On va maintenant faire le tour de l'intérieur du Manta. Cela passe d'abord par le démontage des panneaux latéraux, retenus par 2 vis à main noires chacun. Ils sont bien épais, apportant leur contribution à l'isolation phonique. A l’intérieur, on voit tout d'abord que tout est peint noir, sauf toute la partie destinée à accueillir la carte mère et les disques, qui est d'un rouge vif. Gamers, vous allez aimer ! Côté ventilation, il y en a 2 en aspiration en façade, ainsi qu'un en extraction à l'arrière. Tout 3 sont des 120 mm, des FN V2 à pales noires pour être précis. Habituellement chez NZXT, le constructeur fait plutôt le choix des modèles à pales blanches, mais dans ce Manta noir et rouge, le blanc est fort logiquement proscrit.
On observe alors que les systèmes de fixation des ventilateurs sont bien pensés : au lieu de trous fixe, le constructeur prévoit plutôt des oblongs. Du coup, il y a toujours une marge de manœuvre pour ajuster la position des ventilateurs afin d'ajuster le flux d'air. De même, entre le carénage supérieur et le dessus de tour il y a un espace, où on peut faire courir des câbles, pratique pour un câblage propre.
Au dos on retrouve l'électronique du hub PWM – qu'on retrouve avec grand plaisir – mais il n'y a pas de bouton de réglage, comme cela était le cas sur le Phantom 820. On retrouve en fait un fonctionnement un peu similaire à ce que fait Phanteks, à savoir que c'est la température du CPU qui va piloter la ventilation. C'est plutôt bien pensé !
Enfin, sur le dessous de la tour, on trouve la quincaillerie livrée avec le Manta est renfermé dans une boite en carton de la taille d'un disque dur. C'est une bonne idée, car ce petit carton permet de conserver l'abondante quincaillerie fournie :
On observe alors que les systèmes de fixation des ventilateurs sont bien pensés : au lieu de trous fixe, le constructeur prévoit plutôt des oblongs. Du coup, il y a toujours une marge de manœuvre pour ajuster la position des ventilateurs afin d'ajuster le flux d'air. De même, entre le carénage supérieur et le dessus de tour il y a un espace, où on peut faire courir des câbles, pratique pour un câblage propre.
Au dos on retrouve l'électronique du hub PWM – qu'on retrouve avec grand plaisir – mais il n'y a pas de bouton de réglage, comme cela était le cas sur le Phantom 820. On retrouve en fait un fonctionnement un peu similaire à ce que fait Phanteks, à savoir que c'est la température du CPU qui va piloter la ventilation. C'est plutôt bien pensé !
Enfin, sur le dessous de la tour, on trouve la quincaillerie livrée avec le Manta est renfermé dans une boite en carton de la taille d'un disque dur. C'est une bonne idée, car ce petit carton permet de conserver l'abondante quincaillerie fournie :
- Sachets de vis noires pour la carte mère
- Une entretoise noire + outil de montage
- Sachet de vis pour disques durs et SSD
- Sachet de vis pour l'alimentation
- Sachet de vis noires pour des ventilateurs supplémentaires
- Serres-câbles
- Notice de montage
- Badge NZXT