
« Pour nous, le but a été de créer l’horreur à partir de l’inconnue, non seulement parce que nous pensons que c’est un bon moyen d’y arriver, mais aussi à cause de limites financières. Nous n’avions simplement pas les fonds nécessaires pour la création de scènes visuellement complexes »
Ils y discutent aussi de difficultés techniques…
« Toutes les configurations différentes nous ont vraiment découragées. Il y a tellement de configurations qu’il est impossible faire fonctionner le tout sur un max d’ordinateurs. Alors nous somme de plus en plus tentés d’aller travailler avec les consoles »
Enfin, ils y parlent aussi du bide commercial qu’a été, malheureusement, Penumbra : Overture…
« Il a été super d’avoir autant d’attention médiatique, mais sur le plan financier, je pense que nous pouvons résumer le tout comme un échec commercial […] Disons que, pour l’instant, nous ne roulons pas en Ferrari… Encore faudrait-il que je puisse me payer un permis de conduite. Ayant été un étudiant, d’un point de vue économique rien n’a changé. »
Alors maintenant on se sent coupable d’avoir (vous savez quoi) Penumbra : Overture ? Après avoir développé un super jeu, nos trois mousquetaires ont tout juste assez de picaille pour s’offrir des sandwiches au pain, voire seulement les miettes. Heureusement qu’il est possible de se repentir sur Direct2Drive, puisque Penumbra : Overture y est vendu numériquement.
Mais n’oubliez pas d’essayer la démo avant.