Le carton

Comme on est plus dans le domaine du mobilier de bureau que dans celui du composant informatique, le carton du TK900 se révèle être particulièrement imposant. En effet, le « petit » paquet de 30 kg mesure un peu moins de 84 cm de long par 74 cm de large et 34 cm d'épaisseur, comme l'indiquent les mentions présentes sur la tranche du carton. Du fait de son encombrement, il n'est donc pas très facile de le déplacer seul. C'est un point à prendre en compte lors de l'achat et de la livraison ou pour le transporter.


Sur l'emballage en lui-même, on ne retrouve que peu d'informations. On a bien évidemment le nom de la marque «Oraxeat», le modèle : TK900, et la couleur du siège, qu'on devine au travers de la référence : « blu ». L'URL du site est également mentionnée, tout comme le fait que le siège soit conçu en France (Cocorico !). Un visuel en monochrome permet de se donner une petite idée du résultat, mais il n'y a aucune caractéristique précise de visible. Dans la colonne de droite du présent article, vous retrouvez à ce sujet la fiche technique détaillée. A noter que cette référence de fauteuil existe également en noir, blanc, rouge et gris.

Il est maintenant temps de passer à la phase déballage. Une fois le carton ouvert, on découvre un ensemble d’éléments emballés individuellement avec beaucoup de soin dans du papier bulle ou du plastique épais, et séparés par des feuilles de mousse solide, ce qui donne une bonne première impression. Passons en revue les différents morceaux !

Le dossier

Le dossier du siège montre qu'en fait, le coloris bleu n'est présent que sur les surpiqûres, le reste est intégralement noir, contrairement aux autres références de la marque, où le second coloris occupe plus d'espace. L'autre point marquant est la grosse molette située sur la tranche droite du dossier. Elle permet d'actionner le réglage lombaire du dossier.

L’assise

La première chose que l'on remarque, c'est que le constructeur a fait le choix de livrer les accoudoirs déjà montés, alors que le reste est laissé à la charge du client. C'est sans doute parce qu'il y avait la place dans le carton. On ne va pas s'en plaindre, c'est toujours une étape de moins au montage ! On le voit, ils sont retenus chacun par plusieurs grosses vis, ils ne devraient donc pas bouger. L'assise en elle-même parait bien confortable, car elle est large et bien rembourrée à première vue. Le dessous laisse apparaitre la structure métallique, avec des traverses bien épaisses et qui sont peintes en noir. Cela inspire confiance, encore une fois.

Les roulettes et le support

Sur une chaise de bureau de classique, on parle de roulettes, mais ici, le terme roues est peut-être plus approprié. En effet, chacune d'entre elles a un diamètre de 75 mm soit 7,5 cm ! Comme toujours, il y en a 5, ici pas de changement. Elles sont doubles, comme on peut le voir sur la photo ci-contre. Niveau matériau, c'est un mélange de plastique et de gomme qui est utilisé.

Le support qui va les accueillir est quant à lui en aluminium. On le voit, il est creux, bien évidemment, mais avec des renforts à l'intérieur pour maximiser la résistance. Contrairement au MX800 où les branches avaient une section très arrondie, ici, la section est plus carrée. Ceux qui aiment poser les pieds dessus devraient apprécier cette différence : plus de raison que les chaussures glissent !

Le mécanisme de réglage

Dernier élément à se trouver dans le carton : l'imposant mécanisme de réglage, déjà vu sur plusieurs modèles de sièges de la marque. Il permet en fait d'associer le bloc assise / dossier au bloc vérin / roues, avec des ajustements possibles. C'est d'ailleurs pour cela qu'il dispose notamment de 2 épaisses tiges de réglage, une de chaque côté.

La quincaillerie

Regroupée dans une solide boite dédiée, on retrouve ce qu'on pourrait appeler la quincaillerie. Il y a notamment le piston à gaz et son cache ainsi que la visserie, présentée sous blister, ce qui permet de s'assurer qu'il ne manque rien. Celui-ci contient 8 grosses vis, avec sur chacune, une rondelle et une rondelle anti-vibration, 2 petites vis et leur cache associé pour les caches-montant et un outil, à la fois clé allen et tournevis. Cela permettra de faire le montage sans avoir besoin d'outil supplémentaire. Cet emballage contient également les 2 petits caches vis pour les montants.

Le coussin

Le TK900 n'est pas accompagné, comme bien souvent pour les fauteuils pour joueurs, par 2 coussins, mais par un seul. En effet, on a qu'un petit pour soutenir la tête. Le système de réglage lombaire fait qu'on pas besoin de l'autre, normalement plus imposant, pour caler le bas du dos.


Le coussin est donc entièrement noir, sauf au niveau du logo bien évidemment, et est recouvert d'un revêtement très doux au toucher, entre le velours et la microfibre.

La notice

Bien évidemment, tout « meuble » qui se respecte se doit d'avoir une notice de montage (côté gauche) et de réglage (côté droit). On sait tous par expérience que les fabricants de mobilier prennent un malin plaisir à produire des docs de montage assez obscures. Ici, elle tient sur une feuille A3 de bonne qualité, en rouge, blanc et noir. Les petits dessins sont assez clairs et il y a une description textuelle pour chacune des étapes à suivre.

Il y a également la partie mode d'emploi, c'est à dire comment procéder aux réglages du siège, et ce qu'il ne faut pas faire pour sa propre sécurité. On remarquera pour finir que la notice est en anglais de l'autre côté.

On peut passer au plus important : le montage !