The Order est la première licence créée par Ready at Dawn. C'est donc la première œuvre 100 % originale où ils ont pu créer leur univers et leurs personnages. A ce niveau, le studio a fait un travail vraiment digne d'intérêt – une remarque qui reviendra pour tous les aspects artistiques de ce jeu.
Un drôle de trip donc, qui recherche du côté du fantastique dans une utopie qui reste un tant soit peu réaliste. Bien que quelques armes soient totalement originales, leur utilisation reste parcimonieuse et on se baladera le plus souvent avec des armes plus classiques. De même, les rencontres avec les lycans restent rares, même si leur ombre plane en permanence sur les évènements narrés.
Le personnage principal de The Order a pour nom Galahad. Un chevalier viril et moustachu, dont nous suivrons l'épopée en cette fin d'année 1886.
Les premières minutes du jeu dévoilent des moments sombres ou douloureux, alors que notre preux chevalier est emprisonné et apparemment honni de tous. Pourquoi tant de haine à son endroit ? Qu'adviendra t-il de lui après une chute tragique ? Nous le découvrirons plus tard, car la narration retourne plusieurs semaines en arrière, nous permettant de comprendre comment notre héros s'est retrouvé dans la mouise, avant de revenir à ce fameux prologue et de nous en dévoiler le dénouement. Le procédé est classique mais est toujours aussi accrocheur.
D'une manière générale, le scénario de The Order doit beaucoup à sa mise en scène nerveuse, ne laissant que peu de répits au héros. Un peu à la manière des blockbusters, il est vrai. Certes, l'ensemble est très convenu. Les rebondissements sont prévisibles, quoique pas toujours cohérents – comme souvent au ciné, d'ailleurs. Et pourtant, j'avoue avoir accroché à l'histoire de The Order, de la même manière que j'ai pu accrocher à d'autres films d'aventure.
Un univers steampunk
Notre histoire se déroule dans une réalité typée steampunk, à Londres, sous le règne de la reine Victoria. Une ville et une époque que l'on redécouvre autrement, puisque modifiée par des progrès scientifiques et technologiques avancés. Sous un ciel parcouru par des dizaines de zeppelins, des chevaliers de la Table Ronde, armés de pistolets et de fusils automatiques, protègent le Royaume contre la double menace que représentent les anarchistes et les loups garous.Un drôle de trip donc, qui recherche du côté du fantastique dans une utopie qui reste un tant soit peu réaliste. Bien que quelques armes soient totalement originales, leur utilisation reste parcimonieuse et on se baladera le plus souvent avec des armes plus classiques. De même, les rencontres avec les lycans restent rares, même si leur ombre plane en permanence sur les évènements narrés.
La Quête de messire Galahad
Comme d'autres séries du même genre, The Order se devait d'avoir son héros. Tel Nathan Drake pour Uncharted. Ou tel Marcus Fénix pour Gears of War. Histoire de citer les références qui ont probablement inspiré cette nouvelle « ip ».Le personnage principal de The Order a pour nom Galahad. Un chevalier viril et moustachu, dont nous suivrons l'épopée en cette fin d'année 1886.
Les premières minutes du jeu dévoilent des moments sombres ou douloureux, alors que notre preux chevalier est emprisonné et apparemment honni de tous. Pourquoi tant de haine à son endroit ? Qu'adviendra t-il de lui après une chute tragique ? Nous le découvrirons plus tard, car la narration retourne plusieurs semaines en arrière, nous permettant de comprendre comment notre héros s'est retrouvé dans la mouise, avant de revenir à ce fameux prologue et de nous en dévoiler le dénouement. Le procédé est classique mais est toujours aussi accrocheur.
D'une manière générale, le scénario de The Order doit beaucoup à sa mise en scène nerveuse, ne laissant que peu de répits au héros. Un peu à la manière des blockbusters, il est vrai. Certes, l'ensemble est très convenu. Les rebondissements sont prévisibles, quoique pas toujours cohérents – comme souvent au ciné, d'ailleurs. Et pourtant, j'avoue avoir accroché à l'histoire de The Order, de la même manière que j'ai pu accrocher à d'autres films d'aventure.