La nuit, tous les zombies sont gris
Attention aux rôdeurs nocturnes
Dying Light propose un cycle jour-nuit plutôt convainquant en termes de réalisation, et tout à fait intéressant en termes de
gameplay. En effet, la nuit vos escapades vous rapportent plus de points de survie (qui sont ensuite dépensés dans l'arbre de compétences) car elles sont bien plus dangereuses. Outre le fait qu'il fasse vraiment noir (et vous n'aurez que le faisceau de votre lampe de poche pour vous éclairer), la nuit apporte son lot d'ennemis particuliers, dont notamment les rôdeurs qui sont particulièrement retors. En effet, ces derniers, une fois que vous êtes repérés, vous prennent en chasse et causent donc des phases bien stressantes de course-poursuites plutôt bien foutues et qui apporteront leur dose d'émotions. On regrette que les développeurs n'aient pas poussé plus en ce sens en réservant plus de missions nocturnes et qu'ils n'aient pas un peu plus travaillé l'IA de ces ennemis spéciaux. En effet, on remarque vite leurs limites et notamment dans l'eau où ils se noient dans 25 cm et vous oublient en un clin d’œil. Mais qu'importe, car les phases nocturnes sont une vraie plus-value, tranchant avec le
gameplay diurne plus bourrin et offrant des phases à la limite de l'infiltration (ou tout du moins de l'évitement) sanctionnées par des phases de poursuite en cas d'échec.