Pour piloter le X61, la marque propose un logiciel, dénommé CAM, qui supporte également quelques autres produits de la marque, comme le watercooling X41 ou le rhéobus GRID+. Cet applicatif ne se cantonne pas au contrôle des ventilateurs et de la pompe du watercooling, mais il se veut être également un outil complet de monitoring du PC. De plus, il est prévu pour fonctionner « dans le cloud », comprendre qu'il envoie les données à un serveur sur internet pour que vous puissiez ensuite les consulter de l’extérieur, notamment depuis un smartphone. A l'heure où nous écrivons ces lignes, seule la version iOS est disponible, la version Android étant prévue d'ici l'été. Et comme pour la version PC, seul l'anglais est pour l'instant de mise, ce qui est dommage pour les non anglophones.
L'application est actuellement en v1.20. Non incluse dans le bundle du watercooling, il faut aller la télécharger sur le site du constructeur. On trouve le lien très simplement grâce à l'onglet présent sur la page d'accueil, qui mène très simplement à une page qui présente dans les grandes lignes le produit, vidéo et liens de téléchargement à l'appui. Une fois les 22 Mo récupérés, il n'y a alors plus qu'à installer l'outil, et passer outre l'étape de création de compte. On découvre enfin CAM. Visuellement, l'ensemble a un design moderne et sympathique, avec des couleurs utilisées à bon escient. CAM embarque on va le voir, plusieurs modes.
La zone de gauche présente les « specs » de la machine. Sont affichées les références des différents composants du PC, avec le nombre de slots occupés. Cela est utile pour déterminer s'il reste de la place dans le PC, et ce sans l'ouvrir. Le passage en mode avancé permet d'afficher les températures de ces composants, que ce soit pour les différents cœurs du processeur ou la carte graphique, ainsi la vitesse de rotation des ventilateurs. Sous cette zone, on retrouve l'affichage des adresses IP de la machine, aussi bien celle en interne sur le réseau local, s'il y en a un, et plus utilise encore, l'adresse IP visible de l’extérieur. Ça évite de se connecter à la box de son fournisseur pour la dénicher.
Le panneau central affiche les éléments les plus importants, à savoir la température globale du CPU ou du GPU, mais aussi le top 5 des applications consommant le plus de ressources, que ce soit CPU ou RAM. C'est vraiment pas mal pour savoir quels sont les process les plus gourmands. Juste en dessous, on trouve une zone de notifications, qui regroupe les différentes alarmes remontées par le système, comme quand par exemple une partition disque dépasse un seuil d'occupation. Ce sont ces notifications que l'on retrouve par exemple sur les applications mobiles.
La partie droite quant à elle affiche un ensemble de graphiques, que ce soit l'occupation des différents disques ou le trafic réseau, ainsi que leur historique. La seule petite chose qui pourra manquer à certains est l'affichage des tensions de fonctionnement, notamment celles du CPU.
Le panneau gauche présente la courbe de ventilation : il s'agit du pourcentage de la vitesse de rotation des ventilateurs en fonction de la température du liquide présent dans le X61. Le panneau central présente notamment la température du CPU. On peut également paramétrer la LED RGB présente dans le waterblock. Il est possible de choisir la couleur et le schéma (fixe, clignotant, ou effet « de respiration »). Une prévisualisation du rendu est affichée directement dans la fenêtre, pas besoin de se pencher donc pour regarder ce que ça donne dans la tour autre que pour le rendu final. Pour finir, on peut choisir la couleur de la LED à utiliser si une température élevée est dépassée. Par défaut, la LED va virer au rouge une fois le seuil des 60°C atteint.
On peut également régler la vitesse de rotation des ventilateurs via un curseur. Au minimum, ils tournent à 25 % de leur maximum. Comme présenté avant, la pompe dispose également d'une vitesse variable, mais celle-ci est asservie à celle des ventilateurs. Cela peut sembler logique d'un point de vue technique, mais cela n'est pas forcément visible au premier coup d’œil dans l'interface graphique.
