Les environnements sont diversifiés
La diversité des environnements est plaisante
Je vais vous avouer une chose, je n’aime pas particulièrement les jeux en monde ouvert, juste pour ce qu’ils sont. J’aime quand les mondes ouverts sont au service du jeu, et non l’inverse (c’est pour cela que j’ai plus d’affects pour un
Red Dead Redemption que pour le monde ouvert d’
Homefront : The Revolution, qui n’est là que pour cocher les cases d’un cahier des charges). Et c’est le cas dans ce Metro, ce qui pourra en dérouter certains, mais qui m’a plutôt accroché. Les zones traversées sont vastes, mais on ne passe pas non plus des dizaines de minutes à les traverser.
Même les zones arides sont sympa
Entre les zones, on retrouve des séquences plus scriptées et plus narratives, avant de repartir sur la route, ou plutôt sur les rails, à la découverte de nouveaux lieux, et donc de nouvelles aventures. Le changement entre les niveaux est radical, et l’on passe des zones arides aux zones humides, des déserts de feu aux déserts de glace. C’est un vrai régal pour la découverte, mais également pour les yeux (on y reviendra). Le jeu est de ce fait très varié, et l’on n’a jamais le temps de s’ennuyer que les développeurs ont déjà prévu pour nous une nouvelle voie qui se déroule naturellement.
Le monde est post-apo, mais les rencontres ne seront pas rares
La carte sera votre alliée
Le jeu est très épuré dans son interface, et ce sera toujours un plaisir de parcourir les zones post-apocalyptiques proposées dans Metro. Pour se repérer, Artyom devra compter sur sa carte rudimentaire, mise à jour grâce aux jumelles qui vous permettront de repérer les lieux d’intérêt de loin. Certaines zones vous seront rendues plus faciles à l’exploration grâce aux astuces qui vous seront données par les PNJ qui peuplent les cartes. Le jeu est une invitation à la découverte, et l’on sera bien souvent happés par des velléités de découverte, que cela soit un campement abandonné, une tour de surveillance avec du
loot, un nid d’animaux infectés, etc.