L'emballage de ce ventilo est premium et très classe, tout de noir vêtu, et ressemble en tout point à l'image « high-end » du constructeur allemand, que l'on retrouve avec toutes ses références haut de gamme, que ce soit pour les ventilateurs, les watercoolings, ou encore les alimentations. Une grande et belle photo du Silent Wings Pro 4 occupe la majeure partie de la face avant, sous laquelle on nous évoque directement en anglais un présumé silence légendaire (cela reste à voir à 3000 RPM) accompagné de performances épiques.
D'ailleurs, on voit bien ici que nous sommes sur la version « Pro » du Silent Wings 4 : ce qui la différencie de la version classique, c’est surtout la vitesse maximale de rotation, mais aussi les coins interchangeables et l’intégration d’un contrôle de la vitesse du Silent Wings Pro 4 sur trois niveaux, que nous verrons un peu plus loin dans ce test.
Au dos, nous avons différents commentaires traduits dans 11 langues différentes, dont le français bien sûr, ainsi que la fiche technique mise sous forme d'un tableau, cette fois-ci en anglais. On retrouve encore le nom du ventilateur sur les côtés supérieur et inférieur de la boîte.
Il est temps d'ouvrir l'emballage pour voir ce qu'il renferme exactement. Avant de s'intéresser à ce qu'on y trouve, notre regard est d'abord attiré sur le côté intérieur du rabat : sur ce dernier se trouvent les « points forts » du Silent Wings Pro 4, avec encore de belles illustrations. À l'intérieur maintenant, on trouve deux boîtes : l'une avec le ventilateur en lui-même, et une autre avec le bundle à proprement parler. Nous avons donc :
Car les « coins » qui sont déjà installés sont une particularité de la version Pro. En effet, ils ont été spécialement conçus pour les radiateurs, en réduisant les espaces entre chaque ventilateur, ce qui permet in fine d'éviter des fuites d'air indésirables : ce sont donc ceux-là que nous utiliserons. Le second set de coins sert à l'installation avec les tiges et les rondelles en plastiques, qui facilitent l'installation mais permettent également de contenir un peu plus les vibrations émises par le moteur du ventilateur.
Après ce bundle bien fourni, on découvre enfin le Silent Wings, entièrement noir, avec les inscriptions en blanc ; il n'y a même pas un peu d'orange pour rappeler la marque. On peut désormais apercevoir le « curseur » que nous avions mentionné un peu plus tôt : il permet de sélectionner la vitesse de rotation maximale du ventilateur (entre 1600/2500/3000 RPM). Sur la tranche du châssis, on retrouve le nom du constructeur qui est gravé.
Il n'y a pas grand chose d'autre à souligner sur ce ventilateur, hormis la qualité et la rigidité qu'il inspire entre nos mains. Comme on le voit souvent, les 9 pales qui le composent sont nervurées. Ça fait partie des astuces des constructeurs pour optimiser la ventilation, et chacun y va de sa recette. Un point intéressant à noter concerne le câble PWM en sortie du Silent Wings, puisque celui-ci, gainé, ne mesure pas moins de 50 cm. be quiet! est donc généreux sur ce point, ce qui nous facilitera la tâche lors de l'installation, qui est par ailleurs la prochaine étape de cette aventure !
D'ailleurs, on voit bien ici que nous sommes sur la version « Pro » du Silent Wings 4 : ce qui la différencie de la version classique, c’est surtout la vitesse maximale de rotation, mais aussi les coins interchangeables et l’intégration d’un contrôle de la vitesse du Silent Wings Pro 4 sur trois niveaux, que nous verrons un peu plus loin dans ce test.
Au dos, nous avons différents commentaires traduits dans 11 langues différentes, dont le français bien sûr, ainsi que la fiche technique mise sous forme d'un tableau, cette fois-ci en anglais. On retrouve encore le nom du ventilateur sur les côtés supérieur et inférieur de la boîte.
Il est temps d'ouvrir l'emballage pour voir ce qu'il renferme exactement. Avant de s'intéresser à ce qu'on y trouve, notre regard est d'abord attiré sur le côté intérieur du rabat : sur ce dernier se trouvent les « points forts » du Silent Wings Pro 4, avec encore de belles illustrations. À l'intérieur maintenant, on trouve deux boîtes : l'une avec le ventilateur en lui-même, et une autre avec le bundle à proprement parler. Nous avons donc :
- Le ventilateur ;
- Un système de fixation souple avec des tiges en plastique ;
- Des vis pour une installation classique ;
- Une notice d'installation, qui permet surtout de comprendre comment interchanger les coins.
Car les « coins » qui sont déjà installés sont une particularité de la version Pro. En effet, ils ont été spécialement conçus pour les radiateurs, en réduisant les espaces entre chaque ventilateur, ce qui permet in fine d'éviter des fuites d'air indésirables : ce sont donc ceux-là que nous utiliserons. Le second set de coins sert à l'installation avec les tiges et les rondelles en plastiques, qui facilitent l'installation mais permettent également de contenir un peu plus les vibrations émises par le moteur du ventilateur.
Après ce bundle bien fourni, on découvre enfin le Silent Wings, entièrement noir, avec les inscriptions en blanc ; il n'y a même pas un peu d'orange pour rappeler la marque. On peut désormais apercevoir le « curseur » que nous avions mentionné un peu plus tôt : il permet de sélectionner la vitesse de rotation maximale du ventilateur (entre 1600/2500/3000 RPM). Sur la tranche du châssis, on retrouve le nom du constructeur qui est gravé.
Il n'y a pas grand chose d'autre à souligner sur ce ventilateur, hormis la qualité et la rigidité qu'il inspire entre nos mains. Comme on le voit souvent, les 9 pales qui le composent sont nervurées. Ça fait partie des astuces des constructeurs pour optimiser la ventilation, et chacun y va de sa recette. Un point intéressant à noter concerne le câble PWM en sortie du Silent Wings, puisque celui-ci, gainé, ne mesure pas moins de 50 cm. be quiet! est donc généreux sur ce point, ce qui nous facilitera la tâche lors de l'installation, qui est par ailleurs la prochaine étape de cette aventure !