Nous sommes en 1912, vous êtes invité au mariage de votre cousine dans un château de Transylvanie (drôle d’idée, car c’est déjà un endroit où nous on irait pas...). Vous arrivez au château à bord d’une calèche, et vous êtes lâché dans la cours principale. La première constatation est que le décor est bien planté : une cours intérieur lugubre, brumeuse, quelques éclair bien placés, le château face à nous a un aspect plus qu’inquiétant... bref, on se dit qu’on est parti pour une bonne séance de frissons. Autre détail, pour un lieu sensé abriter un mariage, qui est je signal un rituel de réjouissance, où l’on se doit de faire la fête à grand bruit, et bien c’est rudement calme. Rassurez vous, ce n'est que le calme avant la tempête, car à peine quelques secondes après votre arrivée, vous entendez un bruit de verre brisé sur votre gauche, et vous voyez le curé s’éclater lourdement par terre après être passé par la fenêtre.
Malgré son côté horreur et son système de génération aléatoire du château, Nosferatu reste un FPS bancal. Le principe de la génération aléatoire et des objectifs en temps limité aurait pu être sympathique si le gameplay et le plan technique n'avaient pas été si ratés.