Visuellement, la manette ressemble beaucoup à la manette Nintendo Switch Pro pour ce qui est du placement des boutons. D’aspect général, le revêtement est lisse et couvert d’un violet légèrement brillant. On distingue différents liserés translucides.
Il s’agit du bouton « Fonction » ! Celui-ci sert à la programmation des boutons du dessous, le mapping se fera directement sur la manette via la LED d’état (le point translucide) et sans passer par un logiciel tiers via PC par exemple. Les boutons arrière se trouvent donc sous la manette et ce qui est assez intéressant c’est que nos doigts se placent naturellement dessus. Ils n’ont pas de revêtement particulier, mais sont tout de même texturés, ça améliore le grippe et on sait exactement où appuyer.
Il est temps de connecter notre AfterGlow Wave.
Les sticks
Nous avons donc deux sticks, un pour chaque pouce, entourés d’un cercle translucide où se diffuseront les effets lumineux. Ils sont en plastiques avec un revêtement en caoutchouc strié et creusé au centre pour garder un bon grippe ! À 1 ère vue, ils ont l’air costaux notamment au niveau de la tige qui est bien large. Le plastique n’est pas le même que sur le reste de la manette, il est brillant ce qui promet une belle combinaison avec les effets lumineux.La croix directionnelle
Là aussi, rien de bien spécial, elle est la même forme que sur une manette officielle. Une croix violette, sans contour translucide comme pour les sticks pour les effets lumineux, dotés de triangles de direction avec une démarcation de couleur, le violet brillant que l'on retrouve sur la tige de sticks.Les gâchettes
R, L, ZL et ZR sont bien là ! Ces 4 boutons ressortent bien de l’avant de la manette, idéalement placés pour le majeur ou l’index qui peuvent se poser dessus sans soucis et promettent des clics rapides. Ils sont en plastique sans revêtement spécifique, le même que le reste de la coque de la manette.La connectique
Bien que la connexion se fait par Bluetooth, le PDP met à disposition un port USB-C sur l'avant de la manette. Celui-ci à deux fonctions, la recharge et l'utilisation et fera donc le lien entre le support de la Switch et la manette. Il est dommage quand même que le câble ne fait que 2,5m, car pour l'utilisation si vous placez votre setup plus loin afin de profiter des 9 m de distance en sans-fil et que vous vous retrouvez à devoir vous placer à 2,5m pour la suite de votre jeu, c'est dommage. En même temps, avec 40h d'autonomie, on a le temps de voir arriver le manque de batterie.Les boutons d'actions
Les boutons d’actions sont standards. Les boutons A, B, X et Z gardent le violet de la coque aussi bien pour les touches elles-mêmes que pour la sérigraphie. Clairement le fabricant aurait pu faire une différence de couleur sur l’écriture, voire même les faire participer au côté RGB. Il en va de même pour les boutons + et - ou home et capture d’écran. On note tout de même la présence d’un bouton supplémentaire sur le dessus de la manette avec un point translucide au centre.Il s’agit du bouton « Fonction » ! Celui-ci sert à la programmation des boutons du dessous, le mapping se fera directement sur la manette via la LED d’état (le point translucide) et sans passer par un logiciel tiers via PC par exemple. Les boutons arrière se trouvent donc sous la manette et ce qui est assez intéressant c’est que nos doigts se placent naturellement dessus. Ils n’ont pas de revêtement particulier, mais sont tout de même texturés, ça améliore le grippe et on sait exactement où appuyer.
L'indicateur de placement
Pour finir, nous avons sur le bas, sous le bouton « Fonction », l’indicateur de placement. Ce dernier nous sert à savoir à quel placement nous sommes dans l’ordre des manettes tout comme les manettes de base de la Switch. Dans tout cela on note tout de même l’absence d’un bouton d’état de la batterie ! C’est quand même dommage de ne pas pouvoir anticiper une recharge pour une manette rechargeable, bien sûr on ne peut pas l’imputer à PDP, Nintendo en fait autant.Il est temps de connecter notre AfterGlow Wave.