Cette fois-ci, nous n’avons pas de tutoriel pour nous apprendre les différentes méthodes pour mettre la pâte comme avec la MX-4. Les photos ont été remplacées par une vidéo, disponible ci-dessous, qui nous montre non seulement la facilité d’application, mais aussi comment s’étale la MX-5 quand le refroidisseur est installé. Pour le coup, plus de soucis à se faire, un simple petit pâté au centre et c’est fini, la viscosité de 550 poises fera le reste !
Tout comme pour la MX-4, nous allons appliquer la pâte thermique MX-5 sur notre GPU, celui-ci étant dans la même boucle watercooling, c’est l’occasion d’en profiter et d’obtenir plus de résultats durant le test. En plus, la seringue de deux grammes nous permet de faire les deux composants et même plus. Lors de l'application, il n'y a pas de résistance dans la seringue et cela évite d'avoir des surprises lors de l'application, en forçant trop d'un coup nous pourrions avoir un gros pâté avec beaucoup trop de matière.
Lors de l’application de la MX-5 aussi bien sur le GPU que le CPU, on constate que la pâte thermique n’est pas de la couleur habituelle ! En effet, le gris laisse place au bleu. De même, la viscosité est différente, on passe de 870 poises avec la MX-4 à 550 poises, ce qui fait que le MX-5 est très souple et moins pâteux que la MX-4. L’avantage c’est qu’elle s’étale plus facilement et efficacement avec le contact du refroidisseur.
Pour la p’tite info, la viscosité dont parle Arctic, et qui est souvent délaissé par tous pour la pâte thermique, est une unité de viscosité dynamique qui a pour symbole P ou Po. On vous (et nous) épargnera la formule de calcul de celle-ci, pour se contenter de dire que plus la valeur est basse, plus elle est «liquide» et donc plus elle se répartit facilement sur une surface. Par exemple, l’eau à une valeur de 0,01 poise alors que le dentifrice à une valeur de 700 poises : l’effet sur votre brosse à dents n’est pas le même.
Faisons maintenant chauffer notre matériel !
Tout comme pour la MX-4, nous allons appliquer la pâte thermique MX-5 sur notre GPU, celui-ci étant dans la même boucle watercooling, c’est l’occasion d’en profiter et d’obtenir plus de résultats durant le test. En plus, la seringue de deux grammes nous permet de faire les deux composants et même plus. Lors de l'application, il n'y a pas de résistance dans la seringue et cela évite d'avoir des surprises lors de l'application, en forçant trop d'un coup nous pourrions avoir un gros pâté avec beaucoup trop de matière.
Lors de l’application de la MX-5 aussi bien sur le GPU que le CPU, on constate que la pâte thermique n’est pas de la couleur habituelle ! En effet, le gris laisse place au bleu. De même, la viscosité est différente, on passe de 870 poises avec la MX-4 à 550 poises, ce qui fait que le MX-5 est très souple et moins pâteux que la MX-4. L’avantage c’est qu’elle s’étale plus facilement et efficacement avec le contact du refroidisseur.
Pour la p’tite info, la viscosité dont parle Arctic, et qui est souvent délaissé par tous pour la pâte thermique, est une unité de viscosité dynamique qui a pour symbole P ou Po. On vous (et nous) épargnera la formule de calcul de celle-ci, pour se contenter de dire que plus la valeur est basse, plus elle est «liquide» et donc plus elle se répartit facilement sur une surface. Par exemple, l’eau à une valeur de 0,01 poise alors que le dentifrice à une valeur de 700 poises : l’effet sur votre brosse à dents n’est pas le même.
Faisons maintenant chauffer notre matériel !