Une fois sorti de son polystyrène et de son étui plastique de protection, le boitier se dévoile. On peut donc en observer toutes les faces, et sur chacune d'entre elles on peut voir une petite spécificité par rapport à ce qu'on voit habituellement. Bien évidemment, c'est la façade qui attire particulièrement l’œil au premier abord. En effet, celle-ci est bombée mais complètement lisse. NZXT est en effet une des marques qui proposent des boitiers sans emplacement pour lecteur optique et autre rack en façade, comme c'est également le cas sur son fameux H440, par exemple. Il faut donc avoir cela en tête, car cela peut être déterminant pour l'achat. L'aération n'est pas oubliée, puisque la tranche de la façade est bien évidemment perforée.
Le derrière de la tour est plus classique au premier abord, avec l'emplacement de l'alim en bas, comme cela est le cas sur bon nombre de boitiers ATX. Cependant, sur la partie supérieure, il y a une petite proéminence qui cache en fait 2 LEDs blanches, dont le rôle est d'éclairer les connecteurs de la carte mère. Nous avons toujours été emballés par cette fonctionnalité présente sur les boitiers Phantom de NZXT, car qui n'a jamais galéré dans l'obscurité de derrière sa tour pour brancher un câble ? Un petit bouton poussoir, facile à atteindre à tâtons dans la pénombre, permet de les éteindre ou de les allumer.
Sur le dessus, alignés à droite, on trouve les 2 connecteurs USB3 ainsi que les 2 jacks audio habituels, pour le micro et le casque. Le bouton power, se trouve quant à lui de l'autre côté. Le capot est en fait dans la lignée de la façade : bombé, lisse, et avec des trous de ventilation sur la tranche, de chaque côté. Cela permet d'assurer une belle cohérence dans le design du Manta.
Une LED blanche, sous forme de barre lumineuse, permet de savoir si la tour est sous tension, et une autre LED blanche, plus lumineuse, et située à l'intérieur de cette barre, marque l'activité des disques durs. Cela permet de bien intégrer les voyants au design de la tour, on sent bien que l'ensemble a été réfléchi jusque dans les petits détails.
Finalement, quand on regarde le dessous, on voit que la tour est posée sur 4 pieds disposant d'une zone en caoutchouc pour atténuer les vibrations. On voit également le filtre à poussière amovible, et l'espace pour la ventilation présent entre le piètement et le dessous du boitier.
Déposons les côtés, et regardons maintenant les entrailles du boitier.
Le derrière de la tour est plus classique au premier abord, avec l'emplacement de l'alim en bas, comme cela est le cas sur bon nombre de boitiers ATX. Cependant, sur la partie supérieure, il y a une petite proéminence qui cache en fait 2 LEDs blanches, dont le rôle est d'éclairer les connecteurs de la carte mère. Nous avons toujours été emballés par cette fonctionnalité présente sur les boitiers Phantom de NZXT, car qui n'a jamais galéré dans l'obscurité de derrière sa tour pour brancher un câble ? Un petit bouton poussoir, facile à atteindre à tâtons dans la pénombre, permet de les éteindre ou de les allumer.
Sur le dessus, alignés à droite, on trouve les 2 connecteurs USB3 ainsi que les 2 jacks audio habituels, pour le micro et le casque. Le bouton power, se trouve quant à lui de l'autre côté. Le capot est en fait dans la lignée de la façade : bombé, lisse, et avec des trous de ventilation sur la tranche, de chaque côté. Cela permet d'assurer une belle cohérence dans le design du Manta.
Une LED blanche, sous forme de barre lumineuse, permet de savoir si la tour est sous tension, et une autre LED blanche, plus lumineuse, et située à l'intérieur de cette barre, marque l'activité des disques durs. Cela permet de bien intégrer les voyants au design de la tour, on sent bien que l'ensemble a été réfléchi jusque dans les petits détails.
Finalement, quand on regarde le dessous, on voit que la tour est posée sur 4 pieds disposant d'une zone en caoutchouc pour atténuer les vibrations. On voit également le filtre à poussière amovible, et l'espace pour la ventilation présent entre le piètement et le dessous du boitier.
Déposons les côtés, et regardons maintenant les entrailles du boitier.