NZXT, comme tout fabricant de premier plan digne de ce nom, se doit de fournir en même temps que ses périphériques un logiciel afin que chacun puisse pousser son expérience à son plein potentiel. C'est chose faite, avec « CAM ». Au moment de notre test, la version installée est la 4.61.7 et pèse 448 Mo. Lors du premier branchement, l'application reconnait immédiatement qu'il s'agit d'un périphérique de la marque et met immédiatement le firmware à jour.
Dans notre cas, nous laisserons en silence. Ces paramètres sont scindables, car il est tout à fait possible de faire une courbe personnalisée pour les ventilateurs, et un profil de performance pour la pompe, et ainsi de suite. Enfin, il est également possible de choisir la température source, à savoir le liquide, le processeur ou la carte graphique. Dans notre cas, le circuit refroidissant uniquement le processeur nous choisirons ce dernier comme source.
L'intensité lumineuse est également paramétrable. Enfin pour la pompe, l'intérêt d'un écran est avant tout de pouvoir avoir des informations telles que les températures d'un simple coup d'œil sans avoir un quelconque logiciel de monitoring à ouvrir. C'est possible grâce aux préréglages, mais vous pouvez également choisir d'y afficher un logo, une image ou mieux : un GIF de votre animé du moment. Le rendu est très propre et lisible et fera incontestablement son effet. Bien évidemment, NZXT ne fait pas les choses à moitié et permet donc la même personnalisation que pour les ventilateurs, à savoir une excellente gestion colorimétrique des caractères et également la gestion de l'intensité lumineuse de l'écran.
Une fois les points techniques et esthétiques aux petits oignons, allons soumettre la bête à rude épreuve !
Refroidissement
Cet onglet est crucial, car il permet à chacun de personnaliser le refroidissement qu'il souhaite. 4 profils sont disponibles, le fixe, le silence pour les utilisateurs que le bruit dérange, mais sont prêts à avoir leurs composants un peu plus chauds ; et le performance pour les personnes que le bruit ne dérange pas qui dans la majorité des cas seront des joueurs avec un casque sur la tête. Enfin, le profil personnalisé permettra à chacun de créer sa propre courbe de ventilation en fonction des températures atteintes.Dans notre cas, nous laisserons en silence. Ces paramètres sont scindables, car il est tout à fait possible de faire une courbe personnalisée pour les ventilateurs, et un profil de performance pour la pompe, et ainsi de suite. Enfin, il est également possible de choisir la température source, à savoir le liquide, le processeur ou la carte graphique. Dans notre cas, le circuit refroidissant uniquement le processeur nous choisirons ce dernier comme source.
Eclairage
Cet onglet est également important, car après avoir vous être assuré que les performances soient là, il faut désormais garantir que votre AIO soit raccord esthétiquement avec votre configuration et que le tout soit pimpant. Grâce à ce module vous pourrez aisément gérer la couleur de l'éclairage des ventilateurs de manière assez poussée, car il n'y a pas de colorimétrie prédéfinie, vous disposez de l'entièreté du spectre colorimétrique pour choisir la teinte idéale de manière précise pour les plus pointilleux et ainsi intégré le même code couleur sur l'ensemble de vos autres périphériques qui permettent une telle gestion. Cela est possible LED par LED, ventilateur par ventilateur.L'intensité lumineuse est également paramétrable. Enfin pour la pompe, l'intérêt d'un écran est avant tout de pouvoir avoir des informations telles que les températures d'un simple coup d'œil sans avoir un quelconque logiciel de monitoring à ouvrir. C'est possible grâce aux préréglages, mais vous pouvez également choisir d'y afficher un logo, une image ou mieux : un GIF de votre animé du moment. Le rendu est très propre et lisible et fera incontestablement son effet. Bien évidemment, NZXT ne fait pas les choses à moitié et permet donc la même personnalisation que pour les ventilateurs, à savoir une excellente gestion colorimétrique des caractères et également la gestion de l'intensité lumineuse de l'écran.
Une fois les points techniques et esthétiques aux petits oignons, allons soumettre la bête à rude épreuve !