Pour ne pas être à l'écart de ses concurrents tels que Dell et son XPS ou encore Alienware, Acer a finalement pris le pas du PC de jeux, avec l'annonce de sa nouvelle série « Predator ».
Comme il est courant dans ce marché, Acer a jeté par la fenêtre la subtilité et a mis en couleurs (vives) le châssis des nouveaux Predator, et implanté du cuivre un peu partout, comme il est aussi de coutume dans les PC de gamers.
Comme il est courant dans ce marché, Acer a jeté par la fenêtre la subtilité et a mis en couleurs (vives) le châssis des nouveaux Predator, et implanté du cuivre un peu partout, comme il est aussi de coutume dans les PC de gamers.
Côté caractéristiques, le Predator offre un multi-lecteur de cartes ainsi qu'un graveur Blu-ray. A l'avant du boîtier se situe une « Acer Easy-swap », c'est à dire une baie de disques durs qui permet de connecter jusqu'à quatre disques pouvant être installés ou retirés du système, à loisir, et ce même en cours d'exécution. Une caractéristique de ce type est plus souvent repérée dans les serveurs, et de ce fait leur ajout ici aide les « Predator » à se distinguer de la concurrence. On trouvera également un système intégré de prise en charge de plusieurs types de solutions RAID.
En interne, le prédateur est basé sur une carte mère Nvidia nForce 780i SLI qui supporte 3-way SLI, mais Acer n'offre aujourd'hui que le double-GeForce 9600 GT, 9800 GTX ou 9800 GX2.
Côté CPU, on trouvera des Intel Core 2 Extreme ou Core 2 Quad, et Acer a choisi d'inclure un système de refroidissement liquide qui réduit le bruit du système et permet aux utilisateurs de pousser la machine au maximum. La capacité de mémoire va jusqu'à 8 Go de DDR2.
Les autres caractéristiques comprennent un double-Gigabit LAN, des cartes son Sound Blaster X-Fi Platinum facultatif et un choix de Windows Vista Home Premium ou Ultimate.
Prix et disponibilité sont soumis à région, mais il est évident de supposer que le Predator sera très cher, pour ne pas déroger à la règle.
Voici une série de photos illustrant tous ces propos, le style est tellement ravageur, qu'on ne peut qu'aimer, ou détester, à loisir...