Une fois le répéteur intégré au réseau, on peut accéder à son paramétrage, notamment par l'interface web. Après s'être identifié avec son login et son mot de passe, celle-ci propose plusieurs pages d'options, et ce dans pas moins de 18 langues. Une liste déroulante permet en effet de sélectionner sa langue préférée, mais l'auto détection est disponible et se cale sur la langue du navigateur, en français donc pour nous.
Plus important, la page d'accueil présente le statut du répéteur. On y voit aussi bien l'état de la connexion avec la box qu'avec le reste des équipements, le tout sous format visuel. En dessous, on a le détail, séparé en 2 : un coté pour le 2,4 GHz, l'autre pour le 5 GHz. Dans notre cas, tout nos équipements étant compatible 5 GHz, nous avons désactivé l'autre bande de fréquence, une des capacités offertes par ce répéteur.
Sur la gauche, on a un traditionnel menu déroulant.
Une autre option permet de réduire la puissance du signal. Il y a 4 paliers (25, 50, 75, 100 %), et par défaut c'est le plus élevé qui est choisi. Cela peut contribuer à réduire la surface couverte, par exemple, dans le cas d'un logement de taille moyenne.
Le menu FastLane, quant à lui, permet d'attribuer une bande d’émission à la communication entre la box et le répéteur. Donc on peut dédier soit le 2,4 Ghz, soit le 5 GHz, et les appareils qui se connecteront au répéteur ne le feront que sur celle non utilisée. Savoir si c'est pertinent ou pas dépendra pas mal du nombre et le type de périphériques à connecter, et de la distance entre le répéteur et la box.
Le dernier sous-menu concerne le WPS, que nous n'avons pas essayé.
Après un redémarrage, qui se produit automatiquement après la mise à jour, le Netgear est de nouveau opérationnel.
On va pouvoir maintenant pouvoir passer aux tests, mais au préalable, un peu de technique !
Plus important, la page d'accueil présente le statut du répéteur. On y voit aussi bien l'état de la connexion avec la box qu'avec le reste des équipements, le tout sous format visuel. En dessous, on a le détail, séparé en 2 : un coté pour le 2,4 GHz, l'autre pour le 5 GHz. Dans notre cas, tout nos équipements étant compatible 5 GHz, nous avons désactivé l'autre bande de fréquence, une des capacités offertes par ce répéteur.
Sur la gauche, on a un traditionnel menu déroulant.
Sans fil
Cet écran permet de voir et modifier l'aspect réseau. On y retrouve le paramétrage du One Name, mentionné dans le chapitre précédent. On voit qu'on peut aussi changer l'IP du répéteur, par exempleAppareils connectés
Le EAX 20 peut également afficher les différents appareils qui lui sont connectés. L'interface fait le distinguo entre les 2 bandes de fréquences (2,4 et 5 GHz) et le filaire.Pour aller plus loin
Dans ce menu, on trouve plusieurs items un peu connexes, mais qui correspondent à des usages bien réels. Tout d'abord, le planificateur. En effet, il est possible de couper le répéteur pendant une période donnée. On pense notamment aux parents qui pourraient trouver là un moyen de faire dormir leurs enfants. Sommeil toujours, on a la possibilité d'éteindre les LEDS. Cela peut être très pratique pour ceux qui doivent dormir à côté de l'appareil et qui sont gênés par les lumières. Il est vrai que comme les LEDS utilisées sont imposantes, la lumière est vraiment visible.Une autre option permet de réduire la puissance du signal. Il y a 4 paliers (25, 50, 75, 100 %), et par défaut c'est le plus élevé qui est choisi. Cela peut contribuer à réduire la surface couverte, par exemple, dans le cas d'un logement de taille moyenne.
Le menu FastLane, quant à lui, permet d'attribuer une bande d’émission à la communication entre la box et le répéteur. Donc on peut dédier soit le 2,4 Ghz, soit le 5 GHz, et les appareils qui se connecteront au répéteur ne le feront que sur celle non utilisée. Savoir si c'est pertinent ou pas dépendra pas mal du nombre et le type de périphériques à connecter, et de la distance entre le répéteur et la box.
Le dernier sous-menu concerne le WPS, que nous n'avons pas essayé.
Mise à jour du firmware
Comme pour un routeur, le firmware d'un répéteur peut être mis à jour. L'opération est simple et ne dure que quelques minutes. Dans notre cas, le firmware est passé de la version 1.0.0.28 à la version 1.0.0.32, et apporte des correctifs de sécurité, ce qui montre que le constructeur soigne ce sujet important.Après un redémarrage, qui se produit automatiquement après la mise à jour, le Netgear est de nouveau opérationnel.
On va pouvoir maintenant pouvoir passer aux tests, mais au préalable, un peu de technique !