Inutile de vous faire languir davantage, après quelques jours de pleine utilisation de ce clavier, il est temps de faire le bilan, et il est plutôt positif.
Dans un premier temps, nous parlons du point le plus important, le confort. Les touches sont très douces au toucher et vous ne risquez pas d'avoir mal aux doigts, ceci même après une longue phase de jeu, ou pire encore, une longue phase de frappe. Il est important de noter que nous avons eu besoin d'un léger temps d'adaptation par rapport à notre précédent clavier. Principalement à cause de la différence de taille.
Si vous jouez dans un espace sombre (ce qui n'est pas très recommandé pour nos petits yeux), le rétroéclairage sera un atout pour vous. Il n'est pas agressif, et cela même avec la puissance réglée à 100 %. Et pour les fans de macro, la touche « Fn » vous offrira de nombreuses possibilités.
En jeu, car ce clavier est spécialement conçu pour les amateurs FPS, le RT100 fait ses preuves et se veut polyvalent. Le temps de réponse est immédiat, et on apprécie grandement les switchs Yellow du fabricant, avec un retour audio relativement faible pour du mécanique, qui est de 45,2 dBa. Cette mesure est faite avec le sonomètre positionné au niveau de nos oreilles, soit à environ 60 cm du clavier. À titre de comparaison, le clavier Black Widows de Razer, équipé de switches Yellow, lui aussi, monte à 51,2 dBa.
Mais les performances du clavier sont là. En effet, dans les jeux comme COD, vous pourrez sans aucun problème effectuer en même temps les actions d'avancer + sauter + lancer une grenade, en allant sur la droite le tout en sprintant. Mais nous n'avons que 5 doigts, car l'autre main est sur la souris ...
Mais quand est-il de la batterie. Et ben, elle a ses limites. En fonction de votre utilisation, vous n'aurez que 8 à 10 h de batterie, avec l'écran branché. Vous pourrez faire des économies, en le retirant, mais cela enlèverait l'intérêt de ce clavier. Il faudra donc réduire au maximum les effets RGB, et pensez à bien éteindre le clavier quand vous ne l'utilisez pas.
Il est temps de passer au verdict !
Dans un premier temps, nous parlons du point le plus important, le confort. Les touches sont très douces au toucher et vous ne risquez pas d'avoir mal aux doigts, ceci même après une longue phase de jeu, ou pire encore, une longue phase de frappe. Il est important de noter que nous avons eu besoin d'un léger temps d'adaptation par rapport à notre précédent clavier. Principalement à cause de la différence de taille.
Si vous jouez dans un espace sombre (ce qui n'est pas très recommandé pour nos petits yeux), le rétroéclairage sera un atout pour vous. Il n'est pas agressif, et cela même avec la puissance réglée à 100 %. Et pour les fans de macro, la touche « Fn » vous offrira de nombreuses possibilités.
En jeu, car ce clavier est spécialement conçu pour les amateurs FPS, le RT100 fait ses preuves et se veut polyvalent. Le temps de réponse est immédiat, et on apprécie grandement les switchs Yellow du fabricant, avec un retour audio relativement faible pour du mécanique, qui est de 45,2 dBa. Cette mesure est faite avec le sonomètre positionné au niveau de nos oreilles, soit à environ 60 cm du clavier. À titre de comparaison, le clavier Black Widows de Razer, équipé de switches Yellow, lui aussi, monte à 51,2 dBa.
Mais les performances du clavier sont là. En effet, dans les jeux comme COD, vous pourrez sans aucun problème effectuer en même temps les actions d'avancer + sauter + lancer une grenade, en allant sur la droite le tout en sprintant. Mais nous n'avons que 5 doigts, car l'autre main est sur la souris ...
Mais quand est-il de la batterie. Et ben, elle a ses limites. En fonction de votre utilisation, vous n'aurez que 8 à 10 h de batterie, avec l'écran branché. Vous pourrez faire des économies, en le retirant, mais cela enlèverait l'intérêt de ce clavier. Il faudra donc réduire au maximum les effets RGB, et pensez à bien éteindre le clavier quand vous ne l'utilisez pas.
Il est temps de passer au verdict !