Le constructeur fournit donc avec sa carte un utilitaire d'overclocking, à la manière notamment de MSI et de son Afterburner ou d'EVGA et son Precision X. Dénommé « Firestorm », il est compatible avec toutes les GTX de la marque, il a pour objectif, comme on peut s'en douter, de tirer le maximum de son investissement. Il suffit de regarder l'interface pour voir que rien ne manque. D'un simple coup d’œil, on peut voir que l'ensemble des paramètres de la carte sont présents : fréquence GPU, fréquence RAM, tension, plage de puissance, température, rotation des ventilos, etc. Ils sont bien évidemment modifiables, et vous avez même la possibilité de régler la courbe de ventilation et de sauvegarder tous vos paramètres dans 3 profils. On pourra cependant trouver son look un peu retro-futuriste en regard de la concurrence, mais l'important est bel et bien le fonctionnel, et il remplit parfaitement son rôle.
Un élément important à prendre en compte concernant les fréquences est la technologie dénommée GPU Boost par Nvidia. La carte fonctionne sous le constant monitoring de cette fonctionnalité intégrée à la carte, et qui surveille les fréquences, la tension, les températures, les vitesses de rotation des ventilateurs et la puissance électrique consommée. De base, la carte a pour but de ne pas dépasser les 83 °C. Tant que la carte ne les atteint pas, la fréquence sera maximale, et c'est la valeur « Boost » qui sera utilisé. Et plus la carte chauffera, plus la fréquence diminuera pour revenir à la température cible, sans toutefois descendre trop bas en fréquence. La limite basse est la fréquence « stock » de la carte.
On peut aussi noter que cette 10ème génération de GTX inaugure la version 3.0 de Boost. Elle permet, schématiquement, d'obtenir de meilleures performances.
L'outil Firestorm permet de paramétrer tous les paramètres de la carte. Il faudra non seulement augmenter les fréquences, mais aussi les températures autorisées si on veut un bon overclocking. Cependant, cette carte n'est pas vraiment taillée pour l'OC massif. Elle est déjà OC, de 88 MHz comme on l'a vu lors du chapitre consacré à la présentation, et cela amène sa consommation dangereusement près de la limite du port PCI-E. Il n'y a donc pas vraiment de marge de manœuvre.
C'est maintenant l'heure des benchmarks !
Un élément important à prendre en compte concernant les fréquences est la technologie dénommée GPU Boost par Nvidia. La carte fonctionne sous le constant monitoring de cette fonctionnalité intégrée à la carte, et qui surveille les fréquences, la tension, les températures, les vitesses de rotation des ventilateurs et la puissance électrique consommée. De base, la carte a pour but de ne pas dépasser les 83 °C. Tant que la carte ne les atteint pas, la fréquence sera maximale, et c'est la valeur « Boost » qui sera utilisé. Et plus la carte chauffera, plus la fréquence diminuera pour revenir à la température cible, sans toutefois descendre trop bas en fréquence. La limite basse est la fréquence « stock » de la carte.
On peut aussi noter que cette 10ème génération de GTX inaugure la version 3.0 de Boost. Elle permet, schématiquement, d'obtenir de meilleures performances.
L'outil Firestorm permet de paramétrer tous les paramètres de la carte. Il faudra non seulement augmenter les fréquences, mais aussi les températures autorisées si on veut un bon overclocking. Cependant, cette carte n'est pas vraiment taillée pour l'OC massif. Elle est déjà OC, de 88 MHz comme on l'a vu lors du chapitre consacré à la présentation, et cela amène sa consommation dangereusement près de la limite du port PCI-E. Il n'y a donc pas vraiment de marge de manœuvre.
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