Comme toujours avec les AIO, l'ensemble de refroidissement arrive déjà monté. Il est constitué d'un radiateur, d'un waterblock à fixer au CPU et de 2 tubes qui relient les deux. A l’intérieur de ce circuit, le liquide est déjà présent, et il n'y a aucune maintenance à effectuer : pas de vidange, ni de remplissage, ce qui évite les risques de fuites à l’intérieur du PC.
Commençons par le radiateur : ce dernier est rectangulaire, fin et tout noir. Il ne propose aucun signe ou élément particulier, le nom de la marque n'y est pas présent, par exemple. Avec ses 27 mm d'épaisseur, il fait partie des radiateurs dits « slim » et il trouvera facilement sa place dans n'importe quel boîtier qui accepte un radiateur de 360 mm.
De là, partent 2 tuyaux d'une quarantaine de centimètres. C'est une des améliorations par rapport au premier modèle de Floe, la longueur a été augmentée pour faciliter l'installation. Les 2 tuyaux sont de faible diamètre, et sont intégralement gainés, et arrivent bien évidemment au bloc CPU. Celui-ci est circulaire, et sur le dessus, on devine un cercle sur le couvercle en plastique qui va s'illuminer de RGB, tout comme le logo placé en son centre.
Les plus observateurs d'entre vous auront peut être remarqué le pourtour de la base waterblock, avec ses « créneaux » utilisés par le système de rétention. Pas besoin d'aller bien loin, il s'agit bel et bien d'un kit réalisé sur une base Asetek, comme le confirme un passage sur le site officiel. La base est, comme à l'accoutumée, en cuivre, et la pâte thermique est déjà pré-appliquée.
On voit également le waterblock regroupe la connectique. Il n'y a en fait que 2 câbles, en plus des tuyaux bien évidemment. Le premier est pour l'alimentation de la pompe, qui se fait depuis la carte mère et non pas en SATA comme certains modèles concurrents comme le H150i de Corsair par exemple, tandis que le second est un câble doté d'un connecteur USB. Pour autant, il ne faut pas croire qu'il se connecte directement à la carte mère, loin de là. Il se branche en fait sur le boitier de contrôle ventilateurs, qu'on va présenter sans attendre.
Commençons par le radiateur : ce dernier est rectangulaire, fin et tout noir. Il ne propose aucun signe ou élément particulier, le nom de la marque n'y est pas présent, par exemple. Avec ses 27 mm d'épaisseur, il fait partie des radiateurs dits « slim » et il trouvera facilement sa place dans n'importe quel boîtier qui accepte un radiateur de 360 mm.
De là, partent 2 tuyaux d'une quarantaine de centimètres. C'est une des améliorations par rapport au premier modèle de Floe, la longueur a été augmentée pour faciliter l'installation. Les 2 tuyaux sont de faible diamètre, et sont intégralement gainés, et arrivent bien évidemment au bloc CPU. Celui-ci est circulaire, et sur le dessus, on devine un cercle sur le couvercle en plastique qui va s'illuminer de RGB, tout comme le logo placé en son centre.
Les plus observateurs d'entre vous auront peut être remarqué le pourtour de la base waterblock, avec ses « créneaux » utilisés par le système de rétention. Pas besoin d'aller bien loin, il s'agit bel et bien d'un kit réalisé sur une base Asetek, comme le confirme un passage sur le site officiel. La base est, comme à l'accoutumée, en cuivre, et la pâte thermique est déjà pré-appliquée.
On voit également le waterblock regroupe la connectique. Il n'y a en fait que 2 câbles, en plus des tuyaux bien évidemment. Le premier est pour l'alimentation de la pompe, qui se fait depuis la carte mère et non pas en SATA comme certains modèles concurrents comme le H150i de Corsair par exemple, tandis que le second est un câble doté d'un connecteur USB. Pour autant, il ne faut pas croire qu'il se connecte directement à la carte mère, loin de là. Il se branche en fait sur le boitier de contrôle ventilateurs, qu'on va présenter sans attendre.