Il faut noter que les 2 keypads sont similaires en tout points et que seule la face avant, logiquement, change.
Sous la partie contenant les boutons, on découvre le système de rétention. Il s'agit en fait d'une longue barre saillante, qui va permettre de venir clipser un keypad, notamment à l'Everest. 2 petits patins en caoutchouc permettent de ne pas abimer le clavier lors de l'installation.
A la base de la face arrière, on retrouve un connecteur USB type C. Il est utilisé pour la connexion à l'ordinateur. Le câble à utiliser est standard, on peut donc utiliser le câble fourni. Si on le trouve trop long, vu qu'il mesure 2 m, on peut tout à faire opter pour un plus court.
Pour faire tenir les keypads, les socles adoptent en fait le même profil que le pourtour du clavier Everest, où est logée normalement la barre de Led. Dans cette configuration, les dimensions sont de 150,3 x 82,8 x 67,2 mm. Le socle est assez grand en profondeur, il permet ainsi de protéger le connecteur USB sur toute sa longueur.
Le dessous rappelle le nom du produit, indique la tension et le voltage de fonctionnement, 5 V et 500 mA. Une multitude de logos de conformité sont également présents, rappelant le sérieux de la marque.
Le MacroPad bénéficie des derniers développements de la marque en termes de switches, et utilise ceux estampillés Mountain. En l’occurrence, des Tactile 55N. Ils sont de couleur bleue, pour rappeler leur équivalent Cherry. Leur activation est donc bien audible, et le choix de ce type de switch pour des macros parait justifié. Pour rappel, ils ont été lancés en même temps que le clavier Everest 60.
Bien évidemment, le concept de modularité propre à la marque s'applique ici, et les switchs, comme les keycaps, sont démontables. Ainsi, à l'aide de la pince fournie, on peut démonter les switchs Mountain Tactile 55, et les remplacer par ceux de son choix, et sur le marché, le choix est vaste ! On y reviendra d'ailleurs dans une page dédiée.
Là encore, Le dessous rappelle le nom du produit, indique la tension et le voltage de fonctionnement, 5 V et 500 mA là encore. On retrouve également la même multitude de logos de conformité.
Si on concentre sur les écrans, au lieu d'afficher 72 x 72 pixels comme sur l'Everest, ils affichent désormais du 104 * 104. Cette amélioration de la définition permet une meilleure qualité d'affichage. De plus, Mountain a opté cette fois pour la technologie IPS, meilleure que la TFT utilisée sur le NumPad. Mais après une lecture de la fiche technique, on s'aperçoit qu'en fait, il ne s'agit pas de 12 écrans distincts, mais d'un seul grand écran, de 4,5 " proposant une définition globale de 800 * 240 pixels.
Les sortes de couvercles qui font office de touches viennent de leur côté activer des mini-switch de chez ALPS, placés sur le pourtour de l'écran. Cette solution garantit la longévité de l'ensemble, puisqu’en fait l'écran n'est pas touché. Pour terminer sur le sujet, ces minis-witchs sont donnés pour plus de 200 000 pressions. C'est certes bien moins que les 100 millions de pressions pour les switchs Mountain, mais l'usage n'est pas le même.
Abordons à présent la partie logicielle !
Généralités
Sur le principe, on est face à des blocs de 12 boutons/touches, présentés sur une face inclinée à 45 °. Les dimensions sont de 137 x 47 x 45 mm, sans le socle. Les touches du MacroPad et les écrans du DisplayPad sont quasiment de la même taille.Sous la partie contenant les boutons, on découvre le système de rétention. Il s'agit en fait d'une longue barre saillante, qui va permettre de venir clipser un keypad, notamment à l'Everest. 2 petits patins en caoutchouc permettent de ne pas abimer le clavier lors de l'installation.
A la base de la face arrière, on retrouve un connecteur USB type C. Il est utilisé pour la connexion à l'ordinateur. Le câble à utiliser est standard, on peut donc utiliser le câble fourni. Si on le trouve trop long, vu qu'il mesure 2 m, on peut tout à faire opter pour un plus court.
Le socle
De son côté, chaque socle est en plastique, et à l'intérieur est intégrée une plaque en métal, bien lourde : sur la balance, un socle, seul, pèse plus de 400 g ! Pour ne pas abimer l'endroit où il est posé, la base est entièrement recouverte d'une zone antidérapante, couleur bleu Moutain. C'est un peu de couleur à un endroit assez inattendu. Cela permet aussi d'assurer une excellente stabilité à l'ensemble.Pour faire tenir les keypads, les socles adoptent en fait le même profil que le pourtour du clavier Everest, où est logée normalement la barre de Led. Dans cette configuration, les dimensions sont de 150,3 x 82,8 x 67,2 mm. Le socle est assez grand en profondeur, il permet ainsi de protéger le connecteur USB sur toute sa longueur.
Le MacroPad et ses touches
On le dit depuis l'introduction, le MacroPad dispose de 12 touches de clavier classique. Les keycaps sont numérotés de M1 à M12, et sont constitués d'ABS.Le dessous rappelle le nom du produit, indique la tension et le voltage de fonctionnement, 5 V et 500 mA. Une multitude de logos de conformité sont également présents, rappelant le sérieux de la marque.
Le MacroPad bénéficie des derniers développements de la marque en termes de switches, et utilise ceux estampillés Mountain. En l’occurrence, des Tactile 55N. Ils sont de couleur bleue, pour rappeler leur équivalent Cherry. Leur activation est donc bien audible, et le choix de ce type de switch pour des macros parait justifié. Pour rappel, ils ont été lancés en même temps que le clavier Everest 60.
Bien évidemment, le concept de modularité propre à la marque s'applique ici, et les switchs, comme les keycaps, sont démontables. Ainsi, à l'aide de la pince fournie, on peut démonter les switchs Mountain Tactile 55, et les remplacer par ceux de son choix, et sur le marché, le choix est vaste ! On y reviendra d'ailleurs dans une page dédiée.
Le DisplayPad et ses boutons
Les boutons du DisplayPad sont en fait des écrans protégés d'un couvercle transparent, activant un interrupteur quand on appuie dessus. Ils sont en fait similaires sur le principe à ceux NumPad, livré avec la version max du clavier Everest. Ils arrivent protégés par un film plastique qu'on retire facilement.Là encore, Le dessous rappelle le nom du produit, indique la tension et le voltage de fonctionnement, 5 V et 500 mA là encore. On retrouve également la même multitude de logos de conformité.
Si on concentre sur les écrans, au lieu d'afficher 72 x 72 pixels comme sur l'Everest, ils affichent désormais du 104 * 104. Cette amélioration de la définition permet une meilleure qualité d'affichage. De plus, Mountain a opté cette fois pour la technologie IPS, meilleure que la TFT utilisée sur le NumPad. Mais après une lecture de la fiche technique, on s'aperçoit qu'en fait, il ne s'agit pas de 12 écrans distincts, mais d'un seul grand écran, de 4,5 " proposant une définition globale de 800 * 240 pixels.
Les sortes de couvercles qui font office de touches viennent de leur côté activer des mini-switch de chez ALPS, placés sur le pourtour de l'écran. Cette solution garantit la longévité de l'ensemble, puisqu’en fait l'écran n'est pas touché. Pour terminer sur le sujet, ces minis-witchs sont donnés pour plus de 200 000 pressions. C'est certes bien moins que les 100 millions de pressions pour les switchs Mountain, mais l'usage n'est pas le même.
Abordons à présent la partie logicielle !