Une preview de parue dans le magazine britannique PCzone nous donne de précieux renseignements sur Call of Duty 4 : Modern Warfare.

On sait maintenant que la guerre moderne que l'on mènera dans cet opus aura pour origine un tyran Russe ultranationaliste, Zakhaev, dont le plan maléfique sera de déclencher une guerre mondiale pour envahir les Etats-Unis.

Pour cela il va tenter de provoquer par la ruse une guerre préliminaire entre la patrie de George W. Bush et un pays fictif du moyen orient, guerre censée affaiblir le géant hégémonique de l'occident.
De leur coté, les SAS britanniques surveillant le méchant de très près, vont tenter d'expliquer aux américains le piège qui leur est tendu après avoir découvert le pot aux roses.
S'en suivra évidemment une folle et épique série de bastons dans la joie et le raffinement de l'armement moderne.

On découvrira ainsi un scénario étalé sur trente jours et supposé être étudié pour faire penser à une saison de 24 heures chrono. Il sera composé de deux campagnes parallèles et liées, l'une se déroulant en Russie au milieu d'une équipe furtive de SAS, l'autre, basé sur la soif d'action de marine's bourrins élevés aux hormones et aux big macs dans le pays fictif du moyen orient (où ce gredin terroriste d'Al Asad fait régner sa loi).
Les personnages que nous incarnerons seront quant à eux vraisemblablement plus impliqués dans l'histoire et plus intéressants que ceux des précédents opus.

Par contre, l'action, même si elle promet d'être très spectaculaire, risque de rester linéaire, car l'orientation du gameplay censée permettre au joueur de se croire devant un film de guerre reste la même. Or, si elle donne un aspect épique au jeu, c'est elle qui provoque aussi cette fameuse absence de liberté propre au genre.

Au niveau des derniers détails, on peut citer de meilleurs graphismes (le contraire serait étonnant), une gestion correcte de la physique et un système de santé similaire à celui de Call of Duty 2.

Alors, déclin d'une série à succès ou renouveau bénéfique de la série et bouffée d'oxygène?
On vous dira tout ça quand on y aura joué, c'est promis!