À l'heure de la rédaction de cet test, le logiciel Turtle Beach SWARM II, disponible sur le site officiel, est dans sa version 1.0.0.9, et pèse pas moins de 90 Mo. Une fois le logiciel téléchargé et installé, Turtle Beach propose encore des mises à jour : firmware du clavier et de son logiciel. Bizarre, le site internet propose la version 1.0.0.9 par contre, le logiciel suite aux mises à jour se retrouve en version 1.0.0.11. Qu'à cela ne tienne, on le lance et on se retrouve avec le clavier détecté. Notez que si vous avez d'autres périphériques Turtle Beach compatibles, ils seront aussi détectés.
Quand le logiciel se lance, on tombe directement sur une photo du Vulcan II TKL Pro illuminé. Les options du logiciel sont nombreuses. D'ailleurs, un petit passage dans les paramètres permet de le mettre en Français. En cliquant donc sur le clavier, nous pouvons enfin le configurer. En premier, on nous donne la possibilité de paramétrer le clavier en mode bureautique. On peut définir la hauteur d'activation des touches allant de 0,1 mm à 4 mm : à vous de voir ce qui vous plait le plus. Les modes Rapid Trigger et Multi-Input ne sont paramétrables que dans le mode Jeu.
En passant au mode jeu, plusieurs options sont disponible et afin de ne pas faire un test complet du logiciel, nous allons simplement vous lister quelques fonctionnalités de ce dernier. Il est donc possible de choisir la distance d'activation pour tout le clavier ou en fonction des touches. Prenons l'exemple d'un FPS, vous pouvez peut-être vouloir choisir que le déplacement du personnage soit hyper sensible, et donc une petite distance, ou alors, une moins grande activation pour les déplacements furtifs. Chaque touche est programmable indépendamment. A noter qu'on peut choisir cette valeur à la pression ou au relâchement de la touche.
Enfin, il existe aussi différents paramétrages et touches de raccourcis. Vous pouvez par exemple affecter la touche P à la lettre P en mode bureautique, qu'elle permette d'ouvrir le panneau de configuration en mode Fn, de fermer la session en mode Jeu... bref, une multitude de possibilités. Et bien entendu, comme tout bon logiciel de configuration, vous pourrez choisir les modes de couleurs ou comment votre clavier réagit quand vous appuyez sur les touches. Les options sont nombreuses, les possibilités énormes : l'appui de chaque touche peut être personnalisé ! Pour notre part, on a aimé également le paramétrage de l'effet Hall qui permet de voir directement sur le clavier la profondeur d'activation de chaque touche. Enfin, 5 profils sont également de la partie avec la possibilité d'affecter des macros en fonction des jeux. Ce n'est pas pour rien que ce clavier est orienté gaming !
En premier, parlons de l'effet Hall. Dans le monde des claviers, mais aussi des manettes par exemple, nous avons différentes technologies : membranes, mécaniques, optiques.
Les claviers à membranes, qui sont sans doute les plus répandus, sont constitués d'une membrane et c'est cette membrane qui vient actionner le circuit imprimé sur lequel on vient appuyer. On ressent une légère résistance à la frappe et la touche n'est activée que lorsqu'elle est complètement appuyée. Ils sont généralement peu coûteux, conviennent parfaitement pour les tâches bureautiques et du jeu en dilettante.
Les claviers mécaniques sont plus répandu dans le monde du jeu vidéo. Au lieu d'avoir une membrane comme sur le précédent, vous vous retrouvez avec un switch, un interrupteur, sous la touche rendant ainsi le clavier beaucoup plus réactif. C'est d'ailleurs cette réactivité qui est recherchée chez les gameurs. Une autre caractéristique de ce type de clavier est le son qu'il fait quand on appuie sur les touches : une sorte de « clic » se fait entendre. Il est à noter que sur ce type de clavier, les switchs peuvent être changés pour améliorer le confort de frappe, la vitesse ou autres.
Les claviers optiques sont presque comme les claviers mécaniques à la différence que l'activation se fait grâce à la lumière. Ceci rend le clavier encore plus réactif. Mais rend également le clavier certes plus résistant à l'usure, mais également plus cher.
Ici nous sommes en présence d'un clavier à effet Hall. L'effet Hall est un phénomène physique qui s'explique comme suit : « un courant électrique traversant un matériau baignant dans un champ magnétique, engendre un champ électrique perpendiculaire à ce dernier. » dixit Edwin Herbert Hall qui l'a découvert. En vulgarisant le principe, lorsque vous appuyez sur une touche, un champ électrique est généré au-delà d'un certain seuil, permettant ainsi de « programmer » la touche. Ici de 0,1mm à 4mm, pour chaque touche.
Cela nous amène maintenant au RapidTrigger. De part l'effet Hall de ses touches, le clavier Vulcan II TKL Pro permet de programmer la touche à l'appui, mais également au relâchement. Ainsi, il n'est plus forcément nécessaire d'avoir la touche complètement appuyée pour qu'elle soit prise en compte ni de la relâcher complètement pour la réactiver. Cela permet ainsi des actions en jeux beaucoup plus rapide, beaucoup plus fluide.
