L'installation du processeur, de la RAM et du ventirad se sont fait fort simplement sur cette G1 Sniper. En effet, rien n'est venu gêner l'installation d'un gros ventirad car il y a plein d'espace libre autour du socket 1150.

On constate qu'aucun connecteur interne n'est dans l'alignement des ports PCI-E, comme on a pu le voir sur des cartes bas de gamme. Il y a de place sur cette B5, ce qui facilite fortement le câblage, notamment celui des périphériques SATA et des prises de façade et c'est très pratique.

Comme la carte embarque une solution graphique au niveau du CPU, on pourrait penser qu'il n'y a pas besoin de carte graphique PCI-E. Cependant, contrairement aux autres Sniper, on ne trouve qu'une seule sortie HDMI. Notre écran de test ne disposant pas de cette connectique, on va utiliser une antique HD 4870, ce qui permet au passage de tester la compatibilité d'une vieille CG avec du matériel qui vient de sortir.

Une fois sous tension, on remarque que des LEDs vertes s'allument et illuminent une ligne. Elle matérialise la zone dans laquelle sont regroupés les composants audio, au bord de la carte. On y trouve notamment le chipset protégé par un blindage doré, et l’amplificateur modifiable, comme sur la Sniper 5, même si le chipset ici n'est pas signé Creative mais simplement Realtek.

Une deuxième ligne lumineuse est également présente, juste à des fins décoratives, comme on le verra dans les photos présentes à la fin de cet article.