Voici ce qu'on a relevé au niveau des performances :
Tout d'abord, regardons côté débits séquentiels. La Superior Pro, donnée pour 100 Mo/s en lecture et 80 Mo/s en écriture, atteints effectivement en lecture, mais est un peu en retrait en écriture, avec 99 Mo/s et 69 Mo/s respectivement. Dans l'absolu, ce sont des scores excellents. Dans notre panel hétéroclite de cartes, on voit que la Silicon Power est en fait en tête sur l'écriture, et en 3 eme position en lecture, mais 3 cartes ont des débits supérieurs ou égaux à 99 Mo/s. Elles atteignent en fait la limite haute de la norme UHS-I, et pour faire mieux sur le sujet, il faut se reporter sur le UHS-II. C'est exactement comme pour les SSD SATA qui tournent tous autour des 500 Mo/s, pour aller au-delà, il faut passer en PCI-E.
Sur l'aspect accès aléatoires, les scores sont bien plus contrastés. Une chose est sure, la Silicon Power tient, et dépasse même ses promesses. Alors que la norme A1 requiert respectivement en lecture et écriture 1500 et 500 IOPS, la carte atteint des scores de 3066 et 937, soit près du double ! Pour autant, cela ne permet pas de la classer en tant que A2, loin de là. Et on voit que les autres modèles ne sont pas vraiment à la fête sur le sujet, ce qui montre bien l’intérêt d'une classification des performances axée sur cet aspect.
Si on regarde un peu les autres cartes, on voit que la Kingston React porte bien son nom, avec des débits importants et des très bonnes performances en aléatoire, qui la classeraient A1 si elle était au format micro SD. La Toshiba, qui embarque un émetteur wifi minuscule en plus de ses 64 Go de stockage, se comporte assez bien en termes de séquentiels, mais en aléatoire, c'est bas. C'est aussi le cas de l'autre carte Kingston, la Go, qui présente un profil de performance similaire.
Et pour finir la marche, on a la Lexar 633x. Elle obtient de bons scores en lecture, mais en écriture, c'est mauvais, que ce soit en séquentiel ou en aléatoire. Et on va voir que page suivante, celui va bien lui jouer des tours.
Tout d'abord, regardons côté débits séquentiels. La Superior Pro, donnée pour 100 Mo/s en lecture et 80 Mo/s en écriture, atteints effectivement en lecture, mais est un peu en retrait en écriture, avec 99 Mo/s et 69 Mo/s respectivement. Dans l'absolu, ce sont des scores excellents. Dans notre panel hétéroclite de cartes, on voit que la Silicon Power est en fait en tête sur l'écriture, et en 3 eme position en lecture, mais 3 cartes ont des débits supérieurs ou égaux à 99 Mo/s. Elles atteignent en fait la limite haute de la norme UHS-I, et pour faire mieux sur le sujet, il faut se reporter sur le UHS-II. C'est exactement comme pour les SSD SATA qui tournent tous autour des 500 Mo/s, pour aller au-delà, il faut passer en PCI-E.
Sur l'aspect accès aléatoires, les scores sont bien plus contrastés. Une chose est sure, la Silicon Power tient, et dépasse même ses promesses. Alors que la norme A1 requiert respectivement en lecture et écriture 1500 et 500 IOPS, la carte atteint des scores de 3066 et 937, soit près du double ! Pour autant, cela ne permet pas de la classer en tant que A2, loin de là. Et on voit que les autres modèles ne sont pas vraiment à la fête sur le sujet, ce qui montre bien l’intérêt d'une classification des performances axée sur cet aspect.
Si on regarde un peu les autres cartes, on voit que la Kingston React porte bien son nom, avec des débits importants et des très bonnes performances en aléatoire, qui la classeraient A1 si elle était au format micro SD. La Toshiba, qui embarque un émetteur wifi minuscule en plus de ses 64 Go de stockage, se comporte assez bien en termes de séquentiels, mais en aléatoire, c'est bas. C'est aussi le cas de l'autre carte Kingston, la Go, qui présente un profil de performance similaire.
Et pour finir la marche, on a la Lexar 633x. Elle obtient de bons scores en lecture, mais en écriture, c'est mauvais, que ce soit en séquentiel ou en aléatoire. Et on va voir que page suivante, celui va bien lui jouer des tours.