Ce périphérique affiche près de 970 g sur la balance, pour une taille de 46 cm de long sur 16 cm de large. Ce sont donc des dimensions plus qu'habituelles pour un clavier avec un pavé numérique et sans macros supplémentaires, autrement dit : un classique 105 touches. Il ne sera alors pas nécessaire de prévoir énormément de place sur le bureau pour le poser.
Le Vulcan propose donc un cadre en aluminium renforcé avec des touches incurvées en soft touch, qui sont vraiment légères (50 % plus légères que les touches standard, d'après Roccat) ; à l'arrière c'est un plastique de très bonne facture qui a été choisi. Il faut dire que le tout a l'air de très bonne qualité, la finition est quant à elle irréprochable, Roccat oblige. On remarquera la présence de deux vis au-dessus des touches F1 et F4, dont on ne connaît pas vraiment l'utilité, peut-être cela fait-il partie du design ?
Une fois le clavier retourné on aperçoit cinq longues bandes antidérapantes disposées des deux côtés de cette face arrière. Avec tout cela, le Vulcan se retrouve parfaitement accroché au bureau et ne risque pas de déraper, sauf en cas de choc assez conséquent, bien évidemment. Concernant les touches, celles-ci sont surélevées par rapport au clavier, le switch étant également visible : cela donne l'impression que les touches flottent. Le lettrage est simple, sans aucune déviance atypique. La police est très lisible et épaisse, ce qui laisse bien passer la lumière du rétroéclairage. Sur le haut du périphérique, l'on peut accéder à pas moins de 8 paramètres multimédias. Le volume général, la puissance du rétroéclairage et le profil sélectionné pourront également être réglés directement via des touches prédédiées.
Le Vulcan se relie au PC via un câble USB de 1,8 m de long. La gaine est faite dans un plastique au toucher « peau de pêche ». C'est moins classe que les gaines tressées, mais apparemment c'est aussi efficace contre les nœuds. Néanmoins, pas de ports supplémentaires sur le clavier, dommage. Posséder une entrée/sortie audio et un port USB est très pratique lors de déplacement en LAN par exemple.
Le Vulcan propose donc un cadre en aluminium renforcé avec des touches incurvées en soft touch, qui sont vraiment légères (50 % plus légères que les touches standard, d'après Roccat) ; à l'arrière c'est un plastique de très bonne facture qui a été choisi. Il faut dire que le tout a l'air de très bonne qualité, la finition est quant à elle irréprochable, Roccat oblige. On remarquera la présence de deux vis au-dessus des touches F1 et F4, dont on ne connaît pas vraiment l'utilité, peut-être cela fait-il partie du design ?
Une fois le clavier retourné on aperçoit cinq longues bandes antidérapantes disposées des deux côtés de cette face arrière. Avec tout cela, le Vulcan se retrouve parfaitement accroché au bureau et ne risque pas de déraper, sauf en cas de choc assez conséquent, bien évidemment. Concernant les touches, celles-ci sont surélevées par rapport au clavier, le switch étant également visible : cela donne l'impression que les touches flottent. Le lettrage est simple, sans aucune déviance atypique. La police est très lisible et épaisse, ce qui laisse bien passer la lumière du rétroéclairage. Sur le haut du périphérique, l'on peut accéder à pas moins de 8 paramètres multimédias. Le volume général, la puissance du rétroéclairage et le profil sélectionné pourront également être réglés directement via des touches prédédiées.
Le Vulcan se relie au PC via un câble USB de 1,8 m de long. La gaine est faite dans un plastique au toucher « peau de pêche ». C'est moins classe que les gaines tressées, mais apparemment c'est aussi efficace contre les nœuds. Néanmoins, pas de ports supplémentaires sur le clavier, dommage. Posséder une entrée/sortie audio et un port USB est très pratique lors de déplacement en LAN par exemple.