Avant de continuer, il est important de noter que – comme nous l'avait précisé la boîte juste avant – notre Horde Aimo est équipé de switchs mi-membranes, mi-mécaniques, qui sont en réalité de simples touches à membrane avec une distance d'activation plus courte. Ils sont donc censés offrir un équilibre parfait entre silence et performance, mais elles exigeront également un temps d'adaptation plus ou moins important pour éviter certains désagréments liés à leur résistance plus élevée comparé à ce que pourraient proposer des switchs mécaniques.
Ce périphérique affiche près de 1100 g sur la balance, pour une taille de presque 51 cm de long sur 21 cm de large (avec le repose-poignet). Ce sont donc des dimensions plus qu'habituelles pour un clavier avec un pavé numérique et avec macros supplémentaires, autrement dit : un classique 105 touches. Il ne sera alors pas nécessaire de prévoir énormément de place sur le bureau pour le poser. Le Horde Aimo propose un revêtement en plastique sur l'armature, mais les touches sont en soft touch ; à l'arrière c'est le même plastique qui a été choisi. Il faut dire que le tout a l'air de très bonne qualité, la finition est quant à elle irréprochable, Roccat oblige.
Une fois le clavier retourné on aperçoit quatre mousses antidérapantes disposées aux quatre coins de cette face arrière, et nous en avons quatre de plus sous le repose-poignet. Avec tout cela, le Horde Aimo se retrouve parfaitement accroché au bureau et ne risque pas de déraper, sauf en cas de choc assez conséquent bien évidemment. Concernant les touches, celles-ci sont légèrement incurvées et tombent bien sous le doigt. Le lettrage est simple, sans aucune déviance atypique, sauf si ce n'est sur la barre espace sur laquelle l'on ne retrouve aucun tracé. La police est très lisible et épaisse, ce qui laisse bien passer la lumière du rétroéclairage. Seul petit bémol : certaines touches sont inversées visuellement. En effet, par exemple sur un clavier classique, on retrouve la virgule sous le point d’interrogation alors qu’ici, c’est le contraire. Si vous avez un minimum d'expérience sur un clavier, cela ne pose pas de soucis, mais dans le cas contraire, il faudra réfléchir pour bien utiliser les symboles que l'on souhaite…
Sur le haut du périphérique, l'on peut accéder à pas moins de 11 paramètres multimédias. Le volume général, le volume du micro, la puissance du rétroéclairage et le mode d'illumination pourront également être réglés directement via la molette crantée. Cette dernière est aussi compatible avec Windows 10 Dial, faisant du Horde AIMO le premier clavier du marché doté de cette fonction, même si elle se révèlera être peu utile pour le commun du gamer.
Le Horde Aimo se relie au PC via un câble USB de 1,8 m de long. Le câble est gainé d'un tissu noir, permettant au fil de ne pas s’emmêler et de mieux résister face à l'épreuve du temps. Néanmoins, pas de ports supplémentaires sur le clavier, dommage. Posséder une entrée/sortie audio et un port USB supplémentaire est très pratique lors de déplacement en LAN par exemple.
Ce périphérique affiche près de 1100 g sur la balance, pour une taille de presque 51 cm de long sur 21 cm de large (avec le repose-poignet). Ce sont donc des dimensions plus qu'habituelles pour un clavier avec un pavé numérique et avec macros supplémentaires, autrement dit : un classique 105 touches. Il ne sera alors pas nécessaire de prévoir énormément de place sur le bureau pour le poser. Le Horde Aimo propose un revêtement en plastique sur l'armature, mais les touches sont en soft touch ; à l'arrière c'est le même plastique qui a été choisi. Il faut dire que le tout a l'air de très bonne qualité, la finition est quant à elle irréprochable, Roccat oblige.
Une fois le clavier retourné on aperçoit quatre mousses antidérapantes disposées aux quatre coins de cette face arrière, et nous en avons quatre de plus sous le repose-poignet. Avec tout cela, le Horde Aimo se retrouve parfaitement accroché au bureau et ne risque pas de déraper, sauf en cas de choc assez conséquent bien évidemment. Concernant les touches, celles-ci sont légèrement incurvées et tombent bien sous le doigt. Le lettrage est simple, sans aucune déviance atypique, sauf si ce n'est sur la barre espace sur laquelle l'on ne retrouve aucun tracé. La police est très lisible et épaisse, ce qui laisse bien passer la lumière du rétroéclairage. Seul petit bémol : certaines touches sont inversées visuellement. En effet, par exemple sur un clavier classique, on retrouve la virgule sous le point d’interrogation alors qu’ici, c’est le contraire. Si vous avez un minimum d'expérience sur un clavier, cela ne pose pas de soucis, mais dans le cas contraire, il faudra réfléchir pour bien utiliser les symboles que l'on souhaite…
Sur le haut du périphérique, l'on peut accéder à pas moins de 11 paramètres multimédias. Le volume général, le volume du micro, la puissance du rétroéclairage et le mode d'illumination pourront également être réglés directement via la molette crantée. Cette dernière est aussi compatible avec Windows 10 Dial, faisant du Horde AIMO le premier clavier du marché doté de cette fonction, même si elle se révèlera être peu utile pour le commun du gamer.
Le Horde Aimo se relie au PC via un câble USB de 1,8 m de long. Le câble est gainé d'un tissu noir, permettant au fil de ne pas s’emmêler et de mieux résister face à l'épreuve du temps. Néanmoins, pas de ports supplémentaires sur le clavier, dommage. Posséder une entrée/sortie audio et un port USB supplémentaire est très pratique lors de déplacement en LAN par exemple.