir. On distingue également plusieurs ondulations translucides, qui sont les diffuseurs de Leds. Le Wave du nom de cette manette vient directement de là ! Pour ce qui est de la couleur bleue, on ne peut pas la rater, vu que la PDP est quasiment intégralement de cette couleur, et ce jusqu'au dos.

La seule chose noire est l'étiquette, qui rappelle clairement la marque et la référence de ce produit. De part et d'autre, on a les palettes, des boutons qui peuvent s'utiliser avec les auriculaires. On le verra plus tard, ils sont programmables. La partie inférieure est également en partie texturée, ce qui va contribuer à une bonne prise en main.

Le poids

Avec ses 215 grammes mesurés à la balance, l'Afterglow est plutôt dans la moyenne. À titre de comparaison, le tableau ci-dessous récapitule les mesures que nous avons effectuées avec un certain nombre de références.

Les sticks

Pour revenir sur le dessus, nous avons donc deux sticks, un pour chaque pouce, entourés d’un cercle translucide où se diffuseront les effets lumineux. Ils sont en plastique avec un revêtement en caoutchouc strié et creusé au centre pour garder un bon grip ! À première vue, ils ont l’air costauds, notamment au niveau de la tige qui est bien large, et ils sont rigoureusement identiques. Les deux sticks sont disposés de manière asymétrique – comme sur un pad Xbox officiel, avec un écartement similaire. Les deux pouces ne se gêneront pas mutuellement dans le feu de l'action. Ils présentent apriori la même taille et une amplitude de mouvements classique.

Les boutons

Les 4 boutons A, B, X et Z sont standard : ils gardent les couleurs de sérigraphie habituelle microsoft, à savoir vert, rouge, bleu et jaune, respectivement. Ils ont un fond du même bleu, mais complètement lisse et légèrement brillant.


Placés au centre de la manette, les 3 boutons de menu sont quant à eux petits, mais bien accessibles. Le bouton « Xbox », quant à lui, ouvre la game bar, quand on est sur PC.

Les gâchettes

Ces 4 boutons ressortent bien de l’avant de la manette, idéalement placés pour le majeur ou l’index qui peuvent se poser dessus sans soucis et promettent des clics rapides. Ils sont en plastique sans revêtement spécifique, le même que le reste de la coque supérieure de la manette. On peut tout de même noter que la course des gâchettes est plutôt longue  –  ce qui n'est pas sans incidence. En effet, des gâchettes courtes sont prisées pour tirer rapidement sur un FPS. En revanche, on préfère généralement de longues gâchettes sur un jeu de course classique, afin de doser plus finement l'accélération et le freinage.

La croix directionnelle et fonctions audio

La croix directionnelle est de forme standard. Il y a également 4 sérigraphies, placées sur les directions principales, et qui indiquent qu'on peut gérer le volume du son grâce à cela. Mais cela n'est prévu que pour Xbox.

On trouve également un bouton triangulaire pas loin, qui lui sert à muter le micro. Une petite led est présente pour en indiquer le statut.

La connectique

La PDP met à disposition un port USB-C sur l'avant de la manette, qui permet de brancher le câble qui ira au PC ou à la console. A l'opposé, c'est-à-dire à la base de la manette, on retrouve le port jack qui permet de brancher un micro-casque filaire.


Il est temps de connecter notre Afterglow Wave !