C'est donc toujours avec un beau blanc – violet, les couleurs de NZXT, que nous sommes accueillis à la vue de l'emballage. Comme à l'accoutumée, la face avant du packaging nous présente le produit à coup d'illustrations. Enfin, une seule, avec un gros titre par-dessus pour l'épauler. Les côtés sont très fournis en texte avec une traduction dans plusieurs langues et beaucoup d'informations sur le produit. Compatibilité, matériaux, dimensions, tout est détaillé. On y apprend que le radiateur est fait d’aluminium et que les ventilateurs sont des F120 Core RGB de 120 mm, qui sont évidemment travaillés pour les watercooling
L'arrière de de notre carton se contente d'une illustration avec le Kraken en utilisation dans un boîtier NZXT blanc. Cela tombe bien, c'est aussi le cas de notre boitier de test ! Quelques points forts sont ici repris successivement et le logiciel CAM est rapidement évoqué : ce dernier permet un contrôle total de l'AIO, notamment sur la vitesse des ventilateurs et les modes d'éclairages. Nous le verrons plus en détail dans la suite du test.
Après avoir fait le tour du contenant, il est temps de s'en d'accéder au contenu et de « libérer le Kraken ». Notre Kraken Elite est donc constitué d'un radiateur, d'une pompe, d'un waterblock à fixer sur le CPU et de 2 tubes flexibles qui assurent la liaison pompe – radiateur. À l’intérieur de ce circuit, le liquide est déjà présent. C'est toujours un souci en moins que d'avoir le circuit déjà rempli, cela évite de premières manœuvres malheureuses et surtout les fuites du liquide. On note aussi que les ventilateurs ne sont pas montés, et que nous aurons donc la charge de le faire.
Le contenu du bundle est le suivant :
On peut également signaler que par rapport aux autres AIO précédemment testés de la marque, on trouve 3 nouveautés dans le bundle : le contrôleur ARGB, le doubleur, et tout aussi important, une notice papier ! Avant, il fallait aller en ligne la télécharger, et il y a des cas de figure où ce n'est pas le plus pratique
Une fois tous les éléments déballés, nous pouvons alors juger la présentation et le design du watercooling.
L'arrière de de notre carton se contente d'une illustration avec le Kraken en utilisation dans un boîtier NZXT blanc. Cela tombe bien, c'est aussi le cas de notre boitier de test ! Quelques points forts sont ici repris successivement et le logiciel CAM est rapidement évoqué : ce dernier permet un contrôle total de l'AIO, notamment sur la vitesse des ventilateurs et les modes d'éclairages. Nous le verrons plus en détail dans la suite du test.
Après avoir fait le tour du contenant, il est temps de s'en d'accéder au contenu et de « libérer le Kraken ». Notre Kraken Elite est donc constitué d'un radiateur, d'une pompe, d'un waterblock à fixer sur le CPU et de 2 tubes flexibles qui assurent la liaison pompe – radiateur. À l’intérieur de ce circuit, le liquide est déjà présent. C'est toujours un souci en moins que d'avoir le circuit déjà rempli, cela évite de premières manœuvres malheureuses et surtout les fuites du liquide. On note aussi que les ventilateurs ne sont pas montés, et que nous aurons donc la charge de le faire.
Le contenu du bundle est le suivant :
- Ensemble Radiateur et pompe ;
- Support AMD & Intel pour la pompe;
- Visserie AMD ;
- Visserie Intel ;
- Manuel de montage ;
- 3 ventilateurs RGB de 120 mm ;
- Hub RGB ;
- Doubleur de port USB2 ;
- Câble à brancher sur la pompe.
On peut également signaler que par rapport aux autres AIO précédemment testés de la marque, on trouve 3 nouveautés dans le bundle : le contrôleur ARGB, le doubleur, et tout aussi important, une notice papier ! Avant, il fallait aller en ligne la télécharger, et il y a des cas de figure où ce n'est pas le plus pratique
Une fois tous les éléments déballés, nous pouvons alors juger la présentation et le design du watercooling.