Cette carte est constituée d'un circuit imprimé noir customisé, d'un système de refroidissement – dénommé Ice Storm – et d'une plaque métallique au dos. Passons en revue ces éléments.
La carte qui nous intéresse aujourd'hui, de base, est overclockée à 1822 MHz en boost, contre 1733 MHz pour les modèles de référence. Côté mémoire, le constructeur embarque pas moins de 8 Go de GDDR5X, une nouvelle déclinaison de la GDDR, cadencés à « 10000 MHz », comprendre dans ce cas 2500 MHz réels. La valeur annoncée est à diviser en 4 du fait de la technologie GDDR5X, utilisant des fréquences doublées et des signaux DDR pour fonctionner.
Le backplate, situé au dos de la carte, est une plaque de métal dont un des buts premiers est de renforcer la rigidité de l'ensemble. En effet, le poids du dissipateur thermique réparti sur le long PCB noir pourrait faire un peu cintrer la GTX sur la durée. Son autre rôle est bien évidemment d'aider à la ventilation de l'ensemble, on voit notamment des ouïes au niveau de la zone du GPU. Le constructeur a de plus soigné le design de cette backplate, avec un design majoritairement jaune et à l'image du packaging. Au milieu se trouve une plaque sérigraphiée Power Boost. Elle protège en fait un composant de régulation de tension, destiné à améliorer la durée de vie de la carte, même quand elle est overclockée.
Le système de refroidissement Ice Stom est quant à lui un classique de la marque Zotac. Il est composé d'un gros radiateur en aluminium. Celui-ci est traversé dans le cas de cette GTX 1080 par 5 gros heatpipes en cuivre. Ils passent en fait sur une plaque posée sur le die du processeur graphique, ce qui permet de faire une base cuivre au dissipateur thermique en alu. Nous n'avons pas démonté le rad, mais nos confrères qui l'ont fait indiquent que les puces de RAM ainsi que les VRM de l'étage d'alimentation sont eux aussi refroidis par le radiateur. Pour refroidir cet imposant radiateur, on retrouve 2 ventilateurs de 100 mm chacun sur le dessus. Estampillés Zotac, ils sont identiques et disposent de 11 pales chacun. A noter que lorsque la carte est en idle, les ventilateurs ne tournent pas, tout simplement. C'est ce que la marque appelle le Freeze, qui se traduit par « gelé », dans le sens « d'immobile ». Au final, le Ice Stom reste modeste en épaisseur : cette AMP! n'occupe ainsi que 2 slots.
Cela permet d'avoir de l'espace sur la tranche pour écrire le nom de la marque. De plus, cette inscription s'illumine quand la carte est sous tension, c'est que le constructeur nomme « Spectra ». De base, c'est logiquement le jaune Zotac qui est retenu, mais cela est paramétrable. Outre le logo, on trouve 2 zones lumineuses sur la carte, en forme de chevrons très évasés et situées aux jointures des 2 ventilateurs. Elles permettent de faire lumière d'ambiance dans le boitier.
Pour l'alimentation, la carte dispose de 2 connecteurs PCI-E 8 broches, placés sur la tranche de la carte pour que ce soit plus pratique de la brancher. Zotac annonce qu'il faut disposer d'une alimentation d'au moins 500 W pour faire fonctionner cette GTX 1080, on y reviendra lors de nos tests de consommation. Un des ajouts réalisés par la marque à cet endroit est la présence d'une DEL entre les 2 connecteurs PCI-E et qui permet de s'assurer que l'alimentation est correctement branchée. L'étage d'alimentation est quant à lui composé de 8 phases pour le GPU et de phases pour la RAM.
Cette carte possède également 2 connecteurs SLI. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ce n'est pas pour faire un triple/quad SLI, mais c'est pour utiliser les nouveaux ponts SLI à débits doublés – dits HB, pour High Bandwitdh – et qui prennent 2 connecteurs. Globalement, sur l'architecture Pascal, le SLI n'est plus vraiment mis en avant. Une des raisons est à chercher du côté des jeux vidéo et de leurs moteurs 3D, dont certains gèrent mal le passage à plusieurs GPU, voire pas du tout. Le SLI quadruple n'est d'ailleurs plus supporté par Nvidia sur cette génération de carte.
Au niveau des sorties vidéo, on dispose de nombreux connecteurs puisqu'on arrive à un total de 5 :
Passons maintenant à l'installation proprement dite dans notre configuration de test.