Maintenant qu'on a fait le tour des potentialités du clavier, il est temps de s'en servir et de voir ce qu'il vaut.
Quand le logiciel se lance, on tombe directement sur une photo du Vulcan II TKL Pro illuminé. Les options du logiciel sont nombreuses. D'ailleurs, un petit passage dans les paramètres permet de le mettre en Français. En cliquant donc sur le clavier, nous pouvons enfin le configurer. En premier, on nous donne la possibilité de paramétrer le clavier en mode bureautique. On peut définir la hauteur d'activation des touches allant de 0,1 mm à 4 mm : à vous de voir ce qui vous plait le plus. Les modes Rapid Trigger et Multi-Input ne sont paramétrables que dans le mode Jeu.
En passant au mode jeu, plusieurs options sont disponible et afin de ne pas faire un test complet du logiciel, nous allons simplement vous lister quelques fonctionnalités de ce dernier. Il est donc possible de choisir la distance d'activation pour tout le clavier ou en fonction des touches. Prenons l'exemple d'un FPS, vous pouvez peut-être vouloir choisir que le déplacement du personnage soit hyper sensible, et donc une petite distance, ou alors, une moins grande activation pour les déplacements furtifs. Chaque touche est programmable indépendamment. A noter qu'on peut choisir cette valeur à la pression ou au relâchement de la touche.
Enfin, il existe aussi différents paramétrages et touches de raccourcis. Vous pouvez par exemple affecter la touche P à la lettre P en mode bureautique, qu'elle permette d'ouvrir le panneau de configuration en mode Fn, de fermer la session en mode Jeu... bref, une multitude de possibilités. Et bien entendu, comme tout bon logiciel de configuration, vous pourrez choisir les modes de couleurs ou comment votre clavier réagit quand vous appuyez sur les touches. Les options sont nombreuses, les possibilités énormes : l'appui de chaque touche peut être personnalisé ! Pour notre part, on a aimé également le paramétrage de l'effet Hall qui permet de voir directement sur le clavier la profondeur d'activation de chaque touche. Enfin, 5 profils sont également de la partie avec la possibilité d'affecter des macros en fonction des jeux. Ce n'est pas pour rien que ce clavier est orienté gaming !
Effet Hall et Rapid Trigger
Dans ce chapitre, nous vous avons parlé de l'effet Hall et du RapidTrigger, mais qu'est-ce que c'est ? Bougez pas, on vous explique.En premier, parlons de l'effet Hall. Dans le monde des claviers, mais aussi des manettes par exemple, nous avons différentes technologies : membranes, mécaniques, optiques.
Les claviers à membranes, qui sont sans doute les plus répandus, sont constitués d'une membrane et c'est cette membrane qui vient actionner le circuit imprimé sur lequel on vient appuyer. On ressent une légère résistance à la frappe et la touche n'est activée que lorsqu'elle est complètement appuyée. Ils sont généralement peu coûteux, conviennent parfaitement pour les tâches bureautiques et du jeu en dilettante.
Les claviers mécaniques sont plus répandu dans le monde du jeu vidéo. Au lieu d'avoir une membrane comme sur le précédent, vous vous retrouvez avec un switch, un interrupteur, sous la touche rendant ainsi le clavier beaucoup plus réactif. C'est d'ailleurs cette réactivité qui est recherchée chez les gameurs. Une autre caractéristique de ce type de clavier est le son qu'il fait quand on appuie sur les touches : une sorte de « clic » se fait entendre. Il est à noter que sur ce type de clavier, les switchs peuvent être changés pour améliorer le confort de frappe, la vitesse ou autres.
Les claviers optiques sont presque comme les claviers mécaniques à la différence que l'activation se fait grâce à la lumière. Ceci rend le clavier encore plus réactif. Mais rend également le clavier certes plus résistant à l'usure, mais également plus cher.
Ici nous sommes en présence d'un clavier à effet Hall. L'effet Hall est un phénomène physique qui s'explique comme suit : « un courant électrique traversant un matériau baignant dans un champ magnétique, engendre un champ électrique perpendiculaire à ce dernier. » dixit Edwin Herbert Hall qui l'a découvert. En vulgarisant le principe, lorsque vous appuyez sur une touche, un champ électrique est généré au-delà d'un certain seuil, permettant ainsi de « programmer » la touche. Ici de 0,1mm à 4mm, pour chaque touche.
Cela nous amène maintenant au RapidTrigger. De part l'effet Hall de ses touches, le clavier Vulcan II TKL Pro permet de programmer la touche à l'appui, mais également au relâchement. Ainsi, il n'est plus forcément nécessaire d'avoir la touche complètement appuyée pour qu'elle soit prise en compte ni de la relâcher complètement pour la réactiver. Cela permet ainsi des actions en jeux beaucoup plus rapide, beaucoup plus fluide.
Maintenant qu'on a fait le tour des potentialités du clavier, il est temps de s'en servir et de voir ce qu'il vaut.