Maintenant, faisons un petit tour en détail du waterblock et du radiateur.


Notre radiateur est au format 240 mm, mais mesure 272 mm hors tout. Il ne sera pas compatible avec n'importe quel boitier, une grande tour est donc préférable. Les ailettes sont en aluminium, et ses deux ventilateurs annoncent des résultats qui devraient être intéressants, ce que nous verrons dans la partie suivante.

Le logo de la marque est gravé sur le waterblock. Le revêtement en cuivre nous promet un excellent échange thermique. On notera la présence d'un câble sur le waterblock pour la gestion des couleurs, et le câble directement raccordé à la pompe pour un branchement direct sur notre carte mère. Pour finir, sur l'un des côtés de ce waterblock, nous découvrons une énorme vis, par rapport au reste de la pièce, qui nous permettra de purger le liquide et de refaire le plein. C'est un point important, qu'on ne voit pas très souvent, et qui permet d'allonger la durée de vie par rapport à un AIO complètement scellé.
Avec son ORCUS 240, le fabricant met à disposition deux ventilateurs RGB de la marque. Les caractéristiques sont assez intéressantes avec notamment une vitesse de 800 à 1800 RPM, avec une nuisance sonore maximale de 25 dB(a), avec un débit de 1300 L d'air par minute, ce qui annonce un bon score en termes d'efficacité de refroidissement, qui plus est silencieux.

A noter que les ventilateurs seront à brancher directement sur la carte mère, et sur le boitier de la gestion de couleur pour profiter du mode RGB.

Un peu de couleurs

L'Orcus est livré avec une télécommande, et un petit boitier de gestion des niveaux RGB. Ce dernier est également compatible avec des cartes mères RGB, et dans ce cas la télécommande deviendra donc inutile. Avec un maximum de 8 appareils RGB, ce petit boitier nous permet une grande flexibilité en terme de « Jacky Tuning ».

Et voici en même temps, une vidéo de présentation faite directement par le fabricant !