La carte qui nous intéresse aujourd'hui, de base, est overclockée à 1822 MHz en boost, contre 1733 MHz pour les modèles de référence. Côté mémoire, le constructeur embarque pas moins de 8 Go de GDDR5X, une nouvelle déclinaison de la GDDR, cadencés à « 10000 MHz », comprendre dans ce cas 2500 MHz réels. La valeur annoncée est à diviser en 4 du fait de la technologie GDDR5X, utilisant des fréquences doublées et des signaux DDR pour fonctionner.
Le backplate, situé au dos de la carte, est une plaque de métal dont un des buts premiers est de renforcer la rigidité de l'ensemble. En effet, le poids du dissipateur thermique réparti sur le long PCB noir pourrait faire un peu cintrer la GTX sur la durée. Son autre rôle est bien évidemment d'aider à la ventilation de l'ensemble, on voit notamment des ouïes au niveau de la zone du GPU. Le constructeur a de plus soigné le design de cette backplate, avec un design majoritairement jaune et à l'image du packaging. Au milieu se trouve une plaque sérigraphiée Power Boost. Elle protège en fait un composant de régulation de tension, destiné à améliorer la durée de vie de la carte, même quand elle est overclockée.
Le système de refroidissement Ice Stom est quant à lui un classique de la marque Zotac. Il est composé d'un gros radiateur en aluminium. Celui-ci est traversé dans le cas de cette GTX 1080 par 5 gros heatpipes en cuivre. Ils passent en fait sur une plaque posée sur le die du processeur graphique, ce qui permet de faire une base cuivre au dissipateur thermique en alu. Nous n'avons pas démonté le rad, mais nos confrères qui l'ont fait indiquent que les puces de RAM ainsi que les VRM de l'étage d'alimentation sont eux aussi refroidis par le radiateur. Pour refroidir cet imposant radiateur, on retrouve 2 ventilateurs de 100 mm chacun sur le dessus. Estampillés Zotac, ils sont identiques et disposent de 11 pales chacun. A noter que lorsque la carte est en idle, les ventilateurs ne tournent pas, tout simplement. C'est ce que la marque appelle le Freeze, qui se traduit par « gelé », dans le sens « d'immobile ». Au final, le Ice Stom reste modeste en épaisseur : cette AMP! n'occupe ainsi que 2 slots.
Cela permet d'avoir de l'espace sur la tranche pour écrire le nom de la marque. De plus, cette inscription s'illumine quand la carte est sous tension, c'est que le constructeur nomme « Spectra ». De base, c'est logiquement le jaune Zotac qui est retenu, mais cela est paramétrable. Outre le logo, on trouve 2 zones lumineuses sur la carte, en forme de chevrons très évasés et situées aux jointures des 2 ventilateurs. Elles permettent de faire lumière d'ambiance dans le boitier.
Pour l'alimentation, la carte dispose de 2 connecteurs PCI-E 8 broches, placés sur la tranche de la carte pour que ce soit plus pratique de la brancher. Zotac annonce qu'il faut disposer d'une alimentation d'au moins 500 W pour faire fonctionner cette GTX 1080, on y reviendra lors de nos tests de consommation. Un des ajouts réalisés par la marque à cet endroit est la présence d'une DEL entre les 2 connecteurs PCI-E et qui permet de s'assurer que l'alimentation est correctement branchée. L'étage d'alimentation est quant à lui composé de 8 phases pour le GPU et de phases pour la RAM.
Cette carte possède également 2 connecteurs SLI. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ce n'est pas pour faire un triple/quad SLI, mais c'est pour utiliser les nouveaux ponts SLI à débits doublés – dits HB, pour High Bandwitdh – et qui prennent 2 connecteurs. Globalement, sur l'architecture Pascal, le SLI n'est plus vraiment mis en avant. Une des raisons est à chercher du côté des jeux vidéo et de leurs moteurs 3D, dont certains gèrent mal le passage à plusieurs GPU, voire pas du tout. Le SLI quadruple n'est d'ailleurs plus supporté par Nvidia sur cette génération de carte.
Au niveau des sorties vidéo, on dispose de nombreux connecteurs puisqu'on arrive à un total de 5 :
- 1 DVI-I
- 1 HDMI
- 3 DisplayPort
Passons maintenant à l'installation proprement dite dans notre configuration de test.