Le temps reste, et restera toujours le seul moyen de se faire une idée précise de l'utilisation d'un périphérique. Notre Diamondback ne déroge pas à la règle. Après un passage de plusieurs semaines entre notre main droite, il est temps de faire le bilan.
Tout d'abord, au niveau du poids, il faut noter que la souris est l'une des plus légère passer entre nos doigts.
On sent également que la souris est solide, il n'y a pas de couinement dû à des plastiques mal ajustés quand on appuie un peu dessus par exemple, ce qui est gage d'une bonne qualité de finition.
Dans le noirLa forme de la Diamondback s'avère excellente pour les jeux rapides et incite à manipuler la souris du bout des doigts. Mais à la longue, cette position s'avère peu confortable sur le long terme, puisque la souris ne soutient pas la paume de la main en raison de sa faible hauteur. Les tranches de la souris étant creusées vers l'intérieur, les doigts frottent également constamment sur le bureau ou le tapis. Cela assure une certaine stabilité et plus de précision, au détriment là encore du confort.
Pour un usage bureautique et du jeu peu nerveux, la Diamondback reste donc peu recommandable pour les amateurs de positions plus confortables.
On apprécie la grande réactivité des boutons, bien qu'ils soient fermes. Même constat en ce qui concerne les boutons de tranche, qui tombent parfaitement sous le pouce qui nous permet d'y accéder assez facilement. En jeu, le capteur a montré tout son potentiel. Avec un tapis adéquat, il sera difficile de faire décrocher cette souris. Les multiples boutons et la gestion de la résolution via le petit bouton sous la souris fait des merveilles dans nos jeux préférés : les FPS.
Terminons par le rétroéclairage LED RGB faisant tout le tour de la souris avec un liseré du plus bel effet et illuminant aussi bien la molette RGB que le logo Razer. Bien que ce gadget soit orienté esthétique, cela fait toujours son petit effet sur le bureau et pour peu que l'on possède aussi un clavier de la marque, les rétroéclairages de périphériques peuvent se synchroniser. Dommage que cela soit surtout prétexte à augmenter le tarif des périphériques !
Tout d'abord, au niveau du poids, il faut noter que la souris est l'une des plus légère passer entre nos doigts.
| Souris | Poids (g) |
| DiamondBack | 89 |
| Cougar 700M | 110 / 128 |
| Cougar 200M | 110 |
| Zowie ZA 12 | 86 |
| Ozone Argon Ocelote | 125 |
| Logitech G402 | 104 |
| CM Storm Reaper | 150 |
On sent également que la souris est solide, il n'y a pas de couinement dû à des plastiques mal ajustés quand on appuie un peu dessus par exemple, ce qui est gage d'une bonne qualité de finition.
Dans le noirPour un usage bureautique et du jeu peu nerveux, la Diamondback reste donc peu recommandable pour les amateurs de positions plus confortables.
On apprécie la grande réactivité des boutons, bien qu'ils soient fermes. Même constat en ce qui concerne les boutons de tranche, qui tombent parfaitement sous le pouce qui nous permet d'y accéder assez facilement. En jeu, le capteur a montré tout son potentiel. Avec un tapis adéquat, il sera difficile de faire décrocher cette souris. Les multiples boutons et la gestion de la résolution via le petit bouton sous la souris fait des merveilles dans nos jeux préférés : les FPS.
Terminons par le rétroéclairage LED RGB faisant tout le tour de la souris avec un liseré du plus bel effet et illuminant aussi bien la molette RGB que le logo Razer. Bien que ce gadget soit orienté esthétique, cela fait toujours son petit effet sur le bureau et pour peu que l'on possède aussi un clavier de la marque, les rétroéclairages de périphériques peuvent se synchroniser. Dommage que cela soit surtout prétexte à augmenter le tarif des périphériques !
Page suivante
7 commentaires
c'est bien ce que je me disais xD
)
ZedenTV : https://www.youtube.com/channel/UCyNdxVHYbmbInnl8UAjIDdQ