Le packaging est ultra sobre, puisque majoritairement blanc. Un simple coup d’œil permet de découvrir les principales caractéristiques de la carte. L'information qui saute littéralement aux yeux est le « 256 GB », ainsi que les débits de la carte : 100 Mo/s en lecture, 80 Mo/s en écriture.


Au dos du blister, on trouve d'autres informations telles que la garantie de 5 ans, ce qui est une valeur importante, mais le reste est accessoire.

Une fois déballée, on fait face à une carte micro SD blanche et orangée. En fait, la zone colorée, à droite de la Superior Pro, dépend de la capacité. Il y a donc 3 autres modèles en plus de celui étudié ici : la 64 Go qui est bleue, la 128 Go, aux teintes violettes et la 512, qui elle est jaune. Le reste est commun à tous les modèles. Notamment, elles partagent toutes la même mention « 3D NAND », ce qui prouve que cette méthode de fabrication des puces de flash est utilisée ici aussi et pas que dans les SSD.

Outre la carte, on trouve également dans l'emballage un adaptateur, qui permet de l'utiliser dans un slot SD classique. C'est toujours pratique à avoir, et cela nous servira pour les benchs.

Passons à un peu de technique avant d'attaquer les benchmarks. Cela permettra de bien comprendre l'ensemble de logos présent en bas du blister :  V30 », « UHS-I » et autres « A1 ».