Maintenant que tout est en place et configuré, place aux tests !
L'application est actuellement en v1.20. Non incluse dans le bundle du watercooling, il faut aller la télécharger sur le site du constructeur. On trouve le lien très simplement grâce à l'onglet présent sur la page d'accueil, qui mène très simplement à une page qui présente dans les grandes lignes le produit, vidéo et liens de téléchargement à l'appui. Une fois les 22 Mo récupérés, il n'y a alors plus qu'à installer l'outil, et passer outre l'étape de création de compte. On découvre enfin CAM. Visuellement, l'ensemble a un design moderne et sympathique, avec des couleurs utilisées à bon escient. CAM embarque on va le voir, plusieurs modes.
Mode Basic
Dans un premier temps, on va voir comment CAM fonctionne dans son mode dit « Basic », c'est à dire sans le Kraken. L'application s'articule en fait autour de plusieurs zones.La zone de gauche présente les « specs » de la machine. Sont affichées les références des différents composants du PC, avec le nombre de slots occupés. Cela est utile pour déterminer s'il reste de la place dans le PC, et ce sans l'ouvrir. Le passage en mode avancé permet d'afficher les températures de ces composants, que ce soit pour les différents cœurs du processeur ou la carte graphique, ainsi la vitesse de rotation des ventilateurs. Sous cette zone, on retrouve l'affichage des adresses IP de la machine, aussi bien celle en interne sur le réseau local, s'il y en a un, et plus utilise encore, l'adresse IP visible de l’extérieur. Ça évite de se connecter à la box de son fournisseur pour la dénicher.
Le panneau central affiche les éléments les plus importants, à savoir la température globale du CPU ou du GPU, mais aussi le top 5 des applications consommant le plus de ressources, que ce soit CPU ou RAM. C'est vraiment pas mal pour savoir quels sont les process les plus gourmands. Juste en dessous, on trouve une zone de notifications, qui regroupe les différentes alarmes remontées par le système, comme quand par exemple une partition disque dépasse un seuil d'occupation. Ce sont ces notifications que l'on retrouve par exemple sur les applications mobiles.
La partie droite quant à elle affiche un ensemble de graphiques, que ce soit l'occupation des différents disques ou le trafic réseau, ainsi que leur historique. La seule petite chose qui pourra manquer à certains est l'affichage des tensions de fonctionnement, notamment celles du CPU.
Mode Kraken
Une fois le Kraken branché, il est détecté par CAM, mais il faut activer le module nécessaire dans l'application en allant dans « Manage ». Dans ce mode, le logiciel garde les principes ergonomiques mentionnés précédemment, mais les adapte bien évidemment au périphérique de watercooling. On découvre également si on le souhaite, on peut désactiver le mode Basic présenté ci-dessus, et donc ne conserver que le monitoring du Kraken.Le panneau gauche présente la courbe de ventilation : il s'agit du pourcentage de la vitesse de rotation des ventilateurs en fonction de la température du liquide présent dans le X61. Le panneau central présente notamment la température du CPU. On peut également paramétrer la LED RGB présente dans le waterblock. Il est possible de choisir la couleur et le schéma (fixe, clignotant, ou effet « de respiration »). Une prévisualisation du rendu est affichée directement dans la fenêtre, pas besoin de se pencher donc pour regarder ce que ça donne dans la tour autre que pour le rendu final. Pour finir, on peut choisir la couleur de la LED à utiliser si une température élevée est dépassée. Par défaut, la LED va virer au rouge une fois le seuil des 60°C atteint.
On peut également régler la vitesse de rotation des ventilateurs via un curseur. Au minimum, ils tournent à 25 % de leur maximum. Comme présenté avant, la pompe dispose également d'une vitesse variable, mais celle-ci est asservie à celle des ventilateurs. Cela peut sembler logique d'un point de vue technique, mais cela n'est pas forcément visible au premier coup d’œil dans l'interface graphique.
Maintenant que tout est en place et configuré, place aux tests !