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Inutile de vous faire languir davantage, après quelques semaines de pleine utilisation de ce clavier dans des situations différentes, il est temps de faire le bilan et il est plutôt positif.

Confort

Les touches sont confortables à l'usage
Commençons par l'essentiel : le confort de frappe. Les touches, très douces au toucher, préviennent toute douleur même après de longues sessions de jeu ou de dactylographie. Légèrement renfoncées, elles accueillent bien nos doigts et produisent un bruit satisfaisant, rond et discret. La sonorité reste un critère important pour de nombreux utilisateurs de claviers custom, et ici, vous en serez satisfait sans avoir à recourir immédiatement à des modifications comme la lubrification ou l'isolation du châssis.

Options

le passage en filaire est facile avec un câble gainé et long
Le rétroéclairage de l'EK68 est puissant, offrant une excellente visibilité des touches. Bien que les effets proposés ajoutent une forme de personnalisation, nous les trouvons moins utiles par rapport à un mode statique plus doux. Au format 65%, ce clavier ne sacrifie pas les fonctionnalités, notamment en matière de macros et de raccourcis. Pour les adeptes de macros, la touche « Fn » ouvre de nombreuses combinaisons possibles à attribuer. De plus, la molette sur le côté supérieur, dédiée aux commandes multimédias, permet de mettre en pause d'un clic et d'ajuster le volume avec un simple quart de tour : on ne peut rapidement plus s'en passer.

En jeu

Yellow
En jeu, le EK68 fait ses preuves. Le temps de réponse des switches est immédiat et n’accuse pas de latence, même en réception radio. Nous apprécions particulièrement les switches Yellow du fabricant, avec un retour audio relativement faible pour du mécanique, qui est de 41,2 dBa. Cette mesure est faite avec le sonomètre positionné au niveau de nos oreilles, soit à environ 60 cm du clavier. À titre de comparaison, le clavier Black Widow de Razer, équipé de switches Yellow lui aussi, monte à 51,2 dBa. Comme indiqué, le clavier est confortable et ne pose pas de gêne lors de sessions longues.

Batterie

A propos de la batterie d'ailleurs, la durée ressentie est suffisante pour une utilisation non intensive. Le clavier tient une bonne semaine d'utilisation avant de devoir être rechargé, avec des sessions de 2-3 heures par jour, ce qui nous donne environ trente heures effectives. Comme le EK68 peut être branché en USB et continuer à fonctionner normalement, ce n'est pas un problème, à condition d'avoir le câble à portée.

Cependant, un point négatif est le manque de visibilité quant à l'épuisement de la batterie. Le EK68 ne fournit aucune indication sur le niveau de batterie restant, nous offrant parfois la surprise de ne plus fonctionner, ce qui peut faire penser à une panne avant de comprendre que la batterie est tout simplement épuisée.

Passons à la sentence finale.
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par Neccryde Commenter
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Actu du même sujet

  • Modèle : EPOMAKER EK68
  • Disposition: 65%, 66 touches
  • Type de montage: Joint
  • Interrupteur: Interrupteurs mécaniques
  • Matériau des touches : PBT double shot
  • Matériau du boîtier: Plastique
  • Matériau de la plaque : Acier
  • Hot-Swap: Oui, 3/5 broches
  • Type de stabilisateur : Monté sur plaque
  • Rétroéclairage : RGB
  • Connectivité: Bluetooth 5.0, 2.4 GHz et USB Type-C
  • Capacité de la batterie: 3000 mAh
  • N-Key Roll Over: Support
  • Taille: 325*117*41 mm
  • Poids : environ 0,8 Kg
Prix : $89.99 (Juillet 2024)